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!Entretien avec Gabriele Adinolfi sur la perspective d’une Europe alternative au nouvel ordre mondial.
Entretien réalisé fin janvier au lendemain du jour de colère dans les anciens locaux de Méridien Zéro avant leur incendie criminel.
Entretien avec Gabriele Adinolfi sur la perspective d’une Europe alternative au nouvel ordre mondial.
Entretien réalisé fin janvier au lendemain du jour de colère dans les anciens locaux de Méridien Zéro avant leur incendie criminel.
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A 19mns et 40 s il vous parle de POUTINE qui aurait pris le mauvais juif DSK comme "homme symbole"........si ON ne voit pas ce genre de petit truc...ON ne comprends plus rien
Le PS ou “Porteurs” de Serviettes, ça le fait pour les gangsters qui nous gouvernent (dixit Mandela). Comme dans mélodie en sous-sol (Verneuil) il arrive que le contenu de leur valise leur échappe et que des millions d’Euros bien mal acquis se déversent sur nos écrans et devant nos yeux ébahis.
Pas assez certes pour les garder ouverts.
Je résume tel que j’ai compris :
"Les arrivistes, les lâches et les corrompus peuvent faire du bon boulot car ils sont contraints par les réalités concrètes ... Laissons les faire."
Bon dieu ! Je veux bien laisser "la part du feu", par exemple qu’il y ait des arrivistes au gouvernement, mais aller aussi loin dans "le lâcher prise", non !
Non, car un gouvernement d’arrivistes trahira s’il n’est pas sous la pression, et la vigilance du peuple.
Et la vigilance du peuple ne pourra pas lutter contre la propriété capitaliste des média sans des sites de ré-information avec des professionnels pour suivre la cadence des médias-stilipendiés.
Si j’utilise le terme "professionnel" pour E&R, ce n’est pas pour sous-entendre un quelconque intérêt pour l’argent mais pour la spécialisation qu’impose la quantité de travail à fournir, ainsi que l’aménagement d’un réseau de soutien pour faire un site mis à jour chaque ...jour.
Bon courage, ne lâchez pas prise.
Adinolfi est plus subtil que cela. Malheureusement il n’a pas le temps d’expliquer. Il devrait faire un livre pour expliquer comment il voit le monde fonctionner.
Il dit que cela ne sert à rien de revenir en arrière. C’est évident mais les gens ne le croient pas, par exemple la droite catholique pense qu’il serait bon de revenir sous De Gaule par exemple. Mais c’est lui qui a nommé Pompidou. Si on revenait à De Gaule, il se passerait la même chose. Les pourris prendraient le pouvoir de la même façon (ils ne l’avaient jamais perdu d’ailleurs). Il pense aussi que de se débarrasser des pourris est impossible. (Je le pense aussi).
Autrement dit quand la vague nous porte loin du rivage, il faut la surfer et en prendre un autre. Essayer de revenir à la nage au rivage ne fera que nous fatiguer et nous seront de nouveau emporté.
Je pense que la vision d’adinolfi est la suivante (je peux me tromper), le monde est un éléphant qui est conduit par un cornac. Le cornac peut diriger l’éléphant pour le faire travailler. Mais celui-ci a besoin de manger et de dormir. Jamais le cornac ne pourra lui faire traverser le désert. C’est à nous de lui proposer des cacahouètes pour le diriger dans la bonne direction.
Bien entendu la réalité est beaucoup, beaucoup plus complexe, mais le principe est le même.
Sachant cela, le cornac qui a toujours un siècle d’avance, est en train d’essayer de transformer l’éléphant par différent moyen en une MACHINE. Grâce à l’ingénierie sociale, les manipulations génétiques, le genre .... Quand cela sera réalisé, il aura le contrôle total d’un éléphant nouveau.
Quand à la vigilance du peuple !!!
Quel peuple ? Celui qui aux municipales a voté à 50% pour l’UMPS et à 50% pour la pêche ?
