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Il y a 50 ans, Alexeï Leonov, premier homme à flotter dans l’espace

Un homme, Alexei Leonov, flottait pour la première fois dans l’espace. C’était le 18 mars 1965. Une sortie de 23 minutes et 41 secondes.

Les Moscovites ont l’oreille collée à la radio, d’autres voient en différé les images venues de l’espace. Elles sont un peu troubles, les blancs un peu saturés mais l’exploit se déroule sous leurs yeux ébahis. Leur compatriote, cosmonaute depuis 1960, le pilote de chasse Alexei Leonov quitte la capsule Voskhod2, en scaphandre.

Les images qui suivent montrent un Leonid Brejnev au téléphone conversant avec le nouvel héros national. Leonov est le premier homme à effectuer une sortie extravéhiculaire. Les Soviétiques gagnent une manche dans la course folle à la conquête de l’espace entre États-Unis et URSS.

Alexei Leonov n’a pas encore trente ans, il pilote, il a de bonnes notes et il croque, à l’occasion, personnages et paysages, sur un carnet. Il aime la peinture.

Le père du programme soviétique de l’espace Sergeï Korolev le choisit pour une mission précise : sortir d’une capsule, nager dans l’espace noir et froid comme les marins dans l’océan.

Dix huit mois d’entraînement, du ski, l’apesanteur, en compagnie de son co-équipier Pavel Belaïev, le commandant de la mission, le pilote. Ils apprennent même à filmer car leur mission doit laisser une trace pour l’histoire.

Le vaisseau décolle tôt le matin le 18 mars , se met en orbite. Le capot se soulève, la tête casquée de Leonov apparaît.

Il explique :

"C’est surtout le silence qui me frappa le plus. C’était un silence impressionnant, comme je n’en ai jamais rencontré sur Terre, si lourd et si profond que je commençai à entendre le bruit de mon propre corps [...]. Il y avait plus d’étoiles dans le ciel que je ne m’y étais attendu. Le ciel était d’un noir profond, mais en même temps, il brillait de la lueur du Soleil… La Terre paraissait petite, bleue, claire, si attendrissante, si esseulée. C’était notre demeure, et il fallait que je la défende comme une sainte relique. Elle était absolument ronde. Je crois que je n’ai jamais su ce que signifiait ’rond’ avant d’avoir vu la Terre depuis l’espace".

Il s’extirpe lentement, derrière lui, la terre est si ronde. Un tube flotte à sa gauche, c’est son cordon ombilical qui le relie à l’engin spatial. On voit ses pieds sur l’archive, sa tête est en bas, il se met à nager.

Pendant 12 minutes et 9 secondes ensuite, le cosmonaute va à 5 mètres de la capsule, faire des cumulets. Un casque, une combinaison qui aujourd’hui exposés à la cité des étoiles à Moscou ressemblent tellement à du papier léger. Leonov filme la terre ronde, le Caucase, la Crimée, la Volga.

La rentrée dans Voskhod2 est très compliquée. Le scaphandre s’est dilaté, les mains et les pieds ne sont plus bien positionnés. Leonov se débrouille pour faire baisser la pression, il s’engouffre tête la première vite, très vite. La température de son corps ne cesse de grimper, un vrai sauna cette combinaison.

Les deux hommes reprennent les commandes et pilotent manuellement l’engin spatial. Ils reviennent sur terre, victorieux et héros à tout jamais .

En 1968, le réalisateur britannique Stanley Kubrick intègre l’enregistrement de son battement cardiaque dans son film "2001, A space Odissey". En 1975, Leonov est commandant de l’équipage du vaisseau Soyouz 19 et participe à la naissance de la coopération spatiale entre les deux super puissances.

Alexeï Leonov est le premier humain à avoir dansé avec les étoiles. C’était il y a 50 ans , le 18 mars 1965.

 

Alexeï Léonov, le piéton de l’espace :

 






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37 Commentaires

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  • #1142949
    Le 18 mars 2015 à 12:55 par ·٭·щargueri†e·٭·
    Il y a 50 ans, Alexeï Leonov, premier homme à flotter dans l’espace

    hum... délicat cette affaire...
    rien n’est sûr dans les vols spatiaux soviétiques, pas plus que des vols made in USA.
    des démonstrations probantes du fake de l’aventure de Gagarine, par exemple, ont été faites.
    Enfin, le vol de Leonov, s’il a eu lieu n’est pas "spatial", mais bien atmosphérique.

     

    Répondre à ce message

    • Enfin, le vol de Leonov, s’il a eu lieu n’est pas "spatial", mais bien atmosphérique.

      Oui peut être, mais à partir d’un moment la notion d’atmosphérique, stratosphérique, spatial etc ... n’est finalement qu’une notion de distance par rapport au sol. Tant que l’objet ne s’est pas totalement détaché de la gravitation terrestre, c’est quasiment du vol à très très haute altitude, même en apesanteur.

      Le problème c’est plus au niveau des rayons cosmiques, à partir de quelle hauteur le corps perd sa protection naturelle et devient vulnérable à tout un tas de phénomène, y compris les micro-astéroïdes. Structurellement, les navettes n’étaient pas prévues pour contrer tout ces problèmes, la préoccupation principale des ingénieurs étant de réduire le poids de la structure.

