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Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

On parle toujours beaucoup du fameux pacte de responsabilité annoncé par François Hollande le 14 janvier dernier. Demander au grand patronat de se porter garant de la solidarité nationale, n’était-ce pas faire preuve d’une certaine naïveté ?

La France mène depuis plus de vingt ans une politique de baisse des charges sociales qui n’a jamais empêché le chômage de monter. Souvenez-vous des 22 milliards d’exonérations de cotisations employeurs, des 6 milliards du crédit impôt-recherche, des 6 milliards de baisse de la taxe professionnelle, des 20 milliards du crédit d’impôt compétitivité-emploi, etc. Le pacte de responsabilité est le dernier avatar en date de cette politique. Il consiste à offrir sans contrepartie 40 milliards d’euros de baisses de charges aux employeurs en espérant, en bonne logique libérale, voir se multiplier les créations d’emplois. Le patronat empoche, mais le chômage augmente toujours, tandis que la croissance est nulle, que la dette s’alourdit et que la déflation menace. Échanger des mesures concrètes contre des promesses vagues, cela s’appelle conclure un marché de dupes, doublé d’une mise en scène destinée à faire accepter la politique de l’offre adoptée par le gouvernement.

Le MEDEF, qui ne cache pas sa joie devant le ralliement du tandem Valls-Macron à la logique du marché, en profite pour pousser encore plus loin son avantage, puisqu’il réclame maintenant 50 milliards supplémentaires, la remise en cause du droit du travail et des acquis sociaux, la suppression des normes et réglementations des marchés, la baisse des seuils sociaux, etc. S’il n’exige pas qu’on renvoie les enfants travailler dans les mines, c’est sans doute que les mines n’existent plus !

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11 Commentaires

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  • #1013139
    Le 27 octobre 2014 à 15:09 par kel
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    ’La ’France’ mène depuis plus de vingt ans une politique de baisse des charges sociales...’
    La ’France’... ?
    Quelle ’France’ ? La France ce devrait être et d’ailleurs c’est, les ’Français’ (n’en déplaisent a ceux qui les bâillonnent et les vampirisent...) Et donc ; de quelle France s’agit-il quand ’on’ en parle ? Et puisqu’il est question de gestion des coûts sociaux de qui parle-t-on si ce n’est de ceux qui la ’dirigent’, mais sont-ils VRAIMENT ’Français’ et représentent-ils la ’France’ quand ils se trouvent là où ils se hissent et s’agrippent, selon des principes et des ’règles’ truqués et pseudodémocratiques ? Evidemment non. Et n’est-ce-pas, justement, parce qu’ils ne sont pas VRAIMENT Français qu’ils se conduisent comme ils le font tout en prétendant être ’la France’ ? Ceci dit sans parler de toutes celles et ceux qui servent à ces truquages, en vivent en les faisant ’fonctionner’, ont tout intérêts a ce que ça dure, même en phagocytant leurs compatriotes.

     

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  • #1013183
    Le 27 octobre 2014 à 15:41 par par vie et de lui même
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    Libéralisme destructeur

    Du mal temporaire, auquel nous sommes actuellement obligés d’avoir recours, sortira le bienfait d’un gouvernement inébranlable qui rétablira le cours du mécanisme de l’existence normale détruit par le libéralisme : La fin justifie les moyens. Il faut, en dressant nos plans, que nous fassions plus attention à ce qui est nécessaire et profitable qu’à ce qui est bon et moral.
    Nous avons devant nous un plan sur lequel est tirée une ligne stratégique dont nous ne pouvons nous écarter sans détruire l’œuvre de siècles entiers.

    Pour ruiner le pouvoir

    Bientôt le désordre flagrant et la banqueroute apparaîtront partout. D’incorrigibles bavards ont converti en parlottes les assemblées parlementaires et administratives.
    D’audacieux journalistes et des pamphlétaires impudents attaquent continuellement les pouvoirs administratifs. Les abus de pouvoir prépareront définitivement l’effondrement de toutes les institutions, et tout tombera en ruines sous les coups de la populace en fureur.

    Des droits fictifs pour les masses

    Les gens sont asservis, à la sueur de leur front, dans la pauvreté, d’une manière plus formidable qu’au temps des lois du servage. De celui-ci, ils pouvaient se libérer d’une manière ou de l’autre, tandis que rien ne les affranchira de la tyrannie du besoin absolu.
    Nous avons eu soin d’insérer, dans les Constitutions, des droits qui sont pour la masse purement fictifs. Tous les soi-disant « droits du peuple » ne peuvent exister que sous forme d’idées inapplicables en pratique.

