Et ce pauvre gendarme Jambert ! Honnête gendarme "suicidé" de deux balles dans la tête !
et deux balles tirées d’angles différents...
et avec une carabine semi automatique réglementée au moment des faits... nécessitant depuis 1993 une autorisation de 4ème catégorie de la préfecture l’arme étant inscrite (no de série) sur les registres de la préfecture.
il aurait été intéressant et très facile de vérifier dans les archives de la préfecture si le gendarme jambert était titulaire d’une autorisation ce qui indiquerait SI CETTE ARME ETAIT BIEN A LUI ?! ? détenait il seulement (même illégalement) cette arme ? la question a elle été posée a la famille ?
en plus pas de pot pour les assassins, il s’agissait d’une 22 long rifle gevarm, dont les rayures du canon sont caractéristiques... et ça ne correspondait pas aux balles retrouvées qui portaient les marques de rayures d’un profil classiques.
une autre observation FONDAMENTALE !
une arme semi automatique éjecte une douille a chaque tir ! il était par conséquent facile de voir que deux balles avaient étés tirées !! ON LES AURAIT RETROUVÉES LES DEUX DOUILLES VIDES PAR TERRE DANS LA PIÈCE !!
pourquoi les enquêteurs ne l’ont ils pas remarqué et ont ils dans un premier rapport parlés d’une seule balle ?
Le modèle de carabine retrouvé sur le corps de la victime, une arme bon marché construite avec des matériaux de qualité moyenne, avait une tendance a se détraquer à "rafler" et à provoquer un double tir sur une simple pression de la détente. Si cette arme avait été effectivement utilisée par Christian Jambert pour mettre fin à ses jours, ce n’est pas deux balles qui auraient atteint la victime mais tout le chargeur. Or, dans celui de l’arme retrouvée dans le sous-sol du pavillon, il restait six balles. De plus, l’expert balisticien qui a assisté à l’autopsie pratiquée fin mars a constaté qu’une balle est entrée par la bouche et l’autre par la tempe. Deux trajectoires incompatibles avec un tir en rafale.
l’arme retrouvée à l’époque a été brûlée en 1999 lors de la destruction des scellés car l’affaire avait été classée en suicide par leprocureur de l’époque, Jacques Cazals. ....
encore plus fort : apres l’exhumation pour une deuxième autopsie le crane a été malencontreusement cassé avant d’etre livré en petits morceaux au médecin legiste...
...c’est ballot non ?