Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

C’est ce qu’on pourrait croire à la vue des dernières affiches du parti populiste autrichien FPÖ (Freiheit Partei Österreich) placardées dans le pays à l’approche des élections européennes de juin. Sur les panneaux d’affichage de Vienne, parfois tapissée en format 4 x 3 m, il faut avouer que ces affiches surprennent le regard du quidam habitué à évoluer dans un espace visuel atlantisé au nanomètre.

 

Dessinée en noir et blanc, cette affiche de campagne représente au premier plan Ursula Von der Leyen et Vladimir Zelenski en train de s’embrasser, et derrière eux des hélicoptères d’attaque ou des chars, des seringues vaccinales Covid-19, des embarcations de migrants et des éoliennes ; avec écrit en toutes lettres :

Von der Leyen und Selenskyj, Kriegstreiberei, Asylkrise, Öko-Kommunismus, Corona-Chaos : EU-WAHNSINN STOPPEN !

(Von der Leyen et Zelensky, escalade guerrière, crise migratoire, communisme écologique, corona-chaos : STOPPONS LA FOLIE DE L’EU !)

Dans un pays membre de l’UE, officiellement neutre militairement, ne faisant point partie de l’OTAN, le parti populiste autrichien, son candidat aux européennes Harald Vilimsky et son président Herbert Kickl ont donc usé de mots clairs pour nommer ce qu’ils considèrent comme les dangers qui menacent leur nation et leurs concitoyens.

La première force politique d’Autriche (avec près de 30 % des intentions de vote) emboîte donc le puzzle dialectique de la domination de l’Empire, celui-là même qu’E&R et son président se décarcassent à mettre en exergue depuis plus de quinze ans. Permettez-nous de siroter une Pils en cet instant, même si ce miracle a lieu ailleurs qu’en notre douce France ! Certes, deux pièces maîtresses du puzzle de la domination mondialiste ne figurent pas explicitement sur cette affiche ; mais est-ce vraiment nécessaire ? Quand les pièces précédemment citées ont été emboîtées, les deux minorités agissantes – qui s’incarnent en la personne de notre Premier ministre actuel – considèrent déjà cette affiche comme une déclaration de guerre. Aucune des parties n’est dupe ; Klaus Schwab et les mondialistes ont bien reçu le message.

Le Freiheit Partei Österreich se présente donc en pôle-position pour les élections européennes comme pour les scrutins nationaux à venir. À la différence du RN qui n’a encore jamais vu la couleur d’un ministère, le FPÖ a déjà dans le passé transformé ses scores électoraux en exercice de la fonction gouvernementale. En 1999, Jörg Haider faisait entrer ce parti avec fracas à la Hofburg, en se voyant attribuer pas moins de cinq ministères parmi lesquels celui des Finances, de la Défense, de la Justice et de la Fonction publique. Après des hauts et des bas et quelques trahisons, l’ère post-Haider a vu la formation politique populiste être reprise en main par l’élu de Carinthie Herbert Kickl. Depuis dix ans, ce dernier prend virilement position sur toutes les grandes lignes de force souverainistes, encaissant sans téchouver les averses de merde médiatiques qu’il ramasse en retour. Un des moments significatifs de cette opposition frontale au Système fut sa croisade antivax en 2020-2022, alors que la majorité des députés du Nationalrat voulait voter l’obligation vaccinale. Kickl s’insurgera, seul, son parti uni derrière lui, contre cette mesure. Le 9 octobre 2021 lors d’une séance au Parlement, il interpelle le Bundeskänzler Sebastian Kurz (Young Global Leader comme Macron) sur les mesures sanitaires de son gouvernement, alignées à la virgule près sur celles menées en Israël, et dont les statistiques démontrent alors qu’elles n’endiguent en rien l’épidémie :

« Herr Bundeskänzler, ich glaube, dass Sie jemand sind, der beste Verbindun­gen nach Israel und zum dortigen Regierungschef Netanyahu hat – ich hoffe, Sie werfen mir nicht Antisemitismus vor, wenn ich das feststelle. Ich gehe recht in der Annahme, dass Israel für Sie so etwas wie das leuchtende Beispiel dafür ist, wie man eine Impfstrategie zum angeblichen Schutz der eigenen Bevölkerung macht. »

(Monsieur le Chancelier, je crois que vous êtes quelqu’un qui avez les meilleures relations possibles avec Israël et avec son Premier ministre Netanyahou – j’espère que vous ne m’accuserez pas d’antisémitisme pour dire cela. Et j’ai l’impression qu’Israël est pour vous comme un exemple lumineux à suivre concernant la manière de mener une campagne de vaccination sur son propre peuple.)

