Un coup d’État a eu lieu en Bolivie le 10 novembre. Le fait que le président du pays, Evo Morales, ait démissionné ne contredit pas le fait qu’un coup d’État a eu lieu. Morales a été forcé par les militaires à démissionner.
Le ministre russe des Affaires étrangères, lors du deuxième Forum de Paris sur la paix, a alerté sur les démarches des États-Unis qui cherchent, selon lui, à piller la Syrie et à la diviser afin de prendre le contrôle des
Moins spectaculaire que les guerres américaines ratées, moins médiatique que les tentatives de putsch qui ne prennent plus, le mouvement tectonique du reflux de l’empire suit son cours, inexorable. Le schéma est
Nous ne connaissons ce qui se passe au Levant qu’au travers de la propagande de guerre du pays dans lequel nous vivons. Nous ignorons les autres points de vue et, plus encore, comment nos armées se sont comportées.
Ce 11 novembre, le chef de l’État a inauguré un monument pour rendre hommage à la mémoire de 549 soldats français morts sur 17 théâtres d’opération. De Barkhane à Chammal, quelles sont les Opex lancées par la France et quel
Les États-Unis ont soutenu le coup d’État militaire de droite contre le président socialiste démocratiquement élu de Bolivie, Evo Morales, le premier dirigeant autochtone du pays, qui venait d’être réélu avec 600 000 voix
Le directeur de la principale organisation qui soutient les Casques blancs, les secouristes de la défense civile opérant dans les zones rebelles en Syrie, a été retrouvé mort lundi à Istanbul. […]
Selon des informations
Moscou et Damas estiment que la communauté internationale doit obliger les États-Unis à retirer leurs troupes « de la Syrie souveraine », leur présence illégale dans le pays étant « le principal facteur déstabilisateur sur
Maintenant qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le dirigeant de l’EI [État islamique], a été éliminé, beaucoup manifestent leur joie et leur soulagement aux États-Unis et en Occident. Ce qu’ils ne disent pas, c’est que ce groupe
Elle n’est pas sous les feux de l’actualité mais l’intégration du continent-monde continue, inexorable, au grand dam du Washingtonistan.
Les stratèges états-uniens ont dû se ronger quelques ongles en apprenant que
Depuis 18 ans, nous débattons de l’étrange évolution des médias qui semblent accorder de moins en moins de valeur aux faits. Nous attribuons ce phénomène à leur démocratisation au travers des réseaux sociaux. Ce serait parce
À l’occasion de la seconde visite du président Emmanuel Macron en Chine, où il doit rencontrer Xi Jinping, Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l’IRIS et spécialiste de la Chine, répond au quotidien 20 Minutes.
Le président américain a utilisé une formule dont lui seul détient le secret pour résumer la position américaine en Syrie. « Nous avons laissé des soldats juste parce que nous gardons le pétrole. J’aime le pétrole. »,
Décidément, les Anciens nous avaient prévenus. Un mortel ne peut prétendre s’élever trop haut sans que les Dieux, par une ironie malicieuse, ne rabaissent l’outrecuidant en lui faisant prendre des décisions calamiteuses.
« Ça a été comme regarder un film », a dit le président Trump après avoir assisté à l’élimination d’Abu Bakr al-Baghdadi, le Calife chef de l’État islamique (Daech), transmise dans la Situation Room de la Maison-Blanche. C’est là
Deux politiques sont menées au niveau mondial. La première vise à défendre l’avenir de l’humanité en mettant fin à la principale cause actuelle des guerres : l’accès aux sources d’énergie fossiles. La seconde entend défendre