Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Dépakine, vers l’un des plus gros scandales sanitaires français ?

Ce pourrait être l’un des plus gros scandales sanitaires qu’ait connu la France. Une étude alarmante de l’Agence française du médicament concernant la Dépakine, un médicament prescrit contre l’épilepsie, aurait été étouffée par le gouvernement. Accusé de provoquer des malformations sur les fœtus, le traitement aurait été pris par 10 000 femmes enceintes entre 2007 et 2014.

 

 

La terrible litanie des scandales pharmaceutiques et médicaux français, voir sur E&R :

 






Alerter

28 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #1531610

    Les effets tératogènes du valproate de sodium sont connus depuis des années, même si l’information semble avoir mis du temps à arriver aux oreilles de certains médecins. Je veux bien qu’on accuse l’administration de manque de réactivité (ou de corruption dans certains cas), car il est toujours bon de s’améliorer, mais franchement, l’information était très largement diffusée, c’est indéniable. Les journalistes semblent s’être jetés sur le premier rapport un peu incisif qui leur était passé sous le nez. Ce "scandale" sanitaire ressemble plus à un jouet médiatique qu’autre chose. Il y a énormément de médicaments (comme les anticoagulants) dont le mésusage produit bien plus de victimes, mais personne n’en parle parce qu’aucun rapport de ce type n’est venu mâcher le travail pour la presse...

    Ne pas se laisser avoir par les lubies médiatiques. Les effets nocifs du tabac, de la télévision, ou même du mauvais usage des antibiotiques ont dû pourrir la vie de plusieurs dizaines millions de personnes depuis des années (pour ne pas dire de toute la société), mais comme il faudrait accuser les 9/10e de la population française pour leur comportement, on préfère considérer qu’il s’agit de non-problèmes et s’agiter sur des affaires mineures (en comparaison), et vieilles de plusieurs années...

     

    Répondre à ce message

  • #1531626

    En ce qui me concerne ils pourraient mettre de l’arsenic dans les médicaments que je ne risquerais rien. Pourquoi ? Parce que moi je ne consomme pas de drogue.
    (Ici en Suisse) j’ai passé quelque mois à travailler avec un groupe de jeunes mères françaises, et j’ai été extrêmement choqué à chaque fois que je les entendais parler de leurs enfants : ça ne parle que de cachets, compléments alimentaires, pédiatres, orthophonistes, psychologues, orthodontistes, au point qu’on croit avoir affaire à une horde de mollusques souffreteux habitant sur une planète hostile.
    Sérieusement c’est quoi cette posture qui consiste à se considérer malade par défaut ?
    On est faits pour être en bonne santé et on l’est naturellement !

     

    Répondre à ce message

    • la dépakine est un traitement en réponse à l’épilepsie. Tu ne prends pas de médicament car tu n’as apparemment pas de pathologie ; mis à part peut être celui de produire des commentaires de vegan à la con.

      Je te souhaite de ne pas devenir souffreteux dans ta vie. Souffreteux selon ta définition :
      pas de carrie, pas de migraine, pas d’angine, pas de phlébite, pas d’allergie, pas de fracture. Je serais curieux de voir combien de temps tu tiendrais avec un abcès sous le pied sans traitement.

      On est fait pour être en bonne santé, mais la statistique tend à nous montrer qu’on meurt tous de quelque chose. Continue à traiter les diabetiques ou les asthmatiques de drogués si cela te chante, parce qu’ils ont le tord d’utiliser des substances qui les soulage. mai essaie aussi de nuancer ou de trouver un juste milieu dans ton propos, parce que les gens n’ont pas d’autre choix que de se tourner vers ce qui existe ou ce qui leur est accessible en terme de traitements.

       
    • @ jaejae
      Je pense que tu n’as pas saisi le contenu de son commentaire, il ne parle pas de l’article mais de la sur-inquiétudes des mères face aux différents bobos de leur petits, dès qu’elles détectent la moindre anomalie (qui en général ne sont que passagère).

