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Deux tiers des collégiens n’ont pas eu la moyenne en maths au brevet

Mais 85 % ont obtenu le diplôme

Près de deux collégiens sur trois n’ont pas obtenu la moyenne à l’épreuve écrite de mathématiques du brevet en 2014, selon une note du ministère de l’éducation nationale. Ce qui n’a pas empêché 85,4 % d’entre eux d’obtenir ce diplôme national du brevet.

Rien d’étonnant, puisque les élèves de troisième peuvent compter notamment sur les notes obtenues tout au long de l’année, qui pèsent plus de 50 % dans la note finale, afin de contre-balancer une mauvaise copie en maths. Le brevet prend en effet en compte les notes obtenues aux trois examens sur table des épreuves finales (français, histoire-géographie et mathématiques), l’oral d’histoire des arts, mais également la maîtrise du socle commun de compétences et les notes de contrôle continu de troisième.

La ministre de l’éducation, Najat Vallaud-Belkacem, a proposé en décembre une « stratégie » pour rendre l’apprentissage des mathématiques plus ludique, avec l’utilisation de jeux et de calcul mental, ainsi qu’un recours à l’informatique et l’algorithmique.

Lire la suite de l’article sur campus.lemonde.fr

Voir aussi, sur E&R :

Comprendre les raisons du désastre avec Kontre Kulture :

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40 Commentaires

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  • #1147411

    Pour avoir passé cet examen l’année dernière, je me souviens que la partie qui posait problème était justement aux programmes de 5eme-4ème (volumes e conversions si ma mémoire est bonne) et qu’ainsi peu d’entre nous avaient révisé les cours correspondant. Au final, celui qui avait 18 habituellement car il savait apprendre par coeur une leçon pour le lendemain avait complètement foiré le brevet... Et il est tout à fait vrai que le niveau demandé est ridiculement bas. La partie Histoire a été très bien réussie car les questions ne portaient que sur la première guerre mondiale (du genre trouver la date de la photo dans sa description) et la décolonisation. Et puis vous avez l’histoire des arts qui offre un 30/40 (minimum) au premier gus capable de pondre 2 phrases.

     

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  • #1147548

    moi j’ai eu du peau, comme mon père était prof de maths tout le monde me disait "Alors tu dois être bon en maths !". Et comme j’étais un petit garçon bien obéissant je me suis retrouvé à être bon en maths. Faut arrêter de dire que les maths c’est difficile, c’est élitiste. C’est comme une mère qui à peur de l’eau et qui flippe dès que son gamin s’en approche, ce gosse ne saura jamais nager.

    Les maths sont avec la musique le langage universel.

     

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    • #1147653

      Les maths, c’est comme la musique, c’est vrai ...C’est facile jusqu’au doctorat . Pendant vingt ans , comme pour le piano , on ne fait que des gammes, on ne répète que ce que les prédécesseurs ont inventé , théorisé , découvert auparavant. Rien de plus ! C’est après qu’il faut prouver que l’on est MOZART ! Mais là , il y a peu de monde . Pour 98 % des lycéens le bon en maths n’est qu’un escroc, un singe savant , capable de reproduire ....Il en va tout autrement pour les matières méprisées de notre système éducatif , celles qui induisent l’esprit créatif : les lettres ; la philosophie, les arts plastiques ( les vrais , pas les collages de nouilles...).
      Mais, pour en revenir à l’article ...Ne pas obtenir la moyenne en maths, au brevet ...C’est désespéré , surtout avec ce qui leur est demandé aujourd’hui !

       
    • Je suis musicien, en revanche j’étais tellement nul en maths que je ne les ai même pas passées au Bac. (Passé de 1re ES à Terminale L, oui, c’est possible, quand on a directeur qui n’a pas envie qu’un jeune foire tout à cause d’une seule matière quand ça fonctionne plutôt correctement à côté.)

      J’ai une grande conscience de leur utilité sur un certain nombre d’aspects, néanmoins leur enseignement de manière complètement abstraite, me parait vraiment contre-productif.

      Ça fonctionne bien chez certains, chez moi ça n’a pas du tout été le cas.