Après cette entrée en matière prompte à faire monter la température de 10°C, Kickl, en mode C’est parti mon qui-qui, poursuit en empoignant la multinationale Pfizer et son PDG Albert Bourla. Il cite devant tous les parlementaires une interview du directeur de Pfizer par la chaîne américaine NBC, où un journaliste pas-au-chômage demande à Bourla si la 2e dose que les Américains viennent juste de se voir injecter les protège désormais – comme promis à la TV par le président Biden – de toute mutation du virus. Kickl prend alors son temps pour lire à ses collègues du Bundestag la réponse décomplexée de Bourla, qui dit que les tests devant déterminer si les vaccins protègent ou non efficacement les vaccinés des mutations du virus n’ont pas encore été menés à terme mais sont en cours. Kickl demande donc calmement au chancelier Kurz comment celui-ci peut dire aux citoyens autrichiens que l’obligation vaccinale est la seule et sûre solution pour revenir à l’avant-pandémie, alors même que le faiseur de vaccins avoue lui-même qu’il n’est pas encore en mesure d’attester scientifiquement de leur efficacité. Question simple, qui restera sans réponse.

Critique de la dictature vaccinale Covid-19, mais aussi de l’immigration de masse, du prosélytisme LGBTQ+, du climatisme schwabique, de la guerre de l’OTAN contre la Russie, Kickl semble avoir compris l’Empire. Il se fait donc cracher à la gueule par l’intégralité des médias mainstream, mais semble rompu à cette gymnastique depuis ses premières années de militantisme époque Jörg Haider. Lors de ses meetings, il explique à ses électeurs que le système politico-médiatique n’a décidément qu’un mot, un seul, à lui lancer à la figure : nazi. Lorsqu’il s’oppose à la dictature vaccinale imposée aux nations européennes par Ursula Van der Leyen ? Nazi. Quand il déplore qu’une femme à barbe – Conchita Wurst – représente l’Autriche à l’Eurovision ? Nazi. Quand il alerte sur les dangers où le bellicisme antirusse de l’UE pourrait mener son pays ? Nazi. Lorsqu’il s’oppose à la politique immigrationniste des gouvernements de Young Global Leaders qui se succèdent à la Hofburg ? Nazi.

Toujours ce mot. Ce mot, qui, comme nous l’évoquions dans un précédent article, musèle depuis 1945 toute velléité souverainiste en Allemagne, musèle également toute velléité souverainiste en Autriche ; Anschluss oblige.

Parmi les maîtres-museleurs les plus actifs à Vienne se dresse un personnage du nom d’Ariel Muzicant. Né en Israël, mais installé dans la capitale autrichienne depuis son enfance, scolarisé au très élitiste Lycée français de Vienne, président du B’nai Brith en Autriche, 74e plus grande fortune du pays, membre du directoire de l’Institut Simon Wiesenthal d’études sur l’Holocauste, capable de mettre en branle tous les plus grands médias pour détruire un adversaire idéologique, Ariel vaut son pesant de pantalons à une jambe. Il est aussi présent dans les médias autrichiens que le président du Crif l’est dans les médias français. Il fut l’ennemi de Jörg Haider comme Prasquier fut celui de Jean-Marie Le Pen, et continue encore aujourd’hui de distribuer sur les plateaux-TV les tickets d’entrée ou de sortie.

