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Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma antifrançais

 

 

Un scénario écrit par un champion du monde du léchage de boules oligarchique, il n’y a hélas pas d’autres mots. Le portrait du réalisateur Franck Gastambide par Wikipédia dit tout. Le pire de la bien-pensance y est représenté. Accrochez vos ceintures mentales, on va descendre très, très bas.

 

Pour la démonstration, nous avons repris un à un les paragraphes de « l’encyclopédie en ligne » et les avons commentés. Prêts ? Attention, ceux qui seront pas contents de ce qui va suivre ont été prévenus, hein. On va pas le répéter trois fois.

À 13 ans, Franck Gastambide se passionne pour les chiens de type molosse et leur dressage. Après un CAP Agent de sécurité, il travaille en tant que vendeur chez Leroy Merlin tout en continuant son dressage de chiens. À 20 ans, il devient un spécialiste reconnu des chiens dits « dangereux ». Il est alors contacté par un dresseur d’animaux pour le cinéma, afin de participer avec ses rottweilers et ses pitbulls au tournage du film Les Rivières pourpres. C’est son premier contact avec le 7e art. Il enchaînera avec Les Dalton en 2004.

Les Rivières pourpres, premier gros navet. L’histoire d’une secte nazie qui veut recréer une race supérieure, un scénario puéril de l’andouille Grangé, et avec le fils de Kassovitz aux manettes et une distribution très... communautaire. Mais en tant que maître-chien, Franck n’est responsable de rien. Passons à la suite.

 

À cette occasion, il se lie d’amitié avec Mathieu Kassovitz. L’acteur et réalisateur le présente aux créateurs du collectif de jeunes réalisateurs « kourtrajmé production », Kim Chapiron et Romain Gavras, avec qui il fait ses premières armes et participe à plusieurs courts métrages et clips de hip-hop (DJ Mehdi, Mafia K’1 Fry).

Aïe, Mathieu Kassovitz et les jeunots branchés de Kourtrajmé (court-métrage en verlan des beaux quartiers). Que du fils de ! Le fils de Kiki Picasso et le fils de Costa Gavras, le roi de la baudruche cinématographique rebelle. De bien mauvais parrains pour un début d’actorat !

En parallèle, Franck Gastambide participe aux tournages de plusieurs dizaines de longs-métrages, téléfilms et émissions de télévision en tant que dresseur canin. Très attiré par la réalisation et l’image, il intègre la chaîne MTV comme cadreur pour l’émission du journaliste Mouloud Achour, puis écrit et réalise de nombreux reportages pour la télévision.

Mouloud Achour, journaliste ? Alors qu’il est simplement le passeurs de plats réchauffés par la petite cuisine socialo-sioniste SOS Racisme sur la télé cryptée. Il faut le lire pour le croire, Mouloud Achour, journaliste...

En 2009, il tourne le pilote de la mini-série Kaïra Shopping, une sorte de télé-achat déjanté version cité (de banlieue), mettant en scène ses propres influences banlieusardes. La série est tournée en bas de la tour, sans aucun moyen et en plan-séquences. Elle rencontre un vrai succès et les trois personnages de la série (joués par Franck Gastambide, Medi Sadoun, Jib Pocthier) sont invités par Ramzy Bédia à faire une apparition dans le film Il reste du jambon ?. La série est également programmée en clair sur Canal+, puis reconduite sur trois saisons.

 

Oh non, Ramzy Bedia ! Euh, Ramzy à jeun ? Qui raconte dans Il reste du halouf sa souffrance d’être marié à une Blanche (Anne Depétrini en vrai). Kaïra Shopping c’est la série typique pour Canal : du langage banlieue et de la tronche de racaille pour faire social et faire frémir les enfants de la bourgeoisie. Mais ça reste du bon gros mépris de classe. Qui ressemble à ces trois lascars en banlieue, à part la minorité de paumés ?

Entre 2009 et 2011, il réalise les campagnes de publicités de la marque Pepsi. Il y dirige notamment Éric Cantona.