      En tout cas, malgré tout les doutes possibles sur la conquête spatiale (enfin plutôt la conquête de l’hégémonie mondiale), s’il s’avère que l’histoire officielle est véritable, alors les Russes ont gagné pour moi. Ils ont été les premiers partout sauf sur le pied de l’homme sur la Lune. Ils furent tout de même les premiers à envoyer un engin non-habité sur la Lune.

      Technologiquement et scientifiquement, largement au dessus des ricains. Juste un peu moins doué que les américains pour la mise en scène et le show quasi-cinématographiques (les vues des caméras étudiées et proposées par Walt Disney, pour le rêve et l’émerveillement).

       
    • #1143003

      Oui tout à fait. D’ailleurs on comprend mieux comment les russes se sont tus sur le prétendu alunissage américain. Il fallait bien préserver les efforts de guerre sous couvert de conquête de l’espace (plutôt d’armement de l’espace), l’idéologie du Progrès en marche et qui l’est d’ailleurs toujours quand on voit certains délires d’une mission habitée sur Mars avec Mars One par exemple ou sa version russe. Il s’agît de voir à quel point des hommes seraient capable de sacrifier leur vie pour un voyage sans retour pour tenter une expédition sur une planète hostile, de vrais cobayes qui dédiraient leur vie aux projets scientifiques de certains grands architectes de l’univers ; la science remplaçant la religion (le phoenix bicéphale de la franc-maçonnerie représentant le monisme dialectique, le jeu dialectique qui s’opère entre les USA et la Russie).
      Il faut s’intéresser à l’agenda ésotéro-occulte de la NASA, la promotion du changement paradigmatique du Nouvel Âge via la théorie de l’évolution, du phénomène extraterrestre, d’une eschatologie qui n’a aucun sens etc... Je sais que tout ça parait dur à avaler et pourtant... allez donc jeter un oeil aux photos troublantes du programme Voyager où l’on retrouve des signes de vie (terrien contrairement à certains new ageux qui veulent expliquer cela en nous vendant le phénomère extraterrestre).

       
    • #1143023

      Il faudrait savoir à quelle altitude etait le vaisseau .... Et si c etait atmospherique il n y a pas de raison de douter, par contre si ils pretendent que c etait hos attraction terrestre toutes les hypthese sont valables, tout comme "l’alunissage" des americains.....

       
    • #1143034

      Totalement délirant. Tout comme certains qui disent qu’aucun avion n’a percuté les tours jumelles le 11/09/2001, personne n’a mis les pieds sur la lune, Youri Gagarine n’a jamais fait le tour de la terre et maintenant encore plus fort, Alexeï Leonov n’est jamais sorti dans l’espace, c’était tourné en studio, comme les mecs sur la lune.

      C’est du délire total. Toi quand tu sors dans la rue, tu es sur que le monde qui t’entoure est vrai ? Que les bagnoles existent bien ou que ce ne sont que des hologrames projetés par le gouvernement pour te faire croire qu’ils ont fait des progrés alors qu’en fait on se déplace toujours en cariole à cheval ?

      Si personne n’avait été sur la lune, tu crois que les russes et toutes les autres puissances qui mattaient depuis leur télescopes, n’auraient rien dit ? Si ce type n’avait pas été dans l’espace, tu crois que les américains n’auraient rien dit ? Ils sont en plein guerre froide, les soviétiques filment dans une salle de cinéma une sortie dans l’espace bidon et les ricains laissent faire ? Ah mais je suis bête, eux même dans quelques années ils vont filmer en studio tout le projet Apollo sur la lune, ils se sont dit qu’ils n’allaient rien dire. Bref encore un complot mondial.

      Hallucinant de bêtise.

      Enfin, quand tu dis, "le vol de Leonov, s’il a eu lieu n’est pas "spatial", mais bien atmosphérique", d’une part tu dis ça pour diminuer la portée de ce vol, ce qui est petit, médiocre et vil de ta part, deuxio tu as TOUT FAUX encore une fois. L’espace commence selon les autorités du milieu à 100km, voir 80km pour d’autres. Or ce vol autour de la terre a été effectué à une orbite variant entre 173km et 498km, donc LARGEMENT au-dessus de la limite atmosphérique.

      Pas besoin d’en rajouter, au revoir.

       
    • #1143038

      Aurais-tu les sources qui démontreraient le fake de Gagarine ?
      Chez E&R, nous sommes avides d’informations prouvées, et pas de spéculations.

       
    • #1143059

      Je ne peux que rebondir sur cette remarque. Les vols Voskhod ont été vérifiés et bien plus préparés que les vols US, surtout en ce qui concerne évidemment l’aventure lunaire. Vous refusez de voir cet événement comme un vol spatial, pourtant c’est bien une sortie de ce type, se situant certes dans l’atmosphère mais bien au-dessus de la stratosphère, et les russes en sont les précurseurs à cette époque. Quant au fake de Gagarine, merci de me mettre des liens ci-dessous de ce que vous avancez...