      Qu’est ce que j’en ai à branler d’un logarithme népérien si je ne veux pas être un scientifico-mathématicien plus tard ? Ou d’un vecteur ? Ça va m’apprendre à distinguer un platane d’un chêne ? Un chevreuil d’un sanglier ? Une double croche d’une croche pointée ? À écrire des doux mots d’amour à ma Chérie ? À calculer mes factures ? Non.

      Qu’on apprenne déjà à additioner, multiplier, soustraire, faire des pourcentages. Ainsi que des principes géométriques de base (volumes, surfaces, angles…).
      Le reste, je serais d’avis de le laisser à ceux qui sont intéressés, plutôt que l’imposer et donc de dégoûter des littéraires convaincus, qui parfois sont à deux doigts de louper leur Bac alors qu’ils cartonnent dans les matières littéraires et l’histoire.

      Le melon du prof (de math ou autres, mais souvent de math, de ce que j’ai connu) qui décrète qu’on a 0 même si on trouve le bon résultat à chaque fois, parce qu’on a l’outrecuidance de ne pas trouver SA méthode, à LUI (méthode qu’il a probablement repris lui-même, mais passons…)...

      C’est précisément ce genre de connards, doublés aux abrutis égalitaristes à outrance, qui nous conduisent à avoir un système scolaire déplorable.

      Monde de merde. (Référence à la classe américaine).

       
    • @Mdv
      "Le melon du prof (de math ou autres, mais souvent de math, de ce que j’ai connu) qui décrète qu’on a 0 même si on trouve le bon résultat à chaque fois, parce qu’on a l’outrecuidance de ne pas trouver SA méthode, à LUI .....C’est précisément ce genre de connards, doublés aux abrutis égalitaristes"

      Bon, c’est simple je vais te répondre au moins sur ça, comment veux tu apprendre quelque chose d’aussi fin que les mathématiques si tu commence à faire tes propres méthode ?

      Le résultat en mathématique ne signifie rien en soi tu peux me croire (c’est important oui je ne nie pas), c’est le raisonnement et le cheminement qui compte on te donne un bagage théorique (qui est mal transmis la faculté m’a fait prendre conscience de cela) puis grâce à celui la on te donne le moyen le plus efficace de trouvé la réponse sur tous les énoncés possible si tu improvise tu va être limité, il faut parfois prendre le temps, d’avoir du mal pour bien apprendre sinon tu progresse jamais donc ton professeur il avait raison, mais c’est bien tard que tu prends conscience de cela.

      Les mathématiques ont des règles qu’il faut respecter, il y a des choses à connaître qu’il faut apprendre c’est obligatoire, tu ne peux pas faire l’économie de cadrer ta pensée dans cette matière, la moindre erreur de raisonnement (ou raisonnement improvisé sans logique) peut rendre une réponse fausse, mais jamais une réponse sera fausse avec le bon raisonnement c’est pour cela que le résultat à peu d’intérêt sans cheminement efficace voilà à toi de voir si tout est de la faute de ton prof.

      Mais il faut arrêté d’insulter cette matière comprend moi bien je respecte les littéraires mais il ont trop tendance parfois de se méprendre sur les maths, n’importe qui ne peut devenir grand écrivain pareil pour les mathématiques c’est pas n’importe qui devient fort à ça, à l’école j’avais de très mauvaise note en matière littéraire je n’ai jamais rejeté la faute sur mes professeurs mais sur moi même c’est moi qui n’aimais pas trop ça( plus maintenant) et donc je faisais pas d’effort pas de mauvaise foi pour mo. Il faut de l’humilité chaque matière mérite d’exister personne ne doit simplifier la beauté de toute ces matières sinon c’est méprisé nos prédécesseurs.

      Désolé de ce message long mais il fallait le dire...

       
    • @skds
      Salut, bon, je vais un peu nuancer mes propos, visiblement ils n’ont pas été compris.

      Le résultat ne signifie rien si on vise à être mathématicien. Quand on est dans le concret de la vie (calculer ses revenus, un volume en maçonnerie en cuisine, un pourcentage, les courses, des principes géométriques pour faire une charpente... Des choses simples en somme), c’est le résultat qui compte.

