Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

L’ONU demande à l’Argentine de libéraliser sa loi sur l’avortement

Le lobby libéral-libertaire n’a pas de frontières

Le comité des droits de l’homme de l’ONU vient de demander à l’Argentine de réviser sa loi sur l’avortement au motif que celui-ci est « souvent difficile d’accès » ; il aimerait aussi que de nouvelles exceptions soient introduites dans le régime d’interdiction générale.

Aucun traité de l’ONU ne stipule le respect d’un quelconque droit d’accès à l’avortement. Mais cela fait longtemps que diverses agences et entités onusiennes font comme si tel était le cas. La pression visant à faire libéraliser l’avortement en Argentine fait partie d’un ensemble : une opération d’intimidation cherchant à faire accepter l’idée que la possibilité de supprimer un enfant à naître est un « droit de l’homme » d’application universelle.

L’Argentine avait pourtant fait preuve de bonne volonté pour faire progresser la culture de mort, puisqu’une nouvelle loi adoptée il y a quelques années affirme le droit des femmes d’« interrompre leur grossesse » dans toutes les circonstances prévues par la loi, y compris en cas de viol, sans qu’il soit d’ailleurs nécessaire d’apporter la preuve de celui-ci.

Mais cette dépénalisation ne suffit pas au comité des droits de l’homme de l’ONU qui juge l’application de la loi inégale à travers le pays, faute notamment des protocoles médicaux prévus par la loi, et parce que de nombreux travailleurs de santé invoquent leur droit à l’objection de conscience.

Lire la suite de l’article sur reinformation.tv

Voir aussi, sur E&R :

 






Alerter

4 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article