       
    • #1143133

      Vous connaissez ce sujet pour y être allé ? Si oui, donnez vos qualifications....
      Marre de ces intervenants qui jouent les spécialistes !

       

    • rien n’est sûr dans les vols spatiaux soviétiques/USA



      S’il peut y avoir des doutes légitimes, c’est sur l’alunissage des américains, pas vraiment sur les vols spatiaux. Ou alors c’est douter autant pour un 100m papillon que pour un tour du monde à la nage...

      Pour rappel, l’espace, délimité par la ligne de Kàrmàn, est à  100 km d’altitude. La pression atmosphérique chute brusquement à partir de 85km pour devenir quasi nulle. Pas beaucoup de différence avec les conditions que rencontre un satellite géostationnaire à 35 000km d’altitude. En 1934 un avion à hélice monte à 14km d’altitude, aujourd’hui un boeing vole à 10km, le Concorde à 20, le record pour un avion à réaction est de 37km. Au-delà, il faut des fusées, cad un carburant qui contient son propre oxygène (devenu insuffisant ou absent). En 1944, soit 10 ans après l’avion à hélice, une v2 allemande monte à 95km. Nous y voilà, il faut maintenant travailler sur le retour, car une fois la fusée fiabilisée plus rien n’empêche d’aller en haut si ce n’est la peur (ou la certitude) de ne pas revenir vivant...

      La lune, en revanche, est à une distance entre 350 000 et 400 000 km de la Terre, et elle fait environ 1/4 du diamètre de la Terre. Donc en plus d’une mise en orbite terrestre "traditionnelle", il faut se lancer vers cet astre (3 jours), ralentir et se mettre en orbite autour, se détacher du module, atterrir au bon endroit sans s’écraser, repartir avec la jauge carburant à 0 et la réserve allumée, se remettre en orbite, rejoindre le module et s’y arrimer, le tout sans rampe de lancement ni alignement, dans un truc qui ressemble plus à une Lada qu’à une fusée, se lancer vers la Terre et accélérer jusqu’à 11km/s (3 jours), se mettre en orbite, rentrer dans l’atmosphère sans cramer et se poser sans se crasher. C’est extrêmement audacieux, et donc d’autant plus improbable, d’où les doutes légitimes que beaucoup de gens partagent.

      Bref, c’est juste pas comparable. Souvenons nous que la plupart des agences spatiales actuelles doutent de réussir une mission lunaire aujourd’hui, pourtant peu de gens doutent de l’existence de l’ISS.



      Enfin, le vol de Leonov, s’il a eu lieu n’est pas "spatial", mais bien atmosphérique.



      Vol atmosphérique = atmosphère = friction = ralentissement = retour sur Terre.
      Donc si le vol de Leonov a eu lieu, c’était forcément un vol spatial puisqu’il a duré 26h. L’orbite étant elliptique entre 175km et 475km.

       
    • oui delicat,....et scientifiquement faux !,.....puisque cette sortie etait dans la thermosphère (300 a 900 km d altitude),..bien a l abris des rayonnement magnétique et radioactif

       
    • @marguerite



      fake de l’aventure de Gagarine




      Faut pas prendre tout ce que tu trouves sur le net pour argent comptant et utiliser ton esprit critique.

       

    • Donc en plus d’une mise en orbite terrestre "traditionnelle", il faut se lancer vers cet astre (3 jours), ralentir et se mettre en orbite autour, se détacher du module, atterrir au bon endroit sans s’écraser, repartir avec la jauge carburant à 0 et la réserve allumée, se remettre en orbite, rejoindre le module et s’y arrimer, le tout sans rampe de lancement ni alignement, dans un truc qui ressemble plus à une Lada qu’à une fusée, se lancer vers la Terre et accélérer jusqu’à 11km/s (3 jours), se mettre en orbite, rentrer dans l’atmosphère sans cramer et se poser sans se crasher. C’est extrêmement audacieux, et donc d’autant plus improbable, d’où les doutes légitimes que beaucoup de gens partagent.



      Et 6 fois d’affilée ;) sauf pour "Apollo 13" le film hollywoodien qui finit bien. L’Humanité y est allée ça j’en suis certain, mais pas avec le LEM et tutti quanti (je tente d’expliquer tout ça ici à partir de #477094). Et ce bien avant le dit alunissage de 1969. Une technologie version "black programs" (voir les aveux de Ben Rich ou Boyd Bushman à Lockheed Martin Skunk Works ou encore John Lear). Certains ex-militaires comme William Cooper ou Randy Cramer ont témoigné à propos des technologies et des véritables activités sur la Lune, a minima. Les véritables enjeux.

      Une chose également au sujet de la Lune et qui passe souvent inaperçu... selon les données "officielles" obtenues via les sismomètres in situ, après les nombreuses analyses lors de tremblements de Lune, les caractéristiques des ondes sismiques traversant l’astre etc, il s’est avéré que la Lune "résonne comme une cloche", dixit les scientifiques de l’époque. En fait elle est composée d’une mosaïque d’immenses cavités.