Adinolfi est un type brillant mais je pense qu’il voit trop grand.
Deux arguments :
La vielle Europe n’a pas de langue commune et une unification spontanée des droites populistes semble peu crédible.
Historiquement parlant, les empires de conquête ont une durée de vie très limités ; et l’empreinte mémoriel du 3ème Reich invalidera probablement toute possibilité d’un empire axé sur une puissance germanique forte.
Par contre je trouve sa conclusion fort juste, nous (les peuples de ce vieux continent) sommes des invertébrés, c’est cette déliquescence de l’esprit et du corps des nations qui est le prémisse de notre chute.
Je préfère néanmoins continuer à croire en la France éternelle, quand bien même serait-ce une illusion de fin de race.
Pour unir l’Europe, il n’y a pas besoin d’une langue commune, mais d’ objectifs communs et de racines communes. Par exemple, la Suisse n’est pas fondée sur une langue commune et ça ne pose de problèmes à personne, au contraire cette diversité de langues est un facteur culturel enrichissant.
L’oligarchie mondialiste fait d’ailleurs tout pour que l’Europe oublie ou crache sur ses racines chrétiennes. Mais sans racines, un arbre ne peut donner de fruits.
Le 3ème Reich n’était pas viable, parce que foncièrement et férocement antichrétien.
Quand à sa conclusion nous comparant à des invertébrés, je trouve comme vous, qu’il a raison car sans se tourner de nouveau vers le monde spirituel, il ne peut y avoir d’avenir pour l’Europe. Les propositions issues d’une pensée matérialiste, aussi ingénieuse soit-elle, ne peuvent apporter de solutions viables.
Je vais me répéter mais je ne crois pas du tout en cette idée d’Imperium pour sauver l’Europe. En effet nous avons perdu à la fois l’assise anthropologique (vieillissement de la population, affaiblissement constitutionnelle et mentale des individus, féminisation des hommes...) et matérielle (manque de ressources naturelles) nécessaire à une telle entreprise. L’Europe n’a pas les moyens de fonder un imperium dont la vocation serait de lutter contre les autres puissances dans le cadre d’une société capitaliste consumériste basé sur la consommation massive d’énergie et matières premières. En d’autres termes même une Europe parfaitement unifiée où tous les états la composant marcheraient dans la même direction ne serait pas en mesure de défendre son morceau de bifteck seule contre le reste du monde. Le temps où nous avions 200 ans d’avance technologique sur le reste du monde et avions encore du charbon et pétrole en abondance sur notre propre sol est révolu. Face à ce constat il n’y a plus qu’un choix raisonnable afin d’éviter de se faire démonter la gueule dans des conflits desquels l’Occident ne pourra bientôt plus sortir gagnant : le repli sur soi. L’Europe doit se replier sur elle même et en profiter pour se régénérer spirituellement, intellectuellement et scientifiquement. L’Europe doit redevenir ce lieu d’effervescence intellectuelle ! Etre à l’avant-garde de la recherche en ce qui concerne l’après société industrielle. La civilisation dont le fonctionnement est basé sur l’épuisement des ressources est en voie d’extinction. Chinois, Russes...bénéficient des dernières réserves mais bientôt ils seront confrontés aux mêmes problèmes...même la résolution par la technologie du problème de l’énergie n’est pas viable car l’énergie ne permet pas de créer ex-nihilo de l’espace vital, des terres arables et des matières premières. A vrai dire la découverte d’une énergie abondante et bon marché ne fera que précipiter la destruction des écosystèmes en autorisant toujours plus l’exploitation des ressources sur lesquelles se fondent la société de consommation. Il serait aussi erroné de croire qu’un tel repli nous affaiblirait et susciterait des convoitises territoriales : on conquiert un espace vital riche en ressources ! Or que viendraient foutre des Jaunes ou des Noires dans une Europe n’ayant plus rien à offrir ? L’Europe offre ni espace vital ni ressource énergétique, minéral...un petit continent plein d’hommes mais vide de ressource.
