Troll.
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Tu ne sais pas écrire français.
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Européens francophones

Quelle étrange façon de nommer ce qu’on appelle communément "les français".
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Espère autant que tu voudras, la France existera encore quand ton Israël aura disparu et aura été oubliée.

@pff
Agnos est moins Français que troll. Pour lui comme pour beaucoup d’autres, vivre en France et parler un Français approximatif est suffisant et fait de lui un Européen francophone, ce qui est la belle devise de l’U.E.
Sans compter qu’ 1/4 de Français sur 30 ans font plus de 20 millions de personnes et nous permettrait de vérifier si le reste du monde est aussi accueillant que les ligues nous l’affirment lorsqu’elles stigmatisent le "racisme" spécifique des Français. Je ne serais pas contre une immigration massive de peuplement facilitée par les ligues "anti-racisme" en Sraélie.

Mais il s’agit de francais. D’origine etrangere, mais des gens qui ont grandis dans la culture francaise, dont le francais est la premiere langue et qui ont choisi de devenir Francais.

@Kong
En êtes-vous si certain ?
Croyez-vous vraiment que les futurs viticulteurs de Bourgogne, Ahmed ou Azziz ou les agriculteurs de pommes à cidre de Bretagne, Rachid ou Mouloud, pour prendre ces exemples, seront à même de poursuivre et de représenter le paysan Français traditionnel dans tout son savoir faire et sa représentativité ancestrale ? Penseriez-vous que des laiteries de camembert ou des élevages de porcs seraient bienvenus dans la Mitidja sous prétexte que les Français sont légitimes, pour fait d’immigration massive, à quitter leur pays et coloniser celui des autres ?
Pour faire court, votre philosophie s’apparente à : "pousse-toi de là que je m’y mette".
Le peuple Français n’est pas responsable de l’immigration, on ne lui a rien demandé.

Albert, Ali, personnage sympathique au demeurant, a t-il conscience qu’il cautionne le remplacement de population jusqu’aux tréfonds de l’âme du pays : ses campagnes et ses paysans.

C’est ton point de vue, le miens est plutôt qu’il incite le jeunes de banlieues qui ne voient que peu de perspectives d’avenir dans ce pays et qui pensent que "l’herbe est plus verte ailleurs" à "s’enraciner" dans ce pays ou ils ont grandi, dans des campagne désertées par exemple, il cite l’exemple de la Creuse.
Le but n’est pas de prendre les exploitations agricoles aux paysans français mais de repeupler des campagnes déjà désertées.
Quand au remplacement de population, il n’à pas attendu après Albert Ali, mais comme l’explique bien Soral dans une de ses vidéo, nous avons le choix entre 2 options : le choc des civilisation ou la réconciliation nationale, celle-ci implique d’intégrer le fait que ces jeunes, bien qu’ils soient d’origine étrangère, sont aujourd’hui des français à part entiere.

@suleyman
Vous pensez que la Creuse a vocation à devenir une extension de la banlieue ? Maghreb, Afrique noire, Asie, Europe de l’est.. ?
Tant qu’à faire un retour à la terre, les pays d’origine ont tout autant, sinon plus, besoin des bras et de la bonne volonté des descendants d’immigrés à moins de reconnaître qu’il s’agit d’une immigration de peuplement, ce qui est le cas : les terres (ou les bonnes terres) et le travail manquent en Chine, en Afrique... la France est une destination privilégiée pour l’immigration. Vous légitimez le remplacement d’une population de souche par une population d’étrangers, ce qui s’effectuait auparavant par la guerre et la violence, et qui est le cas de la Palestine mais fut également celui des amérindiens, des aborigènes... se fait aujourd’hui par l’immigration. Cerise sur le gâteau, cette immigration de peuplement s’est faite au nom "d’une chance pour le pays" . C’est évident que la France se porte beaucoup mieux depuis que l’immigration est une donnée essentielle.. ne vous trompez pas sur le propos, les immigrés désireux de se faire une meilleure place au soleil sans se poser la question de leur instrumentalisation (comment d’ailleurs le pourraient-ils, 99% sont des miséreux pour qui n’importe où sera toujours mieux que chez eux, exemple récent des roms) sont les instruments d’une guerre au peuple de souche qui ne date pas d’hier (voir les conférences d’Henri Guillemin). Les Français n’avaient et n’ont attendu personne pour faire de leur campagne un exemple de productivité, de beauté et de gastronomie parmi les plus illustres au monde, les simples maisons de paysans sont d’une esthétique hors du commun, ils n’ont pas déserté leur campagne comme vous le dites, ils n’ont souvent pas eu les moyens d’y demeurer. Vous évoquez la Creuse et le repeuplement des campagnes par des jeunes de banlieue.. s’ils ne travaillent pas la terre, de quoi vos jeunes de banlieue vont-ils vivre à la campagne ?? De deals, de minimas sociaux, de trafics ou de l’air du temps ? Par quel miracle des banlieusards arriveraient à mieux survivre à la campagne que les paysans d’origine ?

Suite
"Ces jeunes, bien que d’origine étrangère sont des Français à part entière"... Non, ils sont Français par la volonté d’un grand patronat traître et apatride, par celles de ligues communautaires qui le sont tout autant et par l’incapacité de leur pays d’origine à offrir des conditions de vie décentes. Les immigrés ont fait le choix de quitter leur pays plutôt que de s’y battre pour améliorer le sort du petit peuple, et vous voudriez qu’ils le fassent ici ? Nombre des jeunes issus de l’immigration sont héritiers de ce choix et nombre sont de plus conditionnés dans la haine de l’autochtone, quand ils ne sont pas simplement préoccupés comme les roms, a profiter le plus possible du filon... Les seuls concernés par la "réconciliation" sont les immigrés assimilés qui ont fait leur trou en France et qui ont tout à perdre ( albert Ali et sa casquette de "paysan"), mais le flux exponentiel de nouveaux arrivants est fait pour casser cette dynamique de fédération et de résistance. Si tel est le souhait de nos élites, nous n’éviterons pas la balkanisation du pays. Un des moyens de résistance est de restituer le pays à son peuple légitime et non pas de "peupler les campagnes" par la banlieue. Il n’est pas question de dénier à nombre d’immigrés ou descendants d’immigrés leur droit à vivre dans ce pays, mais il n’est pas question non plus de regretter ou d’empêcher ceux qui veulent repartir de le faire et massivement, et non en les dirigeant, comme le propose Albert Ali, vers la campagne où leur place est encore moins viable ni fondée.