Logique : on passe de la télé oligarchique à la pub de marque, ce qui est pareil au fond. Beigbeder a fait le parcours inverse. Il est vrai que quand on manque de culture, on connaît plus les grandes marques que les grands auteurs. Quant à Cantona, le millionnaire qui se croit hors Système, il continue à jouer avec ses pieds.

Parallèlement, il signe un contrat avec les producteurs de la société Mandarin Cinéma (OSS 117, Brice de Nice, Potiche, La Conquête) afin d’écrire et de réaliser son premier film mettant en scène les personnages de Kaïra Shopping. Plusieurs acteurs célèbres acceptent de rejoindre la distribution de ce premier film à petit budget : Ramzy Bédia, François Damiens, Éric Cantona, Élie Semoun, Alex Lutz, les rappeurs du groupe Mafia K’1 Fry,Katsuni, le DJ CutKiller (déjà présent dans le film La Haine) et la comédienne Alice Belaïdi (Molière 2010). C’est la première fois qu’une web-série voit ses personnages évoluer vers un film de cinéma.

Quelle imagination ! Un film sur les racailles et la banlieue, 20 ans après La Haine du fils Kassovitz, qui se faisait racketter (en vrai) sur le tournage... Un fantasme de petit bourgeois planqué en lieu et place d’une sociologie élaborée de la banlieue... Toujours le syndrome et l’arnaque SOS Racisme.

Le film, distribué par Gaumont, est d’abord présenté lors des « Off » du Festival de Cannes par le président Thierry Frémaux, en présence de Jean Dujardin. Les Kaïra sort en salle le 11 juillet 2012 et rencontre un important succès critique et public avec plus d’un million de spectateurs. Le film devient d’ailleurs le film le plus rentable du cinéma français en 2012.

Après Canal et la pub, Cannes. Toujours le même axe de la Propagande. Et bien sûr, la grosse daube est accueillie les bras ouverts à Cannes, l’antichambre de la propagande cinématographique, la cuisine où sont préparées les injonctions oligarchiques fourrées dans la tête du public jeune. Un viol mental de masse, en vérité.

Franck Gastambide reçoit le 5 février 2013 le Trophée de la meilleure première œuvre attribué par Le Film français, en compagnie de ses proches : Ramzy Bedia, Alice Belaïdi et ses producteurs Éric et Nicolas Altmayer.

Tiens, les frères Altmayer, toujours dans les bons coups, hein, avec leur juteux divertissement de bas étage.

Le 22 février 2013, il participe avec ses compères du film Les Kaïra, à la 38e cérémonie des César, en remettant les Césars du meilleur son et de la meilleure photo.

La consécration c’est de participer à la soirée la plus chiante de l’année, le raout mondain consanguin où la grande famille du cinéma, à moitié débile, se verse en bavant des récompenses en toc.

En tant qu’acteur, il enchaîne les rôles de meilleur ami dans des comédies : Vive la France, Les Gazelles, Toute Première Fois ou encore Good Luck Algeria. Enfin, il est au casting du thriller franco-canadien Enragés, d’Éric Hannezo.

De plus en plus haut dans l’échelle de Bien-Pensance ! Mais Franck grimpe les échelons, c’est tout ce qui compte.

 

Il endosse à nouveau sa casquette de réalisateur pour Pattaya, film racontant les mésaventures de trois potes de quartiers en vacances en Thailande. Son second film ayant un plus gros budget que le premier, Franck Gastambide s’entoure d’acteurs confirmés de la comédie française : Gad Elmaleh, Ramzy Bédia, Sabrina Ouazani et du jeune humoriste Malik Bentalha. Le film sort le 24 février 2016 et atteint quasiment 2 millions d’entrées en quelques semaines, ce qui en fait un des films français ayant fait le plus d’entrées en 2016.