      Alors se pose un problème... au niveau du centre de gravité commun avec la Terre ! Si je ne m’abuse (corrigez-moi si je me trompe) la doxa scientifique part du principe que la Lune est considérée pleine et entière grosso modo, en tout cas pour le rapport gravitationnel et la distance Terre-Lune. Par conséquent la Lune ne devrait pas orbiter à cette distance officielle en quelque sorte.

       
    • Moi ce qui m’a définitivement démoli le scénario des missions Apollo c’est lorsque Buzz Aldrin à refuser de jurer sur la Bible et à retourner un direct facial à celui qui lui avait demandé. Un belle démonstration qui prouve en plus que même un alcoolique notoire comme lui a encore un peu de respect pour le Livre.

      Dommage, quand j’étais gamin j’ai pourtant bien aimé cette légende de course à la Lune, et pas seulement du côté américain, l’histoire des russes est tout aussi passionnante sinon plus.

      Je me console en me disant que de tout ce merdier sera définitivement démêlé lors de mon trépas. On n’ai jamais aussi bien servi qu’à la source de tout. En attendant, il reste le doute, c’est la position la plus confortable à mon sens, ça évite les désillusions !

       
    • Oui, je suis d’accord. Les vidéos où l’on voit Leonov dans l’espace paraissent fausses. Il suffit de bien regarder les mouvements du personnage pour avoir l’impression que c’est un pantin dont on tire les ficelles. Les bras ne bougent pas naturellement, les mouvements sont saccadés. Et les mêmes mouvements sont répétés (par exemple, la main qui "gratte" la jambe (?)).

      Entre ces vidéos Russes et les vidéos en haute définition de l’alunissage que la NASA a "égarées", il y a de quoi se poser des question. Et puis, s’il y a 50 ans, on avait réellement réussi à marcher sur la Lune, ça ferait un bout de temps que l’on y serait retourné et qu’on y aurait installé des bases.

       
    • #1143496

      Loisdu
      Il y a eu plusieurs missions d’Apollo ...

       
    • @mike



      oui delicat,....et scientifiquement faux !,.....puisque cette sortie etait dans la thermosphère (300 a 900 km d altitude),..bien a l abris des rayonnement magnétique et radioactif



      Un vol qualifié d’atmosphérique n’a rien à voir avec le fait d’être dans l’atmosphère ou non. Il se déroule simplement dans la partie de l’atmosphère où les effets ne peuvent pas être négligés (force de friction => ralentissement => énergie nécessaire pour se maintenir).

      A l’inverse, un vol qualifié de spatial se déroulera au delà de cette zone, où les forces de frictions n’auront (quasiment) pas d’effet. Ainsi, un objet peu rester en équilibre stationnaire pendant des années s’il est mis en orbite avec un angle une vitesse et à un altitude adéquats, sa distance moyenne de la Terre restera constante sans qu’il y ait besoin d’énergie pour cela.

      A cause de ça, un avion ne pourra jamais tourner indéfiniment autour de la Terre avec ses moteurs éteints, alors qu’un engin spatial si. C’est d’ailleurs le cas de la station spatiale internationale, qui orbite à 400km. Tu penses toujours que ce n’est pas l’espace à cette altitude ?

       
    • #1143913

      @Vincent
      Tout à fait d’accord avec tes propos. Cependant, ne mélange pas le 9/11 et la conquête spatiale, car dans le cas des tours, là il y a un gros problème de véracité de la thèse officielle mensongère, et les preuves sont nombreuses.

       

    • (pas de lumière du soleil sur la face cachée)



      Ah bon ? Et tous les 28 jours durant la nouvelle Lune par exemple, où se cachent-ils les rayons solaires si la face visible n’est pas éclairée ? ^^

      Quant à un télescope sur la Lune, un projet dans les cartons prévoyait de construire (toujours sur la face cachée) un système avec du mercure liquide sur une surface parabolique en rotation, le mercure reproduisant ainsi l’effet miroir, les dimensions étant bien moins limitées qu’avec des miroirs classiques ou une mosaïque de miroirs.

      Pour la transmission des données vers la Terre, un satellite en orbite lunaire pourrait faire l’affaire (?)

       
    • #1145853
      Le Mars 2015 à 20:10 par ·٭·щargueri†e·٭·
      Il y a 50 ans, Alexeï Leonov, premier homme à flotter dans l’espace

      oki.
      Les enfants, il y a un moyen infaillible pour connaitre précisément le mot de la fin sur toute la question des voyages spatiaux.
      C’était en 1978, mes diplômes en poche, je faisais un 3ème cycle dans une vraie école, et mon professeur avait donné, à coté du mémoire officiel de type industriel, pour toute formation à ses 3 étudiants un simple sujet : "muni des lois connues de la physique, et des données accessibles de 3 programmes spatiaux ( vostok, appollo, soyouz-skylab ) calculer tous les aspects et bilans énergétiques"
      Ou comment on devient adulte. Les grands professeurs sont des accoucheurs.
      Un niveau bac + 3 d’aujourd’hui suffit, mais on peut s’y attaquer avec un niveau bac S.
      voilà comment je suis dissidente et conspirationniste depuis 1978 ...
      Et faut le faire soi même ! C’est infiniment plus gratifiant.

