Les Grecs actuels ne sont pas les descendants des concitoyens de Léonidas et de Péricles, mais là pas du tout, sauf peut-être çà et là dans le Péloponèse dans certaines régions balkaniques éloignées. Il n’y a qu’à comparer les Grecs flasques, gras, bovins, noirauds et difformes actuels avec les statues et les peintures sur vase antiques pour voir que ce n’est ni la même race ni la même culture. Pourquoi ? Bien, comme vous n’êtes pas sans ignorer, les Grecs athéniens étaient des homosexuels doctrinaires et forcenés, n’ayant que mépris pour la reproduction biologique, et préférant encore la chasteté absolue si tant est que la sodomie les dégoûtât. Cette culture du mépris de la reproduction se généralisa dans l’ensemble du pays, la christianisation des débuts ne fit que la renforcer encore, si bien que des Grecs anciens il ne resta bientôt plus aucun bagage génétique d’origine.

Les tous derniers grecs de type ancien qui se reproduisirent voyagèrent quoi qu’il en soit au gré des opportunités économiques et les anciens athéniens de bonne famille se déplacèrent vers Constantinople une fois cette dernière ville devenue capitale d’empire. Ceux qui prirent la relève pour cultiver le sol de la Grèce furent des esclaves qui affluèrent en nombre massif à partir des conquêtes impériales athéniennes puis surtout de l’empire d’Alexandre et puis de l’empire romain d’Orient. Ces esclaves et serviteurs volontaires étaient spécifiquement choisis en général dans les pays orientaux (actuelle Syrie et Iraq, et aussi plus tard Turquie sous les Ottomans) pour leur intelligence pas trop grande et leur servilité, on utilisait même le savoir-faire de physionomistes et d’ésotéristes pour mieux les sélectionner, et le mépris qu’on leur vouait fit qu’il y eut très peu de métissage avec le type aristocratique d’origine, sauf des rapports homosexuels.

Vouloir faire descendre les Grecs actuels de la Grèce antique c’est comme pour des Haïtiens se réclamer de la plus haute culture française sous prétexte qu’au XVIIIème siècle Saint-Domingue était l’état le plus riche en argent et en production culturelle du royaume de France (et d’ailleurs beaucoup le font au point de préserver une culture vieille France oubliée en métropole). C’est de l’aliénation délirante dont les premières victimes sont les descendants d’esclaves. Le projet culturel hellénique, ne l’oublions pas, fut une invention britannique un peu dans la même série que le projet sioniste.

Bonsoir,

Il est vrai que comme pour la majorité des peuples à l’exception des norvégiens blancs aux yeux bleu et cheveux blonds et les soudanais noir de noir les grecs ont eu au gré des siècles certains mélanges avec des peuples environnants.

Maintenant peux-tu me dire quel autre peuple que celui de la Grèce actuelle est l’héritier directe d’Alexandre le Grand ?

Les américains ? les anglais ? les Khazars ? les mongols ? les allemands ?

Lorsque tu rajoutes quelques goutes d’orange dans de la Vodka cela reste de la Vodka.
Si tu mets 1/4 de de jus d’orange dans de la Vodka cela devient de Vodka Orange.
Si tu mets la 1/2 de jus d’orange cela est un mélange mais la Vodka est tellement forte que cela l’emporte encore sur le jus.

Si tu as 90 % de jus d’orange et 10 % de Vodka tu as de jus d’orange avec de la Vodka mais même ce jus tu vois il a du tempérament , tu piges ?

Tu remplaces la Vodka par les Grecs et tu t’aperçois très vite que l’esprit grecque même si il se mélange il est toujours présent en Grèce et cela toujours avec du caractère.

Lorsque je vois l’équipe de foot grecque qui a gagné l’Euro en 2004 au Portugal et l’équipe de Basket grecque qui a gagné l’Eurobasket en 2005 et qui a fait l’exploit de gagner les Amerlocks de la NBA ,tu vois je me dis que l’esprit grecque n’est pas encore mort et que même si avec des années il y a quelques mélanges, les gènes de l’Olympe sont toujours là.

Si tu vas à la plage en Grèce tu vas voir plutôt des mecs baraqués même si il est vrai qu’il y a de plus en plus de personnes obèses.Le problème c’est que les gens pensent que tous les grecs sont faits comme des statues grecques des apollons ç’a c’est vrai que c’est faux mais cela je pense que c’est le bons sens ....

Merci d’avoir répondu. J’ai parlé du physique grec, qui n’a vraiment plus grand chose à voir avec l’ancien. Pour ce qui est du caractère, c’est encore autre chose, et pour ma part je préfère de beaucoup le caractère grec moderne, même si les snobs le disent moins noble, à ce qu’était l’ancien ainsi qu’on l’appréciait. Le caractère grec moderne exubérant à la Zorba que nous aimons tant et qui se traduit en musique si envoûtante jouée au son des bouzoukis était dans l’Antiquité considéré comme très exotique, typique de l’Asie mineure, du Liban du Nord et de certaines régions mésopotamiennes, partout là où se célébrait le culte de Dionysos.

La mentalité dite dionysiaque était perçue comme très contraire à l’esprit grec proprement dit, autant à Athènes qu’à Sparte, ce qui prouve une fois de plus le remplacement de la population et aussi de la culture par une autre beaucoup plus orientale et j’oserais dire plus intéressante : l’art byzantin est quand même plus créatif et plus varié que l’art classique athénien.

L’ancien caractère athénien a comme équivalent contemporain le plus exact la morgue aristocratique britannique, c’était une civilisation où il ne convenait de rire de rien sauf pour accabler quelqu’un de sarcasmes, c’était un caractère guindé et coincé à un degré peu imaginable, une espèce d’attitude de wait and see permanente, de quant à soi, d’art de voir sans être vu, typifié par le symbole national du hibou. C’était un caractère anti-exubérant, considérant comme indigne d’un homme libre tout débordement gestuel, d’ailleurs toute la morale philosophique des diverses écoles avait pour base le contrôle très volontaire des émotions par celui du corps.

La variante spartiate du même caractère était (en dépit des réputations assez conventionnelles des deux villes) moins contrainte, moins hypocrite, plus franche, quoique grave : un des traits de caractère en était le laconisme, l’art de dire le maximum en aussi peu de mots que possible, et idéalement par le silence, trait de caractère à l’opposé absolu ce que la plupart des grecs aiment être aujourd’hui, verbomoteurs à l’envi. Il reste un peu de ce caractère çà et là au Péloponèse.

Ce que je fustige c’est non pas le caractère des grecs actuels mais le colonialisme temporel qui les assujettit à un idéal qui les écrase, ce en raison d’un idéal culturel imposé par les Britanniques au 19ème siècle dans un dessein mensonger assez semblable à celui du sionisme.

François s’est battu comme un lion pour sauver l’UE, en effet il est important pour tous ces millionnaires non élus de rester à la barre aidé en cela par d’autres millionnaires locaux. Il reste encore beaucoup à piller dans toute l’Europe la Grèce est un amuse-gueule.
Merci François et vive la France