(Attention, si certaines scènes du film ont l’air drôle, et elles le sont,
elles figurent en revanche toutes dans la bande-annonce)

 

Quoi ? Gad Elmaleh, Ramzy Bedia, acteurs confirmés de la comédie française ? Attention, à ne pas confondre avec la Comédie française, d’où est issu par exemple Benjamin Lavernhe, vrai comédien, exceptionnel dans Le Sens de la fête, excellent dans Radiostars, ces comédies de qualité à l’écriture raffinée. Quant à Pattaya, ce film fait sur mesure pour les banlieusards qui tripent sur la Thaïlande et le cul facile, il ressemble étrangement aux comédies trash américaines du réalisateur producteur de confession hollywoodienne Judd Apatow, l’homme qui se fait des couilles en or avec les couilles pleines des adolescents.

La même année, il retrouve Camille Cottin pour un second rôle dans la comédie dramatique Cigarettes et Chocolat chaud, de Sophie Reine. L’année suivante, il surprend dans un registre dramatique, en tête d’affiche du drame La Surface de réparation, de Christophe Régin.

 

Camille Cottin, c’est la Connasse de Canal qui emmerde les gens qui bossent (des gueux tout juste bons à servir de décor naturel et de faire-valoir) et devant qui tout le milieu se prosterne, alors qu’elle n’a fait que chier sur les pauvres dans la série du même nom. La bonne vieille dégueulasserie parisianiste dirigée contre ces pauvres ploucs de Français. Des ploucs qu’on appelle aujourd’hui avec un peu plus de respect et de crainte les Gilets jaunes.

Pour son troisième projet en tant que réalisateur, Franck Gastambide choisit le cinquième volet de la célèbre saga Taxi. Il en est aussi l’un des acteurs principaux, aux côtés de Malik Bentalha. Le film sort le 11 avril 2018.

 

Taxi est au public jeune ce que la bouffe industrielle est aux poulets en batterie. Après on s’étonne en haut lieu que les salles soient vides et qu’il faille chercher d’autres canaux de propagande que le cinoche, ce 7e art détourné par les enfants décomplexés et dénués de talent de la nomenklatura « française ».

 

Ce cinéma qui ne passe pas au cinéma

La France dépossédée de son Art, sur E&R :

 






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45 Commentaires

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  • #2141676
    Le 9 février 2019 à 22:02 par Cauchemard
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Ce genre de propagande tournée avec la participation de collabos de bas étages, marche-t-elle encore vraiment ?

     

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  • #2141690
    Le 9 février 2019 à 22:26 par Félix Dzerjinski
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    décadence, déchéance du 7ème art en France a tous les niveaux et bien en deçà, en dessous du niveau de la mer et de la terre ... dans les enfers le niveau .

     

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  • #2141757

    Le pire du pire, l’humiliation qui s’ajoute à la honte, c’est la gabegie de financements publiques dont se gavent ces pseudo créateurs. On parle de millions en subventions diverses et variées, sous des formes plus inventives les unes que les autres, une véritable saignée sur le contribuable pour produire... ça.

     

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  • #2141799

    De tout ce que vous avez cité, je n’ai vu que Taxi 5 de Franck Gastambide, du coup je ne serais pas aussi dur que vous sur ce film mais....
    Le film est agréable, en filigrane il y a cette histoire d’amour entre un mâle blanc chauffeur de taxi (sic) et une beurette mécanicienne auto de génie (re-sic).
    2 choses super courantes de nos jours pour ce type de profil, n’est-ce pas ?
    Du coup la situation est un peu bête (volontairement je pense pour amoindrir les esprits faibles)

    Pataya, je n’ai pas vu, mais le pitch m’a bien fait marré (je suis originaire de la banlieue, c’est peut-être pour ça). Du coup j’irai peut-être le voir...

    Je constate que Franck Gastambide est à l’image d’une certaine partie de la population française : Mâle blanc, très intelligent, hétéro, non raciste et qui kiffe avoir des amis arabes, feujs et blacks. En cela je pense qu’il est assez représentatif, on peut le dire un symbole. C’est probablement aussi pour cela que ça marche bien pour lui.

    ...

     

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    • #2142105

      à l’image de la France d’aujourd’hui
      une France complètement allogènisée,
      déchristianisée et islamisée à outrance
      en perte d’identité nationale et ou
      les disparitions programmées de sa culture
      ainsi que de son passé historique sonnent
      le glas d’un pays multi millénaire tel que la France .