       
    • #1552704

      Merci @Chaos, un peu de bon sens ne fait pas de mal ^^
      Ma posture personnelle face à la maladie (même si je sais qu’elle est plus difficile à tenir en situation pratique), c’est que nous avons aussi un "destin génétique", en quelque sorte.
      Nous devons accepter nos faiblesses (asthme, peau fragile, cancer, épilepsie...) comme les handicapés physiques acceptent leur handicap. Ou alors c’est la porte ouverte au handisport, au transhumanisme, au mariage pour tous et à toutes les autres saloperies contre-nature dans ce genre.
      Comme je le disais on est avant tout faits pour être en bonne santé, et en dernière instance on est aussi faits pour mourir !

       
  • #1531641

    Tss. Tout ça quand on sait (depuis 10000 ans) qu’avec des préparations à base de cannabis, on peut empêcher les crises d’épilepsie de manière efficace. Si avec ça on a pas la preuve que l’interdiction de certaines plantes, dont fait partie le cannabis, est uniquement bon pour les intérêts de certains (trafiquants de drogues assermentés/non-assermentés), ben je sais pas ce qu’il faut alors.

     

    Répondre à ce message

    • #1532099

      Franchement qd je lis ce genre de commentaire, je sais qui se trouve derrière ! Un ramolli du cerveau par le cannabis. Le genre qui ne s’interroge même pas sur son addiction, ou qui prétend ne pas en avoir qu’il arrête quand il veut même s’il n’arrête jamais, le genre qui cherche à justifier sa consommation parce que c’est bon pour la santé, que ca ne ramolli pas le cerveau, que c’est pas vrai que ca transforme en Zombi !

      Le cannabis est mauvais pour la santé, ça détruit, ça transforme les gens en mollusque. Et pourquoi la morphine pendant qu’on y est puisqu’elle est utilisée comme anti douleur !

      C’est vrai que relayer votre intox arrange plutôt les autorités, les trafiquants de drogue et permet d’avoir une partie de la population totalement anesthésié. Ça tombe bien c’est ce qu’ils veulent !

       
  • Pardon de casser le délire, mais l’Etat (ou le gouvernement) ne peut pas être accusé de vouloir cacher une information qui est écrite dans la notice du médicament  !

    Ma sœur est épileptique, et une fois enceinte son médecin a été clair avec elle : soit elle prend le risque de traumatiser (peut-être mortellement) le bébé avec ses crises d’épilepsie, soit elle prend de la dépakine pour éviter de telle crises mais il y a alors le risque d’engendrer des malformations chez son enfant.
    C’est cornélien, on lui demande de choisir entre la peste et le choléra, mais ni l’Etat ni Sanofi n’y sont pour rien. A ce jour, aucun laboratoire pharmaceutique ne produit mieux que la dépakine ; et ses possibles effets secondaires sont connus et déclarés depuis les années 70.

    Autrement dit, les plaignantes sont sans doute victimes (si victimes il y a) de médecins incompétents qui ne les ont pas informées. A moins qu’elles feignent aujourd’hui d’avoir toujours ignoré ce qu’elle savent pourtant depuis le début, histoire de récolter quelques euros.

     

    Répondre à ce message

  • #1531752

    Banale anecdote républicaine.

     

    Répondre à ce message

    • d’accord avec vous...

      Je rajouterais que le scandale à venir (bien plus important) ca va être quand sera reconnu que les ondes électromagnétiques de nos joujoux nous défoncent la santé à tous, créent des cancers, des electrosensibles, des leucémies chez les enfants et rendent petit à petit stériles.

      Mais bon, les gens sont pas prêts encore à entendre ça... (ca fera d’autant plus mal quand on va se prendre ça dans la gueule !).