       
  • #1143377

    "conversant avec le nouvel héros"
    héros s’écris avec un "h" aspiré.
    donc NOUVEAU héros

     

    Répondre à ce message

  • #1143469

    Mes doutes sur l’alunissage ne viennent pas de je ne sais quel complot, encore que il devait bien y avoir une raison à tout ça mais à 3 points distincts.
    1- Je ne comprends pas comment on peut rester indemne de la traversée de la ceinture de Van Allen.pour peu qu’on veuille s’y frotter.
    2- Je n’ai jamais compris pourquoi Armstrong qui est tout de meme le 1° homme à avoir marché sur une autre planéte , ce qui n’est pas donné à tout le monde, n’a aussi peu parlé, alors qu’il aurait du naturellement, etre un héros phare de l’humanité conquérante.Etonnant.
    3- Pourquoi toute cette conquéte spatiale US s’est elle arretee subitement, je parle de la conquéte de la Lune, ici, alors qu’elle était censée engendrer "un nouveau pas pour l’homme et un grand pas pour l’humanité" ? Probléme de budget de la NASA ?Assez faible comme réponse quand on voit la suite des évenements terrestres....

     

    Répondre à ce message

    • J’ai fait le calcul par curiosité.

      Lors d’un passage dans la ceinture de Van Allen les mecs d’apollo se prenaient à l’aller et au retour 40mSv (en comptant très large : 100 000 proton/cm² à 1GeV pendant 5min, 1000 d’électrons/cm² à 10MeV pendant 1h30), c’est :
      - 5 fois moins que la dose aigüe nécessaire pour perdre temporairement son système immunitaire
      - 25 fois moins que la dose aigüe qui provoque le "mal des rayons"
      - 30 fois moins que ce qu’ont subit les japonnais à 10km d’Hiroshima au moment de l’explosion

      Au total, ils ont reçu une dose maxi de 80mSv, soit moins que la dose annuelle d’un mineur d’uranium, 3x la dose annuelle maximale pour un Français qui travaille dans le nucléaire.

      Je trouve que ça n’a rien d’extraordinaire comparé aux risques de leur mission. Et ça démonte un peu le commentaire "émotionnel" de wikipedia :



      Une exposition, même de courte durée, aux parties les plus intenses de ces ceintures de radiations étant fatale



      M’enfin j’irais pas non plus y passer mes vacances on est d’accord.

       
    • #1144074

      On a posé un robots sur une comète à 670 millions de kilomètres de la Terre qui se déplace à mach 135. La lune à coté, c’est un saut de puce. Voila pourquoi la NASA a cessé de s’y intéressé.
      Ah, et tu t’étonnes que Armstrong ne soit pas devenu une star de TV, ou gouverneur de Californie. C’est parce qu’il a un peu de dignité.

       
    • #1144089

      1- Quelle est l’intensite du champ magnetique de la ceinture de Van Allen, et quelle est l’intensite du champs magnetique tolerée par un corps humain (au passage en quoi un champ magnetique stationnaire est il nocif ?).
      2- Je ne sais pas mais ca remonte a 40 ans, est-ce valide quantitativement (coupure de journaux, temps télé et radio), au dela de ta perception (situation objective vs representation subjective d’une séquence passée)
      3- La question est : a quoi ca sert d’envoyer des homme sur la lune ? Ca coute extremement cher. Alors que envoyer des robots ca coute rien. En la faisant courte : en trente ans d’exploration lunaire les US et les Soviet ont ramené a peu pres autant de roche (300 kg). Sauf que le cout a ete 10 a 100 fois moins cher pour les russes (i.e. la collectivité) car il n’ont utilisé que de robots pour obtenir le meme resultt que les US. Si t’es curieux : https://www.youtube.com/watch?v=CM5...

       
    • On a posé un robots sur une comète à 670 millions de kilomètres de la Terre qui se déplace à mach 135. La lune à coté, c’est un saut de puce. Voila pourquoi la NASA a cessé de s’y intéressé.

      Ah bon, c’est uniquement une question de chalenge et de distance alors ? Drôle de façon de balayer le fait de ne plus remettre les pieds sur notre unique satellite naturel.

      La première chose que je pense avec la lune c’est de me dire qu’un télescope géant positionné sur la face cachée de la Lune, t’as pas mieux pour capturer la lumière du cosmos. Certes c’est pas évident pour transporter le matériel là-bas, en particulier les miroirs, mais en fin de compte quand on voit le merdier que c’est pour corriger les défauts de Hubble dans l’espace, le jeu aurait pu en valoir la chandelle sur le long terme. Quitte à mettre 30 ou 40 ans à le construire et placer les relais de communication avec la terre.

      Pendant ce temps là on s’emmerde à monter des miroirs du VLT au sommet de montages Chiliennes, avec des vérins pour contrer les perturbations atmosphériques. A ce que je sache sur la lune, aucune contrainte de ce genre.

      Entre une station spatiale internationale qui ne fait pas rêver, et une sonde qui se pose sur une comète et qu’on perd 3 minutes après s’être posée. Tu parles que ça n’intéresse plus personne, à part les cramés d’astronomie.