À l’époque où il crachait à la gueule de Haider sans discontinuer, ce dernier, au lieu de lui baiser l’ergot, s’était fendu d’une saillie qui avait fait autant de bruit que le « Durafour crématoire » du patriarche de Saint-Cloud. Déclarant qu’il n’avait pas de leçons à recevoir d’un multimillionaire dont la fortune présentait des zones d’ombre, Haider avait dit de son très communautaire détracteur : « C’est étrange d’être aussi sale quand on s’appelle Ariel ! » L’orage de grêle ad Hitlerum que le chef du FPÖ s’était mangé après ça n’avait rien à envier à celui qu’avait essuyé Le Pen ; on eut dit qu’il venait de rouvrir Mauthausen. D’aucuns prétendent que c’est Kickl lui-même qui avait soufflé à son chef cette réplique. Quoi qu’il en soit, Haider avait tenu bon face au déluge shoatique, et aujourd’hui, en 2024, son successeur fait montre d’une résolution semblable à celle de feu son ainé sur cette mère des batailles.

Puisqu’on évoque les rapports de l’Autriche et d’Israël, il n’est pas interdit de s’attarder un peu sur l’intéressante figure de Bruno Kreisky, Bundeskänzler de 1970 à 1983, et aujourd’hui encore l’une des figures politiques les plus populaires et respectées en Autriche. Viennois d’origine juive, dirigeant socialiste qui accède à la Chancellerie en 1970 grâce à l’appui du FPÖ de l’époque, Kreisky enchaînera durant 13 années pas moins de trois mandats, au cours desquels il fera passer des nuits blanches aux sionistes israéliens. À cette époque, l’Autriche était un axe majeur pour les juifs d’Union soviétique dans leur alya vers Israël.

En septembre 1973, des militants syriens et palestiniens prirent en otage à Marchegg en Basse-Autriche une dizaine de juifs des républiques soviétiques en transit pour émigrer en Israël, et exigèrent de Kreisky qu’il procède à la fermeture dudit camp de transit facilitant l’alya de milliers de juifs russophones. Kreisky accédera aux revendications des preneurs d’otages palestiniens, au grand dam de Golda Meir, qui prendra séance tenante l’avion pour Vienne afin de convaincre son coreligionnaire de ne pas céder. La dame de fer ashkénaze en sera pour ses frais. Durant ses trois mandats, Bruno Kreisky se dira convaincu que les tensions en Terre sainte ne pourront se résoudre qu’en tendant la main aux revendications palestiniennes. Ses relations avec Israël ne feront que se dégrader, en particulier avec l’arrivée au pouvoir de l’un des planificateurs de l’attentat de l’Hôtel King David : Menahem Begin. En 1978, Kreisky affirme qu’Israël est devenu selon lui un État policier, et en 1979 il est le premier chef de gouvernement d’un pays occidental à recevoir Yasser Arafat, et à reconnaître l’OLP comme organe légitime de représentation des Palestiniens. Il est alors une figure adulée dans tout le monde arabe. On serait donc tenté d’observer que, malgré ses origines juives, Kreisky n’a jamais été en phase avec le projet sioniste tel que Ben Gourion puis le Likoud l’ont mis en œuvre. De même on ne peut exclure que son positionnement sur ce dossier précis de politique extérieure est l’une des raisons de sa popularité jamais démentie en Autriche jusqu’à ce jour.

En 2024, les électeurs autrichiens s’accrochent à la neutralité de leur pays dans le concert des nations, et ne semblent pas ravis de se faire forcer la main par les faucons de Washington ou de Tel-Aviv et par leurs VRP en Europe. En plaçant Von der Leyen et Zelensky au centre de leur cible, pardon, de leur affiche de campagne électorale, Herbert Kickl et le FPÖ désignent la guerre de l’OTAN contre la Russie comme la principale menace planant sur les intérêts bien compris du peuple autrichien. Le FPÖ donne le la de la campagne ; il est dans l’action, les autres partis dans la réaction. Les concurrents ont donc adapté en réponse à leur adversaire électoral leur matériel de campagne, et ont imprimé des affiches anti-Poutine où l’on voit une photo peu flatteuse du président russe et ces mots : « Was stoppt Putin ? » Puis une seconde affiche répondant à cette question en montrant un flamboyant drapeau de UE et ces mots : « Vereinigte Staaten von Europa » (Les États-Unis d’Europe). Concédons à ces partis atlantistes qu’ils ont le mérite de la clarté. En Autriche, c’est donc le dossier ukrainien qui est au centre des enjeux des élections européennes du 9 juin prochain.