      Les mathématiques demandent de la rigueur, de la logique, et il est nécessaire, comme dans tous les domaines, d’avoir quelqu’un qui nous guide, on est d’accord. Certains ont besoin d’être guidés avec douceur, d’autre à la baguette, d’autres entre les deux, etc. Pas facile l’enseignement.
      Un prof étroit d’esprit peut rapidement s’avérer catastrophique pour un certain nombre d’élèves. Et il y en a... Je n’ai pas dit qu’il n’y avait QUE ça.

      Dans le domaine du concret de la vie, si on a une méthode qui fonctionne de façon fiable, je ne vois pas pourquoi un prof digne de ce nom devrait tailler et mettre une sale note à des élèves qui ne veulent pas devenir ingénieurs mathématiciens.
      Si j’avais visé un cursus scientifique, d’accord, ça n’aurait pas été pareil. Mais ce n’était pas le cas, et ça n’a pas arrangé mon divorce scolaire avec cette matière.

      Je parle à partir d’un certain niveau. Les logarithmes, les vecteurs, même les équations, ça ne m’a jamais servi, et je ne vois pas tellement comment ça le pourrait pour ce que je fais.
      C’est sûr qu’on ne va pas réinventer le théorème de Pythagore... Il y a des passages obligés, évidemment. Mais il y a des manières de les emprunter.

      Une de mes ex n’a pas eu son bac à cause d’une seule matière : les maths. Note en dessous de 5, éliminatoire. Elle ne visait pourtant pas un cursus mathématique. Logarithme népérien (pour attendre). Si ça ce n’est pas oeuvrer pour dégoûter les gens...

      À présent je relis mon commentaire précédent, je ne vois pas à quel moment je rejette complètement la faute sur profs ainsi que le moment où j’aurais insulté cette matière.

      Les logarithme népérien oui, j’en ai rien à branler. Je n’ai pas dit que c’était de la merde. J’ai dis que moi, ça ne m’intéresse pas car je n’en ai pas l’utilité et surtout que je n’y comprends rien.

      On ne peut pas être bon de partout comme tu dis, on peut essayer de faire au mieux. Un prof qui ne descend pas de son piédestal et qui nous taille parce qu’on est pas l’expert scientifiques qu’il voudrait qu’on soit, c’est contre-productif.

       
    • @skds (suite)

      Ce que je dis est valable pour tous les enseignements. Un prof de littérature qui s’acharne sur un matheux convaincu, c’est tout aussi néfaste, je n’ai pas dit le contraire, mais l’article parle de maths.

      C’est valable également pour l’enseignement musical. Heureusement que le conservatoire n’en a pas le monopole...

       
    • @mdv

      Bon je vais aussi mettre de l’eau dans mon vin.... J’aime les mathématiques, c’est un matière qui a une certaine beauté parfois qui impressionne (je te l’assure sans mentir) donc je défends en quelque sorte ma paroisse, je ne voulais absolument pas être agressif

      Je te comprends par exemple je n’ai jamais eu de difficulté à comprendre le logarithme neperien,par contre la subtilité d’un texte littéraire... C’était éprouvant même la philosophie dur de dur.... Enfin plus maintenant aujourd’hui avec la maturité j’ai appris à apprécié la littérature.

      La chose que je voulais dire c’est que a l’école tu ne peux pas apprendre toujours ce qui va t’être utile à toi (l’école n’est pas un suivi individuel et la France aime éduquer leur citoyens à l’intelligence c’est une chance à une époque l’école française donnait des gens très compétent) même si je ne suis pas contre a intégré un côté ludique au chose, je ne suis pas psychorigide.

      Cependant, il faut garder à l’esprit que les professeurs ont les mains liés (bon il y a des dingues c’est sur), ils sont contrôlés sur l’application des programmes et ils sont mal foutu ces programmes

      Pour moi c’est fou la note que tu décris en gros rien n’est rentrer.... Cela est lié au programme de l’éducation nationale mais pas aux professeurs en eux même, je connais des professeurs qui sont très impliqué et arrive à hissé vers le haut des élèves à la dérive dans leur matière c’est du vécu en anglais par exemple j’étais un naufragé.... Un professeur exceptionnel m’a redonné des bases solides même si je n’aimais pas cette matière .

      Il faut aussi remettre en valeur le facteur de progression valorisé les efforts et les bosseurs en étant plus clément car il y en as, il y a rien à faire utile ou pas, il n’y arrive jamais et il faut valorisé leur qualité c’est clair mais par un suivi individuel mais pas que ce raisonnement deviennent une norme sinon on tire le niveau vers le bas personne souhaite cela.