L’Europe doit se replier sur elle même et en profiter pour se régénérer spirituellement, intellectuellement et scientifiquement. L’Europe doit redevenir ce lieu d’effervescence intellectuelle ! Etre à l’avant-garde de la recherche en ce qui concerne l’après société industrielle.
Merci pour votre message ! C’est une idée que je n’avais pas envisagée de cette manière, mais que je vais creuser, et qui redonne de l’espoir.
IL y a juste un point sur lequel, j’ai quelques doutes : les terres arables. Car après le Traité Transatlantique, Monsanto et & vont certainement débarquer sur notre continent pour y cultiver des plantes OGM. Sur ce point je ne pense pas que l’oligarchie mondialiste nous laissera nous replier sur nous-même. Ils veulent nous empoisonner, par qu’ils savent bien que l’Europe est un lieu d’effervescence intellectuelle capables d’innovations non-mortifères, comme la logique du mercantilisme. La tutéllisation de l’Europe est un vieux projet anglosaxon et fait partie de leur projet de domination mondiale.
Bien à vous
très intéressant ! néanmoins, je le trouve très pessimiste sur l’avenir de la race blanche ! les peuples n’ont aucune envie de se métisser, croyez-le....aucun pouvoir au monde ne peut mélanger les gens contre leur gré !!!!
Fin juillet 1914, le commerce mondial fonctionnait entre tous les pays.
Un seul exemple : à cette date, l’Autriche fabriquait et vendait des torpilles sous marines à la France.
Commercer ne signifie pas s’allier.
Je suis d’accord, la France a besoin de s’élargir pour être intouchable, sans quoi elle serait un espèce de Brésil bis qui passe son temps à résister sans pouvoir faire peur.
Mais contrairement à lui, je ne considère pas que l’Allemagne soit si puissante. Elle l’est même moins que la France.
Il a complètement tort, mais on voit bien qu’il n’est qu’un italien : un pays disloqué, décomposé, un ramassis de différents peuples alliés les uns aux autres.
Il ne construit rien, il souhaite juste une Europe indépendante des banques et des USA centrée autour de l’Allemagne. Il n’y a rien de bon à entendre de la part de quelqu’un qui ne compte pas sur notre âme Romaine.
La vraie voie pour nous, c’est un pan-latinisme pro-français. Assumer la latinité de la culture française et l’héritage Romain. Et dire que le seul peuple latin a avoir honoré la puissance de Rome, c’est le peuple français !
Nous avons besoin de fonder un grand latium francophile : France, wallonie, suisses francophones, catalans, padanie, reste de l’italie, espagne, portugal, tous ensemble soudés !
Mais nous avons également besoin d’un bloc germanique débarrassé de l’influence américain et de ses protestants évangélistes (la révolution est aussi une affaire de culture) : Allemagne, Autriche, Suisse allémanique. Car cela reste une culture assez conséquente, l’avoir contre nous serait bien embêtant.
Et promouvoir un troisième bloc allié qui doit absolument être indépendant non seulement des USA mais également de la Russie (qui joue ses propres intérêts et non les nôtres) : Pologne, Estonie, Lithuanie, Lettonie, Belarus, Roumanie, Bulgarie, Grèce, ex-Yougoslavie, Slovénie, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie, je pense n’en avoir oublié aucun. Ce bloc, c’est une sorte d’empire romain d’orient quand on regarde l’histoire.
Mais ce besoin de ces deux autres blocs nous démontre que outre les américains, les russes sont également un ennemi naturel : Jamais ils n’accepteraient de céder le Bélarus, l’Ukraine, ou Köninberg.
Ce bloc francophile pan-latiniste a vocation à soumettre le peuple allemand et à soutenir le bloc de l’est contre les russes. Ce bloc pan-latiniste a vocation à être l’allié des sud-américains.