En attendant, le sayan Ariel Muzicant s’invite toujours dans les médias pour pourfendre les gueux du FPÖ qui oseraient se dresser contre l’agenda de l’Empire. Il est un peu comme ces Attali ou ces Minc, qui survivent aux présidents et vont d’un château l’autre, et que le contribuable se voit imposer chaque soir à la téloche comme l’alpha et l’oméga de la clairvoyance politique. Muzicant affûte et dégaine sa clarinette à l’endroit de Herbert Kickl, comme par exemple dans une interview (pardon, un tapis rouge) du bien-nommé média Atlantico. Distribuant d’abord les bons points, Muzicant y félicite la diplomatie autrichienne (ses ex-camarades de classe au Lycée français de Vienne !) de s’être opposée à l’ONU en novembre dernier à une résolution appelant à un cessez-le-feu à Gaza. Magnanime, sa majesté Ariel, clément comme Titus, en service commandé, distribuant des Leckerli à ses obligés des consulats ! Mais après les Leckerli, le knout ! Les scores du FPÖ dans les sondages relatifs aux élections européennes de juin 2024 ne lui plaisent pas du tout. À la question d’Atlantico de savoir ce qu’une victoire du parti de Herbert Kickl aux européennes 2024 signifierait, selon lui, pour les relations de l’Autriche avec Israël et plus généralement avec le monde juif, la réponse d’Ariel fuse comme un coup de shelach : « Ce serait une catastrophe. »

Une catastrophe pour QUI, Ariel ?

Comme dirait Alain Soral : pour savoir ce qu’il faut penser d’un sujet politique, il suffit d’écouter ce qu’en dit un BHL ou un Cohn-Bendit, et l’on sait alors qu’il faut penser exactement le contraire.

Rendez-vous le 9 juin à Heldenplatz !

Charles Chevalier

De notre envoyé spécial en Germanie

 






Alerter

21 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #3359162
    Le 6 mai à 02:10 par Saladin
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Est ce que quelqu’un connait Nesta Webster ? parce que là je lis un de ses livres et je suis étonné de voir que je n’ai jamais entendu qui que ce soit en parler, vu ce qu’elle nous raconte, dans : La révolution mondiale. Par exemple.

     

    Répondre à ce message

  • #3359170
    Le 6 mai à 04:25 par anonyme
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    L’Autriche est un exemple pour les peuples européens ! Voilà un vrai pays neutre ! Pas comme la Suisse ! Faut dire qu’ils ne sont pas affublé dune Autriche romande et francophone immigrationniste, woke et grosslesbianiste !

     

    Répondre à ce message

    • #3359254
      Le 6 mai à 08:43 par francky
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      Oui et il suffit de se rendre dans une ecole primaire en Autriche et ensuite en ... France !!!
      C’ est un peu comme aller dans le métro de Moscou et ensuite être téléporter dans celui de Paris, ça fait un choc ...

       
  • #3359171
    Le 6 mai à 04:30 par anonyme
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    La France gauchiste et multi-injectée de moutons masqués pourrait en prendre de la graine !

     

    Répondre à ce message

  • #3359192
    Le 6 mai à 05:45 par anonyme
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Les autrichiens ont bien plus "compris l’Empire " que les français ! Jamais de manifs en Autriche pour le "pouvouardacha" mais des manifs contre l’immigration-invasion ou contre l’injection covid ! Un parti ouvertement "anti-vaccin covid " était même présent en Autriche lors des élections !

     

    Répondre à ce message

  • #3359219
    Le 6 mai à 07:10 par Observateur
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Je ne comprend pas en général le choix du mot populiste. On n’entend pas parti du peuple mais parti qui flatte le peuple. Qui utilise la démagogie.
    Ce n’est peut être pas le sens étymologique mais c’est celui que maintenant on retient.

     

    Répondre à ce message

    • #3359330
      Le 6 mai à 10:36 par anonyme
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      Ben oui mon grand, ça t’étonne ? "Populiste " est devenu péjoratif dans un pays dirigé par une caste ! Continue sur E&R ça te forme !