      Je suis pour l’école de la vie mais aussi pour l’école des concepts le tout est faire de son mieux dans chaque activité qu’on entreprend.

       
    • J’ajouterais qu’il faut ouvrir les yeux personne ne peut donner son avis sur une matière de façon honnête, mettre en opposition la simplicité et les mathématiques (en maths il y a des choses simple et difficile cela fait la richesse de la matière) ....... Ça annonce la couleur.

      je dirais quand on se plonge dans une discipline , il y a des choses qu’on apprend au niveau individuel pas utile à tout le monde, mais en général nécessaire à la matière rien n’est la pour décorer alors il ne s’agit pas simplement d’un avis personnel sur tel ou tel chose qu’on apprécie pas et qu’on comprend pas, je ne dis pas moi faire des études de texte me sert à rien pour la simple et bonne raison que cette critique n’a pas lieu d’être, il y a une raison au chose laissons les experts(les bons bien sûr) faire les programme pour apprendre leur matière c’est les respecter car on apprend pour former l’esprit pour obtenir des facultés de compréhension sur tout, on forme à la finesse d’esprit (n’oublie pas qu’avant de te spécialisé tu as une formation générale) .

      Cela rend curieux,ouvert et ça nous permet de comprendre le monde lire Alain soral par exemple ne sert pas à me nourrir mais me permet de comprendre des choses sur un sujet important.

      Après s’il y a des gens qu’ils veulent se former très tôt à des métiers et bien cela existe déjà mais quand il vont essayé de comprendre "la vie de la cité" par exemple il vont être handicapé c’est la qu’on est content de la capacité de synthèse d’un Alain soral parce que lire Descartes ou marx seul c’est...... dur il faut entraîné son esprit à la réflexion pour avoir une chance d’appréhender ça tranquille.... (une formation littéraire aide plus mais moi j’ai fait des maths ma capacité logique m’a aidé aussi je parle juste de compréhension , il ne faut pas mettre en opposition des choses qui se complète).

       
    • @skds : Je n’ai pas eu le sentiment que tu étais agressif, il me semblait bien que tu défendais ta paroisse, comment t’en vouloir :)
      Désolé si de mon côté j’ai pu paraitre agressif. Même si ça fait des années ça reste un sujet très sensible chez moi.

      Les maths me fascinent maintenant que je n’ai plus l’obligation scolaire. Je n’y mets que rarement et prudemment les pieds, mais je n’ai plus l’aversion épidermique que j’avais durant ma scolarité. Ça n’empêche pas que bon nombre de choses restent pour moi du chinois, et qu’un logarithme népérien me parait toujours aussi abstrait et dénué de sens.

      J’ai besoin de palper les choses, d’en comprendre les tenants et aboutissants. Si ça me parait abstrait (quand bien même ça paraitrait concret à la terre entière), je ne comprends pas. Si ça ne me sert pas dans la vie, dans les projets que j’ai, et si en plus on m’y oblige, qu’on me saque, à la longue c’est terminé, le divorce est consommé.

      Les sales caractères éventuels des profs, additionnés à ma connerie de jeunesse (on est pas toujours humainement les plus malins à cet âge là) ont fait le reste.

      Je suis tout à fait d’accord quand tu dis que l’école doit tirer vers le haut, et ne peut pas faire un suivi individuel (ça serait l’idéal, mais comme tu dis ce n’est pas possible avec le système actuel. Les profs sont pris en étau entre l’académie et les élèves/parents de l’autre. Oui, c’est compliqué. L’enfant roi c’est catastrophique. Comme l’enfant sous-merde.

      Le système, additionné à certains profs étroits d’esprits, plus d’éventuelles difficultés, tout ça fait un cocktail pouvant mener des élèves à une aversion envers telle ou telle matière.
      Je n’irai pas jusqu’à dire un traumatisme, quoique pour certains… Pas moi, ouf.

      Je n’étais pas mauvais sur tout. Mais certains trucs : les fonctions, les vecteurs… Totalement incompréhensible, même avec explications.
      Les équations un peu complexes, dur. Sinus, Cosinus, avec l’aide du prof remplaçant, ça commençait à aller pas trop mal en 4e.