       
  • #2141838
    Le 10 février 2019 à 10:56 par GERARD R.
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Si l’on en croit l’actualité, les exploitants des salles dites obscures, ne bandent pas beaucoup, en ce moment. Il y aurait donc une justice naturelle, qui sanctionne le torrent de merde propagandiste, qu’est devenu le cinéma "français", que cela ne m’étonnerait pas. Or, il devient plus difficile, d’imputer la responsabilité des téléchargements et des streaming, vu qu’il est pratiquement impossible de regarder à l’œil (sans jeu de mots) la merde précitée, sur le Net.

     

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  • #2141945
    Le 10 février 2019 à 13:52 par Savonarole
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Mais qu’est ce qu’on a fait au bon Dieu pour mériter des bouses pareilles ?

     

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  • #2141981
    Le 10 février 2019 à 14:35 par jesuismoi
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Quel public pour cette daube ? Des Charlie ignorants totalement endoctrinés et irrécupérables.Tout comme le corps a besoin de nourriture seine,il en est de même pour l’esprit.Ne sommes nous pas ce que nous mangeons ou lisons ?

     

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  • #2142226
    Le 10 février 2019 à 21:17 par Fiodor Vassilievitch Tokarev
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Il a une tête à mettre des perruques et à chanter à l’Eurovision

     

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    • #2142455

      le cinéma pseudo Français dénaturé et dégénéré doit se mettre sur le même niveau intellectuel
      et culturel c’est dire au niveau zéro de tous ces cinéphiles en rebeu attitude wesh-wesh wallah
      d’où le succès grandissant de ces réalisateurs et acteurs dégénérés et déviants anti Français
      qui se revendiquent artistes mais qui sont en réalité des imposteurs, des usurpateurs, des escrocs, des charlatans du 7ème art
      rémunérés grassement avec les aides publiques et sponsorisés par le ministère de la culture .

       
    • #2142579

      . . . plutôt le Ministère de l’Inculture ...
      et de la propagande Maçonnique

       
    • #2142762
      Le Février 2019 à 19:07 par Enculeur de mouche
      Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

      Ethnomasochisme quand tu nous tiens !
      Prochaine étape la Fistiniére

       
  • #2142669
    Le 11 février 2019 à 17:33 par REAC sans concession
    Damien veut changer le monde : la bouse pro-migrants du cinéma (...)

    Bravo !!!!milles fois bravo ER pour ce papier, cet historique sur cet acteur ????a deux balles !!!!!!
    Le cador qui a écrit ce sujet est bien remonté (comme moi) oh !!que oui je le comprend, d’années en années, tout les moyens sont bon pour dégueulasser les valeurs de la France ET SA CULTURE.
    pauvre culture,comme pauvre France : tout ce cinema communautaire,pro migrant,ultra libérale,sionard,anti-raciste MAIS SURTOUT(oui)ANTI-FRANCAIS me donne la gerbe, il n’y a que ca, partout a la tv:les victoires de la musique :
    que des chanteurs ou chanteuses issu de l’immigration ou collabos avec des chansons merdique : seul etienne daho représentait le passé pop de la France:et nous avions l’impression qu’il genait : car dans le show bizz ou chaude pisse actuel, il faut etre homo,lesbienne,issu de l’immigration, pro lgbt,et saupoudré(evidemment)d’une bonne dose de mépris pour la France et ceux qui l’aiment.
    CONCLUSION/
    ces dix dernières années, nous avons vu partir alain bashung, jacques Higelin,johnny Hallyday and co......................et avec la mort de ce dernier, ce fut définitivement la fin de la bonne chanson francaise:qu’elle soit rock ou non : n’en déplaise, Hallyday ou bashung etaient des monstres ,alors que nous subissons(pas moi) tout ces orelsan, maitre gims,christine and the queen,jull et d’autres merde infame pute du systeme...........................OUI je le dis haut et fort : C’ETAIT MIEUX AVANT.

     

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  • #2143221

    L’industrie du cinoche est une machine de guerre idéologique. Comme les media. Comme la franc-maçonnerie.

     

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