       
    • #3359409
      Le 6 mai à 12:34 par la gerbe
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      Seule l’abstention est populaire statistiquement. Ce qui serait rassurant et cohérent puisque la populace a refusé ce projet technocratique hors-sol de souche américaine dès le départ.

      Seulement c’était en 2005, depuis, la génération suivante abêtie n’a peut-être pas fait le lien ! Quand on regarde les 20 ans ils se passionnent davantage pour la question palestinienne que pour les européistes.

       
  • #3359266
    Le 6 mai à 09:06 par résistant on-line
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    « Dessinée en noir et blanc » : il ne s’agit pas d’un dessin mais d’un truc fait sur Photoshop en jouant avec les filtres, c’est pas du tout le même travail !

     

    Répondre à ce message

  • #3359388
    Le 6 mai à 11:49 par baronsamedi
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Je ne sais pas si Comprendre l’empire a déjà été traduit en allemand, mais si c’était le cas et que par exemple KLA TV qui a mené un très lourd combat dans la sphère germanophone contre lse covidiots l’évoque et fasse une petite fiche de lecturre sous forme de vidéo, je pense que le bouquin pourrait avoir un beau succès en Allemagne (surout en ex Allemagne de l’Est où les gens sont plus affûtés ) et an Autriche aussi !

    Mais je peux comprendre que c’est bien entendu un investissement, puiqu’il faut trouver un traducteur de langue maternelle allemande pour procéder à la traduction, et que cela bien entendu, repésente un coût non négligeable.

     

    Répondre à ce message

  • #3359508
    Le 6 mai à 15:14 par Figaro68
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Haider a trouvé la mort en 2008. Un retour de boîte de nuit funeste où il n’avait pas bu d’alcool (témoignages de ses proches) mais curieusement il en était imbibé à l’arrivée des policiers sur les lieux de son accident de voiture ...

    Läckerli : petit gâteau au miel et aux amandes, spécialité bâloise.

    L’Autriche est un pays très conservateur où la politesse et l’élégance est toujours de mise à Vienne, notamment. Définitivement, un scrutin à suivre pour ce pays qui fut le centre d’un Empire et qui s’en souvient avec nostalgie.

     

    Répondre à ce message

    • #3359832
      Le 7 mai à 05:31 par anonyme
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      Merci de rappeler l’assassinat de Jörg Haider, sportif accompli et qui ne buvait jamais d’alcool ! Assassinat sans suites évidemment ! Malheureux accident dû à l’alcool et la vitesse, circulez y’a rien à voir !

       
    • #3359871
      Le 7 mai à 07:10 par MAD MAX
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      @figaro68, vous osez dire quelques vérités, merci de rappeler certains faits qui ne plairont pas à ceux qui ont assassiné Jorg Haider, car il ne s’agit pas d’un banal accident de voiture.

       
  • #3359720
    Le 6 mai à 20:26 par Mr Houblon
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Bon article au demeurant ; un aperçu du climat électoral d’un pays dont on parle peu voir jamais dans la presse collabo si ce n’est pour " le bruit des bottes" et autres intoxications.
    En tous cas, cela n’enlèvera pas la beauté de sa capitale, sa propreté, ses régions boisées aux multiples petits cours d’eau, ses montagnes enneigées et, n’en déplaise à nos amis alsaciens, de délicieux riesling à boire nature ou accompagnés d’un poisson de rivière et le tour est joué.
    A bon entendeur..

     

    Répondre à ce message

    • #3359876
      Le 7 mai à 07:18 par MAD MAX
      Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

      @mr houblon, oui, exact, en 2000 ou 2001, l’Autriche était ostracisée par l’europe, lié à l’arrivée de Jorg Haider au pouvoir, et comme par hasard, en 2008, il y a eu ce soi disant accident de voiture, dont Jorg Haider était le conducteur et seul à bord du véhicule, la presse en a fait les choux gras, surtout en france.

       
  • #3360223
    Le 7 mai à 20:35 par Paul82
    Les Autrichiens lisent Comprendre l’Empire !

    Intéressant, très intéressant. Mais est-ce vraiment transposable en France ? Nos partis souverainistes pourraient-ils s’en inspirer ?

    On sait tous ici les efforts de Philippot lors du covidisme. Mais quid du reste ?

     

    Répondre à ce message