       
  • #1531830

    J’ai échangé à ce sujet avec un collègue de boulot ce matin. J’expliquais en 2 mots que les lobbys de l’industrie pharmaceutique n’avaient pas pour objectifs de soigner les gens mais de gagner un maximum de pognon, au contraire plus les gens seront malades mieux ce sera. On soigne une maladie par un médicament en provoquant une autre du coup ça fait double passage à la caisse, voir triple.
    En moins de 2 minutes je suis passé pour un complotiste paranoïaque.
    Du coup pour illustrer mes dires je suis simplement allé sur la page wikipédia, naivement, qui indique ceci :
    L’acide valproïque affecte les neurotransmetteurs GABA (en tant qu’inhibiteur de la GABA transaminase). L’acide valproïque est aussi un inhibiteur des histones désacétylases (HDAC) aux concentrations correspondant à une utilisation clinique2. Cette activité sur les HDAC se traduit par une activité de différenciation sur certains types cellulaires y compris cancéreux, et pourrait expliquer les effets tératogènes* de ce médicament.
    * La tératogenèse désigne la production de malformations. Issu du grec, le terme signifie littéralement « création de monstres » ; il dérive de la tératologie, l’étude des causes et du développement des malformations congénitales. Le terme de « tératogenèse » a aussi un sens plus restreint, désignant le développement « anormal » de masses cellulaires durant la croissance fœtale, causant des déformations au fœtus.
    Tout ça pour dire qu’en moins de 30 sec de recherche on s’aperçoit que le composant principal de ce médicament était connu pour développer des malformations et cela depuis des années ...
    Hélas les gens ne cherchent rien par eux-mêmes et sont totalement endormis par la matrice. J’ai trouvé ça pathétique je partage avec vous cette anecdote je pense ne pas être le seul à rencontrer ce genre de réaction.

     

    Répondre à ce message

  • Dans un registre similaire
    Extrait d’un courrier de Jean-marc Dupuis

    Le pire effet indésirable du paracétamol

    C’est un coup de tonnerre dans le monde de la médecine.

    Une nouvelle étude d’Oxford [1] parue dans la revue « Social Cognitive and Affective Neuroscience » montre que le paracétamol, qui supprime nos propres souffrances, réduit aussi de façon dramatique notre capacité à comprendre et partager les souffrances des autres !

    Ce n’est pas étonnant quand on y réfléchit :

    Les circuits nerveux (dans votre corps et votre cerveau) qui vous font ressentir de la douleur physique sont, en grande partie, les mêmes que ceux qui s’activent quand vous voyez quelqu’un souffrir, se faire torturer, ou se pincer les doigts dans une porte.

    Si vous bloquez les uns, cela bloque les autres.

    Cet effet indésirable s’ajoute aux autres déjà bien connus pour le paracétamol : les risques pour le foie...

    ...Des accidents arrivent même en l’absence de surdosage, avec une utilisation normale, selon une étude publiée le 23 novembre 2011 dans le British Journal of Clinical Pharmacology.

    Mais bien sûr, le risque devient très important si l’on dépasse les doses recommandées. Si vous prenez plus de 4 comprimés de 1 g par jour pendant 7 jours, vous entrez dans la zone dangereuse où vous pouvez mourir d’hépatite fulminante (une destruction accélérée et totale de votre foie).

    D’où l’importance de se méfier de ce médicament pourtant réputé « anodin ».

    Conséquences possibles sur le couple et la vie amoureuse
    Le paracétamol est le médicament le plus consommé de France, avec 500 millions de boîtes chaque année.

    Aux Etats-Unis, une personne sur quatre prend du paracétamol chaque semaine.

    À ce niveau de consommation, on peut supposer que le paracétamol influence les rapports sociaux à grande échelle dans les pays occidentaux.

    Imaginez par exemple que vous vous disputiez avec votre conjoint.

    Vous dites ou faites des choses qui le font souffrir, pleurer

    Normalement, arrive vite le moment où vous comprenez que vous êtes en train de lui causer du mal, qu’il faut arrêter, demander pardon...

    ...Sans vous en apercevoir, ce médicament bloque, au moins partiellement, votre capacité de compassion...

    Le journaliste Alexandre Imbert voit même dans les antidouleurs une explication possible de l’étrange apathie, résignation, dont nous faisons preuve face aux horribles attentats qui se succèdent...

     

    Répondre à ce message

  • #1531911
    Le 11 août 2016 à 02:37 par pline l’ancien
    Dépakine, vers l’un des plus gros scandales sanitaires français (...)

    Remettons les choses d’à plomb.
    Les risques sont connus depuis avant 2007.