      À la suite j’ai lâché prise, et bon, des années sans pratiquer, ça fait vite de gros trous noirs. Je ne suis pas sûr de savoir poser une division par écrit. Il suffirait de revoir la formule, de l’appliquer quelques fois pour être de nouveau habitué, et ça irait tout seul. Mais bon, pourquoi se faire chier quand on a la calculette… Quand j’étais au collège elle était souvent interdite. Avant de devenir obligatoire par la suite.
      Je tâche d’être bon en musique ^^

       
  • #1147569
    Le 24 mars 2015 à 01:41 par Aiguiseur de guillotines
    Deux tiers des collégiens n’ont pas eu la moyenne en maths au (...)

    Ils sont tous à la calculette. Même pas foutu de faire une opération à la main levée.

     

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  • #1147618

    Le bac qui tourne à l’escroquerie depuis des années n’a plus aucune valeur alors le Brevet, n’en parlons même pas. Dans la tête de Najat tous les élèves de France deviennent de plus en plus intelligents chaque année, si elle est contente alors tout va bien. Enfin là, si on regarde juste les chiffres, on peut carrément déduire que les élèves des années 1960 étaient des néandertaliens. Qu’en pensez-vous ? ^^ (je tourne cela en dérision mais en réalité c’est effrayant et infiniment grave)

     

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  • #1147621

    J’avais du avoir 8, et ça ne m’a pas empêché de faire une école d’ingénieur informatique et d’avoir 20 de moyenne en Math a certains semestre 7 ans plus tard ;)

     

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    • #1147706

      Le niveau nécessaire en maths pour faire de l’informatique est assez basique, un mec très bon en maths pourra toujours apprendre à coder, l’inverse n’est pas vrai un mec qui sait coder peut être limité en maths, c’est pour ça qu’il est idiot de vouloir absolument apprendre l’info aux élèves dès le collège

       
    • #1147824

      Le niveau en Math en 4e année est équivalent à spé Math en terminale S. Sans compter les autres matières comme la Business Intteligence qui nécessite un très bon niveau en Math, Quand tu es mauvais en Math, c’est compliqué.
      Sinon oui tu peux être bon en développement et mauvais en Math, on est d’accord ;)

      Je voulais dire par là que c’est pas une fatalité, qu’on peux réussir sans être bon en Math en 3e... ;)

       
    • un mec très bon en maths pourra toujours apprendre à coder, l’inverse n’est pas vrai un mec qui sait coder peut être limité en maths

      Oui et non, tout dépend du projet. Si le code que tu dois produire est hautement mathématique et consiste en la production algorithmique de problèmes mathématiques complexes alors oui un informaticien faible en math aura toutes les misères du monde.

      Mais si l’objet du développement est varié, par exemple un logiciel de généalogie, plus basé sur la notion d’organisation de données, voir même de programmation objet, alors un informaticien peut être une quiche en math et s’en sortir très bien.

      Je penses que l’informatique, la programmation principalement, nécessite plus un esprit logique, structurel, que purement mathématique. En réalité, quand tu développe une application quelque soit le langage, l’usage des mathématiques ne représente qu’une très faible portion du code.

      Le summum est d’être un très très bon programmeur et un très très bon mathématicien, tout les mathématiciens ne sont pas forcément des tueurs en programmation. Là ça devient intéressant.

      La programmation informatique repose surtout sur une bonne notion d’esthétisme, les mathématiciens ne sont pas tout des lumières à ce niveau. Un code écrit par un bon programmeur qui est aussi graphiste sera esthétiquement plus beau, plus léger et plus lisible que celui d’un mathématicien bon programmeur.

      D’ailleurs ce n’est pas pour rien que le monde informatique naissant à vue ses heures de gloire grâce au monde des demomakers amateurs, alliance sacrée de groupes de passionnés qui repoussaient les limites et les restrictions des premières machines en présentant des résultat esthétique de triptyque : animation / graphisme / musique.

      L’informatique n’a pas besoin de diplômes, elle a besoin de passionnés.

       
  • #1147622

    ....85% d’entre eux ont malgré tout obtenu le diplôme....Probablement grâce à leur maitrise parfaite du Français et de l’histoire géo................
    Nous voilà rassurés.

     

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  • #1147722
    Le 24 mars 2015 à 11:53 par Heureux qui, comme Ulysse...
    Deux tiers des collégiens n’ont pas eu la moyenne en maths au (...)

    Bah, si les mômes sont nuls en mathématiques, c’est surtout parce que tout est fait pour qu’ils n’y comprennent rien !

    Problèmes pour classes de troisième :

    - Mouloud vend du "shit" par doses de 3 grammes, combien de temps lui faut-il pour en écouler 1 Kg sachant qu’il va à la mosquée le Vendredi ?

    - Jennifer vient d’acheter un I-Phone avec l’argent de sa mère, combien coûte une bonne mère ?

    - Moshé propose des pantalons à une jambe à Christian pour 50 Euros pièce, pourquoi Christian est-il malhonnête et devra verser 6 000 000 d’Euros de dommages et intérêts à ce bon Moshé (justifier la réponse par la Loi de progression usuraire shoatique) ?

     

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  • #1147724
    Le 24 mars 2015 à 11:57 par franceliberte@free.fr
    Deux tiers des collégiens n’ont pas eu la moyenne en maths au (...)

    Ils ne sont qu’à l’image de ceux qui les "éduquent"
    Quoi d’étonnant quand l’éducation nationale est dirigée par des bourricots
    Moins d’heures de français, le Latin et le Grec qui vont disparaitre, l’histroire qui ne commence qu’à la révolution

    Donc le travail est plutôt bien fait par ceux qui sont derrière tous cela : démolir la France son histoire et sa culture
    Dans moins de 50 ans il serait peut être interdit de parler français, comme cela a été pour les Bretons il n’y a pas si longtemps de cela

     

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  • #1147742

    Pour faire correctement des mathématiques déjà il faut de bonne base logique, cette partie importante n’est jamais inclus ils apprennent les définitions mécaniquement et en plus parfois de façon allégé.

    Quand il s’agit de démontrer un énoncé mathématiques, tu perds moins de temps en comprenant de façon abstraite ce qui est en jeu, je sais vous allez me dire ils ne peuvent pas ils sont trop jeune pour la logique.... moi je dis que c’est à cette âge qu’on doit l’apprendre, arrivé à la faculté rien que d’apprendre les bases logique avec les implications, les réciproques etc...m’ont fait comprendre les définitions correctement(il y a sûrement des cours dédié à ça je ne sais pas mais ils doivent être mal foutu obligé) .

    Il y a plein de personne au collège par exemple qui confonde théorème et réciproque par exemple (pour Pythagore c’est courant) c’est extrêmement grave car quand il s’agit de prouver par exemple qu’un triangle est rectangle ils ne savent même pas quoi appliquer !

    Je m’en souviens très bien de ça.... Encore aujourd’hui j’en suis sûr c’est le cas justement on fait trop dans l’application et la simplification des définitions (c’est nécessaire certes mais la c’est trop) on oublie que les mathématiques c’est une esthétique, rien n’est plus valorisant de trouvé la réponse après un cheminement logique le plus court possible et le plus intelligent (c’est à dire avec des notions les plus simple) , les mathématiques c’est ça, cela requiert de la théorie bien solide (suffisant pour des exercice de collège bien sûr) et bien comprise sinon c’est fichu tu décroche...

    Mais il faut dire que c’est lié au niveau de langue mal maîtrisé, la langue française aussi peut jouer dans une certaine mesure pour exprimé les raisonnements proprement mais c’est un autre problème....

     

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  • #1147745
    Le 24 mars 2015 à 12:28 par Nicolas Tesla
    Deux tiers des collégiens n’ont pas eu la moyenne en maths au (...)

    On devrait prendre exemple sur les Asiatiques (Japonais/Chinois).

    Peut-être un début de piste : l’enseignement (avec la Justice) est l’un des métiers le plus féminisé : 80 % de femmes.

    Il y a sans doute a creuser, notamment sur les méthodes d’apprentissages en particulier leurs effets sur les résultats des garçons (80% des échecs scolaires), l’école moderne est faite pour la psyché des filles.

    Après on s’étonne qu’ils deviennent Jihadistes dix ans plus tard...

     

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