      Le domaine de l’astronomie est saturée d’image merveilleuses dans des reportages qui donnent l’illusion de maitrise alors que les animations sont toutes des extrapolations belles, mais loin d’être précises (voir par exemple ici : https://www.youtube.com/watch?v=Xdv...), et en fin de compte quand on étudie les catalogues d’étoiles disponibles en 2015 (voir le site Vizier de Strasbourg - http://vizier.u-strasbg.fr/viz-bin/...), on tourne à peine à quelques milliards d’étoiles et encore, les catalogues actuels sont peu précis (Hipparcos/Tychos). Il va falloir attendre encore une petite dizaine d’années pour bénéficier des nouveaux relevés en cours.

      Ce que je veux dire c’est qu’entre l’image qu’on donne des recherches astronomiques, et la réalité effective il y a une marge considérable. La différence entre l’image et le concret devient quasiment indécent et ça a tendance à m’agacer.

      Un monde d’illusion, de faux semblants. Tout comme le reste d’ailleurs.

       
    • #1144413

      Un autre point qui me fait douter : il existe sur YOUTUBE une vidéo d’une conférence de presse donnée par les trois astronautes US , en civil , il s’en dégage une impression bizarre, pas du tout la fete , le" marcheur " parle , limite ses explications , bien calculées et pesées au minimum ...les autres ont l’air gènés , ils baissent les yeux , se limitent à quelques mots , alors qu’ils viennent de vivre ce qui pourrait etre la plus grande aventure jamais vécue .Ajoutée au coup de la Bible , cette vidéo a achevé de me convaincre .

       
    • @ Philippe



      On a posé un robots sur une comète à 670 millions de kilomètres de la Terre qui se déplace à mach 135. La lune à coté, c’est un saut de puce.



      Tu oublies le temps de la mission. Pour aller à l’autre bout du système solaire on met 10 ans en utilisant les effets de fronde aux abordes des astres et on recharge des batteries pendant des semaines, bref on utilise tout un tas d’astuces. Rien à voir avec une mission lunaire, où tu ne peux même pas te permettre de "galérer" 2 ou 3 jours de plus que prévu.

      @bourdieusien



      a quoi ca sert d’envoyer des homme sur la lune ?



      Excellente question. Ca coute plus cher, c’est plus compliqué, c’est très dangereux (et donc sensible pour l’image). Comparativement, y envoyer du simple matériel est un jeu d’enfant.

      @MaxC



      Pendant ce temps là on s’emmerde à monter des miroirs du VLT au sommet de montages Chiliennes



      Totalement d’accord avec toi. Hubble est une prouesse qui aura attendu les années 90, alors qu’un telescope optique aussi modeste posé sur la Lune aurait donné des résultats incroyables 20 ans avant ! Deux remarques toutefois : l’énergie (pas de lumière du soleil sur la face cachée) et les télécommunications (gênées par la masse de la Lune puisque émises depuis la face cachée). Il est possible aussi que le faible développement des télécommunications à l’époque n’ait pas incité les agences spatiales à de tels projets. Rappelons nous des premiers satellites héliosynchrones qui photographiaient puis numérisaient et ensuite envoyaient par voie hertzienne : trop peu fiable, le choix s’est finalement portée sur de la photo argentique renvoyées sur Terre dans des capsules !

       
    • @pol

      Deux remarques toutefois : l’énergie (pas de lumière du soleil sur la face cachée) et les télécommunications (gênées par la masse de la Lune puisque émises depuis la face cachée).

      Tout à fait judicieux. Sauf que si, la face cachée est exposée au soleil régulièrement, à chaque fois que la lune se trouve entre la terre et le soleil durant les jours terrestres et par le simple fait que la synchronicité de la période de rotation de la Lune avec sa période de révolution (face visible toujours identique modulo quelques degrés de variations) impose que la face cachée est systématiquement orientée face au soleil durant cette période.

      A noter qu’aucune cartographie photographique de la face cachée de la Lune n’aurait été possible sans exposition au soleil. La sonde Clémentine a bien photographié la Lune intégralement avec une luminosité identique.

      C’est plutôt un problème de communication que d’énergie. Rupture des communications avec la Terre quand un objet (satellite, navette ou autre) entre dans la portion de l’orbite cachée par la Lune elle-même. D’où l’intérêt de placer des relais de communications judicieusement autour de la Lune afin de permettre une communication ininterrompue avec la Terre.

      Pour ce qui est de la transmission de photographies, dans la mesure où la construction d’un tel site aurait demandé des décennies de travail avant la mise en service, les techniques de numérisation et de transmission vers la Terre auraient évoluées en parallèle et le problème ne se poserait plus au terme du projet (voir la question des images reçues de Mars, voir même des confins du système solaire avec les missions Voyager I de 1977).

      Certes, c’est plus complexe à dire qu’à faire, mais gageons que l’Homme avait fait le pas pour y arriver. Tu t’imagines prendre un avion, et aller à l’antipode de ta position sur Terre, qui plus est un lieu totalement inconnu et vierge. Tu sort de l’avion, tu pose un pied au sol, et tu remontes quasi illico dans l’avion en disant, bon c’est OK les gars, affaire réglée, on a tout vu et tout compris inutile de revenir ici.

      Merde, l’exploration c’est le propre de l’homme. Sinon à quoi bon se casser les couilles à affronter le froid sibérien des pôles pour aller rejoindre le point le plus au nord. Ou même affronter la rudesse des plus hauts sommets du monde comme l’Everest, avec toutes les problématiques comme le manque d’oxygène.

      Ce n’est pas parce que quelques gars l’on fait que d’autres ne réitèrent pas ces expériences.

       

    • (pas de lumière du soleil sur la face cachée)



      Ah bon ? Et tous les 28 jours durant la nouvelle Lune par exemple, où se cachent-ils les rayons solaires si la face visible n’est pas éclairée ? ^^

      Quant à un télescope sur la Lune, un projet dans les cartons prévoyait de construire (toujours sur la face cachée) un système avec du mercure liquide sur une surface parabolique en rotation, le mercure reproduisant ainsi l’effet miroir, les dimensions étant bien moins limitées qu’avec des miroirs classiques ou une mosaïque de miroirs.

      Pour la transmission des données vers la Terre, un satellite en orbite lunaire pourrait faire l’affaire (?)

       
    • #1145400

      (pas de lumière du soleil sur la face cachée)

      Ah bon ? Et tous les 28 jours durant la nouvelle Lune par exemple, où se cachent-ils les rayons solaires si la face visible n’est pas éclairée ? ^^



      C’est de la géométrie élémentaire sauf si votre question relève d’autre chose. En tout cas il existe une réponse simple : durant la nouvelle lune la proportion de celle-ci qui fait face au soleil et face et à la terre en même temps est au maximum. Les rayons solaires ne se cachent pas mais ne peuvent éclairer que ce qu’ils atteignent. Le reste demeure dans l’ombre.

       
    • @MaxC @Corso @océania

      Au temps pour moi, j’ai à mon grand dam confondu "face de la Lune cachée à la Terre" avec "face de la Lune cachée au Soleil" (qui elle n’existe pas).

      Donc effectivement, le temps d’exposition au Soleil étant sensiblement identique d’un côté comme de l’autre, le seul avantage d’un telescope sur la face cachée aurait été de ne pas avoir le clair de Terre à l’horizon (soit à peu près 16x la surface visible de la Lune depuis la Terre)... maigre avantage au vu des inconvénients (communications indirectes notamment).

       

    • C’est de la géométrie élémentaire sauf si votre question relève d’autre chose. En tout cas il existe une réponse simple : durant la nouvelle lune la proportion de celle-ci qui fait face au soleil et face et à la terre en même temps est au maximum. Les rayons solaires ne se cachent pas mais ne peuvent éclairer que ce qu’ils atteignent. Le reste demeure dans l’ombre.



      Oui c’était un tantinet ironique ;) Évidemment que les photons solaires atteignent la face cachée, et ce à une fréquence ou un temps égal que pour la face visible (ou presque). Lors d’une pleine Lune la face cachée est dans l’obscurité et vice versa. Cela a-t-il toujours été le cas ? Sachant qu’elle s’éloigne de la Terre de l’ordre de 3 cm par an. A l’époque des premiers dinosaures le jour ne durait pas 24h00 mais une dizaine d’heures il me semble. La Lune était beaucoup plus proche. A l’époque les éclipses de Soleil ne laissaient passer aucune lumière, pas de halo lumineux entourant le disque lunaire recouvrant très largement le disque solaire.

      Pour revenir à ce que j’écrivais un peu plus haut concernant la masse de la Lune, les données des sismomètres sont formelles, ainsi que leur interprétation scientifique. Alors à moins que les roches/métaux/... qui la composent soient très peu denses... mais la version "admise" par la Science académique stipule que la Lune est une excroissance de la Terre, composée dans l’ensemble de la même "argile". Que la Terre à ses débuts a été percutée par un astre gigantesque de la taille de Mars, les éjectas s’agglutinant peu à peu pour former la Lune via la gravitation. La densité globale de la Lune devrait alors être similaire (ou quasi) à celle de la Terre.

      Les Ricains et les Soviétiques expliquant de concert que les ondes sismiques sur la Lune peuvent faire plusieurs fois le tour de l’astre ! Et qu’il s’en produit fréquemment. Tout comme la masse du satellite a une influence sur la Terre (marées, déformation de la croûte, etc) celle de la Terre en a d’autant plus sur la Lune. L’écorce ainsi que les entrailles se déforment. Les forces de marées (dans une autre mesure les mêmes qui ont broyé les astres à l’origine des anneaux de Saturne, qui s’y frotte s’y pique).

      Conclusion si la Lune est une excroissance de la Terre, grosso modo identique en terme de composition, le fait qu’elle "résonne comme une cloche" indique qu’elle n’est pas pleine et entière. Pourtant le calcul de la distance officielle n’en tient pas compte semble-t-il.

       
  • #1143682
    Le 19 mars 2015 à 09:00 par Heureux qui, comme Ulysse...
    Il y a 50 ans, Alexeï Leonov, premier homme à flotter dans l’espace

    Beaucoup de propagande des deux côtés pour ce qui concerne "l’aventure spatiale" et bien malin celui qui pourrait prétendre en connaître toutes les réalités.
    Cependant, une constante se dégage et celle-ci veut que les Soviétiques ont toujours eu un coup d’avance dans ce domaine, comme la France d’ailleurs et avant qu’elle ne soit déclassée volontairement depuis la seconde guerre mondiale. En effet, la science est l’économie du peu et le génie soviétique n’y est pas étranger. Placer des scientifiques dans une pénurie de moyens leur impose l’excellence pour réussir dans un inconfort propice à l’intelligence. Pour résumer donc, les Soviétiques ont inventé ou redécouvert ce que les Américains avaient les moyens de développer. Et cette répartition des rôles ne tenait en rien du hasard (deux laboratoires de sociologie appliquée chargés de mettre en concurrence deux visions du "progrès", le premier ouvert en 1776, l’autre en 1917). C’est la raison pour laquelle le conflit entre les deux blocs n’était en fait qu’apparent, la porosité entre eux sur le plan scientifique ayant été totale par le jeu KGB/CIA entretenu par la communauté qui ne nous veut pas que du bien. C’est d’ailleurs la conquête du Graal par les Soviétiques qui a mis fin à l’URSS devenue inutile dans cette forme. Livrer la Russie au monde marchand ouvrait donc la dernière phase de concentration des richesses au niveau planétaire, phase qui se termine actuellement.

     

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  • #1144553

    Alexeï Leonov est le premier humain à avoir dansé avec les étoiles. C’était il y a 50 ans , le 18 mars 1965.

    Possible que d’autres l’aient fait avant lui dans des temps reculés. Il existe bien une théorie selon laquelle l’orientation des pyramides qui jalonnent notre petite terre auraient un lien étroi avec le cosmos. Et qui sait peut-être que leurs batisseurs avaient pour habitude de planer à plusieurs centaines de km au dessus de la tête de leurs contemporains. Si une civilisation vieille de milliers (millions) d’années détenait un savoir dont aujourd’ hui la majorité d’entre nous ignore tout alors tout est possible.
    Ceci n’est pas une promotion pour le récentisme bien entendu.

     

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    • #1144587
      Le Mars 2015 à 08:53 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Il y a 50 ans, Alexeï Leonov, premier homme à flotter dans l’espace

      @ Un cendy

      Bonjour chère amie,

      Serait-ce une perche que vous me tendez ici ? Les pyramides en "lien étroit avec le cosmos", attention, le procès en révisionnisme n’est pas loin ! Restons sur Terre donc, aussi vrai qu’une coudée y vaut Pi/6 mètre parce que notre planète fait 40 000 km de circonférence, les pyramides pourraient bien avoir une taille différente en fonction de la latitude à laquelle elles sont situées. Mais ne le dites à personne, car là, c’est l’unité psychiatrique qui vous est réservée...
      Mais je n’ai pas dit que la vitesse de la lumière était un truc pour illuminés, encore que, pour Pharaon, j’ai des doutes !

      Bien à vous.

       
    • #1144749

      @ heureux qui, comme Ulysse...

      Bonjour cher Ami,

      Puisque nos repères sont l’espace et le temps intimement liés dans ce qu’on a coutume d’appeler "l’espace-temps" (depuis la relativité générale) nous devrions connaitre le même enthousiasme en nous penchant sur le passé ou en découvrant de nouvelles contrée. Mais ceux qui cherchent à manipuler notre perception de l’histoire et de la géographie ( uniformisation de l’homme) s’emploient logiquement à nous priver de ce type de ravissement.
      Sinon je me doutais bien qu’un évoquant les pyramides, ces merveilles qui ne peuvent qu’intriguer les familiers du nombre d’or, vous auriez au minimum la curiosité de lire mon post.
      Sur ce coup là visiblement je ne me suis pas trompée.

       
  • #1144964

    La sortie de Leonov a vraiment failli tourner au drame. Sa combinaison avait tellement gonflé qu’il ne pouvait plus réintégrer sa capsule. Là c’est présenté comme un petit incident, en fait c’est un vrai miracle qu’il ai pu s’en sortir.
    Quant à dire que Gagarine est un fake j’en doute fort. Ce qui est probablement vrai c’est qu’il ne fut pas le premier et que ça c’est pas trop bien passé avant lui. J’ai rencontré Gagarine à Paris lorsqu’il fut reçu par la délégation coco (mur des fédérés au Père la Chaise, le carré du Parti et de la Commune). Gagarine était tout petit car pour mettre un bonhomme dans l’espace il n’ont pas choisi le plus gros ni le plus grand et puis il souriait tout le temps, ce type était incroyablement souriant tout le temps. Pas comme Neil Armstrong qui n’en décrochait pas une, refusait les interviews et tirait la gueule comme s’il n’était pas si content de lui. Apollo un fake ? En tant qu’ex-informaticien je puis dire qu’en 1969 la mémoire vive des ordinateurs était constituée de tores de ferrite (une rondelle pour un bit) et qu’il aurait fallu un grosse armoire à bord du LEM dans lequel on ne pouvait ni s’allonger ni s’asseoir.

     

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