    Si vous voulez des infos en béton, prenez un dictionnaire VIDAL que les praticiens (médecins, pharmaciens...) utilisent tous les jours.
    Que lit-on dans un VIDAL de 2006 :
    - que TOUS les anti-épileptiques augmentent le risque de malformation (environ 3 fois plus)
    - que pour la Dépakine ou le Dilantin, il s’agit de malformations cranio-faciales ou de retard de croissance intra-utérine, ou encore de retard mental
    - que pour le Gardénal ( + ancienne molécule, connue avant-guerre de 39/40 sous le nom de Véronal), il s’agit de malformations cardio-ventriculaires ou labio-palatines (bec de lièvre)
    - etc, etc...

    Alors de grâce, ne tombez pas dans le panneau de nos médias qui en plein mois d’Août n’ont rien à se mettre sous la dent (en dehors de JO)

     

    Répondre à ce message

  • #1531921
    Le 11 août 2016 à 04:56 par Rémi O. Lobry
    Dépakine, vers l’un des plus gros scandales sanitaires français (...)

    Laboratoires Servier, 33 ans, Neuilly 1985
    Guess what... Les laboratoires Servier n’existent pas. Ce qui existe c’est le Cercle
    Hippocrate, une association à but non lucratif où se réunissent des « adhérents » qui discutent des
    rapports, des liens entre toutes sortes de petites entreprises. Jacques Servier n’aime pas le droit du
    travail, les comités d’entreprise et le syndicalisme. Il n’aime pas non plus que l’état vienne farfouiller
    dans ses affaires. Aussi, pour chacune de ses molécules (médicaments), activités, il créé une
    nouvelle entité, une nouvelle boite. Là je travaille pour Praxis (son service informatique) et mon
    client est Artem, une sorte de petite maison d’édition qui fabrique ses brochures, sa pub et ses
    communications. D’un point de vue comptable toutes ces boites s’imputent (débit-crédit) les unes les
    autres et c’est un joyeux bordel. Lorsque des services administratifs viennent mettre leur nez là
    dedans ils n’y comprennent rien (c’est fait pour) et on peut imaginer que c’est pour éviter de passer
    pour des cons qu’ils font d’excellents rapports comme quoi tout est nickel.
    Servier (Praxis) bosse sous VM/CMS, mon environnement IBM préféré. VM ça veut dire
    Virtual Machines, c’est à dire que tout se passe comme si chaque utilisateur possédait son propre
    ordinateur qui cause avec les autres. Si j’ai bien tout compris IBM a surtout créé cet environnement
    pour faire passer tous ses clients de DOS/VSE à MVS/TSO. Mais Servier sous estime la puissance
    de cet environnement, tout ce qu’on peut faire avec et surtout qu’un prestataire venu de l’extérieur
    comme moi puisse faire des choses dont il ignore jusqu’à l’existence. Ce qui fait que, dès le
    deuxième jour, j’imprime la liste de tous les mots de passe de leur protocoles en aveugle, en double
    aveugle, ainsi que tous leurs petits secrets et la leur colle sous le nez. De deux choses l’une : ils
    flippent ou on négocie. Jacques Servier en personne décide qu’il vaut mieux m’avoir de son coté et
    me propose la botte.
    Parlons un peu de ma petite philosophie quant au monde du travail. Je suis un mercenaire.
    Deep down, I’m a (kind of skinny) dog of war. Je tiens incroyablement mes distances avec les
    diplômes, le baratin, le blabla, le piston (qui n’est pas une recommandation). Pour moi on ne vaut
    que parce ce que l’on sait faire ou sommes prêts à apprendre/comprendre. C’est la raison pour
    laquelle je refuse toujours de m’engager « à vie » vis à vis de quoi que ce soit (cela ne comprend pas41
    le divin, ni tomber

     

    Répondre à ce message

  • #1532312
    Le 11 août 2016 à 16:54 par Pépé le Moko
    Dépakine, vers l’un des plus gros scandales sanitaires français (...)

    Faut en tenir une sacrée couche pour croire aux vaccins big pharma !!!

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents