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Contre les terroristes au Mali, le 2e RIMa a beaucoup pris l’hélicoptère

Le retour des soldats du grand Ouest déployés au Sahel a été marqué ce vendredi à la préfecture du Mans. Le groupement tactique Richelieu, à présent dissous, rassemblait 500 militaires depuis septembre dernier. La traque des djihadistes est passée par les airs, dans des proportions inédites.

 

 

« Jamais un régiment en opération n’aura fait autant d’opérations héliportées avec un tel volume de combattants », écrit le colonel Georgin, chef de corps du 2e RIMa, dans le dernier ordre du jour du groupement Richelieu. Créé en septembre pour participer à l’opération Barkhane au Mali, il a été dissous ce vendredi au Mans, après le retour de ses derniers éléments. Il comprenait environ 300 marsouins du camp d’Auvours et 200 militaires d’autres unités du grand Ouest.

Déployé dans le nord du Mali, Richelieu avait pour mission d’empêcher les terroristes d’Aqmi de s’y constituer un sanctuaire. À cause des distances au Sahel (rien que le Nord-Mali est plus vaste que l’Hexagone), le groupement a énormément eu recours aux hélicoptères de l’Alat, pour « créer la surprise ». À chaque fois, jusqu’à 150 militaires ont ainsi été transportés directement auprès de leur cible.

Lire la suite de l’article et écouter le topo du colonel Georgin sur francebleu.fr

Barkhane, une opération aux réalisations obscures, voir sur E&R :

 






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