Et ça, le peuple français peut le faire, car LUI AU MOINS sait produire des avions de chasse, des porte-avions, et des sous-marins nucléaires. Il est très aisé d’égaler la puissance militaire russe si l’on s’en donne les moyens.
Merci, mais les Suisse n’ont aucune envie de se dissoudre dans des blocs identitaires. Les Suisse-allemands n’ont jamais souhaité faire partie du 3ème Reich, par exemple ! E t les Suisses francophones comme les italophones sont bien content de partager le même pays que les Suisses allemands. Le multiculturalisme peut être enrichissant et pas seulement un facteur de décomposition des nations ! Il faut observer cas par cas.
Quant à la supériorité du bloc francophile pan-latiniste , ça me fait sourire. Les peuples de culture germanique sont bien mieux disciplinés, organisés, méticuleux, efficaces au travail, plus respectueux de la nature, plus industrieux et ont un sens de responsabilité individuelle plus développés que les peuples de culture latine. Etant depuis ma plus tendre enfance confrontée à ces deux cultures, je sais de quoi je parle.
Adinolfi est un historien et un Idéologue il n’est pas comme il voudrait le prétendre un voyant. Et ce qu’il dit n’est pas toute la vérité, ce n’est que sa vision économique capitaliste du monde. Vision parcellaire. Aujourd’hui c’est une autre vision du monde qu’il faut appréhender sous peine de disparaitre en tant qu’espèce. Croire que l’entité bureaucratique européenne peut être dépassée, c’est être naïf ou manipulateur. L’État européen est une Mafia encore plus tentaculaire que nos États nationaux, Adinolfi ne tient pas compte du problème de la représentation politique qui est la critique principale du mouvement révolutionnaire qui se forme aujourd’hui. Ce mouvement est aussi anticapitaliste, anti-communitariste et porteur de valeurs qui, veuille-t-il ou non, sont un héritage du passé, valeurs que le Pouvoir voudrait dissoudre à travers son mensonge idéologique. La réalité n’est pas seulement affaire de politique économique et le monde quoi qu’il en dise n’évolue pas forcément vers l’avant, souvent l’histoire a fait marche arrière, exemple : le retour à la barbarie de l’Europe après la chute de Rome. Et la Restauration en France contrairement à ce qu’il dit, fut une réussite, le clergé retrouva sa place, les nobles leurs biens et les bourgeois se consolidèrent dans le pouvoir politique réel. De toutes façons la Révolution Française, comme toute révolution qui s’appuie sur un Idéal et sur les masses ne visent qu’à prendre le Pouvoir avant de réprimer ces mêmes masses, voir la révolution protestante qui était en fait dirigée par la bourgeoisie financière et qui ne voulait que s’accaparer des biens de l’Eglise et pouvoir développer l’Usure, c’est à dire la Banque ! Pour répondre à Adinolfi je dirai qu’il ne s’agit pas de porter plus loin le système véreux existant, justement parce que l’on ne construit pas sur des fondations pourries, mais plutôt d’aller dans une Autre direction, et c’est à travers d’une révolution spirituelle autant que sociale s’appuyant sur les valeurs antérieures au judéo-christianisme qu’il aller, car c’est à partir de la domination de cette pensée anti-nature, dans tous les sens du terme, que les peuples d’Europe ont dévalé la pente de la dégénérescence autant culturelle qu’intellectuelle ou physique. Vouloir reformer la pensée du monde dit moderne est une erreur, c’est renforcer et accélérer la destruction de l’Humanité. Il nous reste à créer un nouveau monde et à rejeter les visions totalitaires d’un Adinolfi !
Pas du tout d’accord avec sa méthode. Il faut démenteller l’Europe car le gigantisme de celle-ci empèche le changement, c’est une question de taille, il est déjà difficile d’unir les Français "dissidents" parlant la meme langue. L’effet dominos d’une révolution patriotique de pays à pays semble plus réaliste, et ensuite reconstruire une Europe à laquele on tient tous.