    Le pouvoir contre le peuple

    Qu’importe à un ouvrier prolétaire, courbé en deux par un dur labeur et opprimé[1] par son sort, qu’un bavard obtienne le droit de parler, ou un journaliste celui de publier une sottise quelconque ? A quoi sert une Constitution au prolétariat s’il n’en retire d’autre avantage que les miettes que nous lui jetons de notre table, en échange de ses votes pour l’élection de nos agents ? Les droits républicains sont une ironie pour le pauvre, car la nécessité du travail quotidien l’empêche d’en retirer aucun avantage, et ils ne font que lui enlever la garantie de salaire fixe et assuré, le rendant dépendant des grèves des patrons et des camarades.

    WHAT ELSE ?

     

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  • #1013187
    Le 27 octobre 2014 à 15:43 par par vie et de lui même
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    ET ENCORE....

    Les crises économiques

    Cette haine sera encore accrue par l’effet que produiront les crises économiques qui arrêteront les marchés et la production. Nous créerons une crise économique universelle par tous les moyens détournés possibles et à l’aide de l’or qui est entièrement entre nos mains. Simultanément, nous jetterons à la rue, dans toute l’Europe, des foules énormes d’ouvriers. Ces masses seront alors heureuses de se précipiter sur ceux que, dans leur ignorance, elles ont jalousés dès l’enfance ; elles répandront leur sang et pourront ensuite s’emparer de leurs biens.

    Le libéralisme doit disparaître

    Nous avons persuadé les Gentils que le libéralisme les conduirait au règne de la raison.
    Notre despotisme sera de cette nature, car il sera en situation d’abattre toute rébellion et de supprimer, par une juste rigueur, toute idée libérale dans toutes les Institutions.

     

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  • #1013295
    Le 27 octobre 2014 à 17:20 par galibot
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    Excusez du peu ,mais les arguments des gauchos reprenant les profits croissants de manière exponentielle des grands patrons et leurs actionnaires depuis plus de vingt ans, par rapport à une courbe du chômage ,elle même en croissance continue , pose quand meme le problème d’un écart qui se creuse entre les gueux et les puissants ! ( et dieu sait que je suis à l’opposé des marxistes et des républicains ) .

     

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  • #1013937
    Le 27 octobre 2014 à 23:19 par par vie et de lui même
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    PLUS FACILE DE DEFENDRE LES INTERETS POSTUMES ; de frères de subversion...passée

    Mineurs grévistes de 1948 : la réparation sera de 30.000 euros chacun
    Lundi 27 octobre 2014

    Les mineurs grévistes de 1948 et 1952 victimes de licenciements abusifs vont recevoir, eux ou leurs descendants, une allocation de 30.000 euros, selon un amendement du gouvernement au budget 2015, comme Christiane Taubira s’y était engagée.
    L’amendement déposé, qui devrait être voté mardi soir dans le cadre de l’examen de la mission "justice" du budget, stipule que la "République française reconnaît le caractère discriminatoire et abusif du licenciement pour faits de grève des mineurs grévistes en 1948 et 1952" dans le Nord et le Pas-de-Calais.
    En conséquence, une allocation de 30.000 euros est versée à chacun des mineurs licenciés ou, s’il est mort, à son conjoint ou ses enfants. Une allocation spécifique de 5.000 euros est en outre versée aux enfants de ces mineurs.
    31 mineurs et ayants droit pourraient bénéficier de la mesure d’indemnisation, selon la Chancellerie qui a budgété quelque 700.000 euros à cette fin.
    A l’automne 1948, plusieurs milliers de mineurs des sites du Nord-Pas-de-Calais avaient cessé le travail pour protester contre des décrets qui prévoyaient notamment la baisse de leur rémunération.
    Au terme de près de deux mois de grève, marqués par de très violents heurts avec les forces de l’ordre, près de 3.000 mineurs avaient été licenciés. Plusieurs centaines d’entre eux avaient été poursuivis en justice et condamnés, certains à des peines de prison ferme.
    Christiane Taubira avait annoncé son intention le 23 octobre de "réparer l’injustice" faite aux mineurs après la projection à la mairie de Paris du film "l’honneur des gueules noires" consacré à la grande grève de 1948, en présence de quelques-uns des derniers survivants de cet événement.
    En mars 2011, la cour d’appel de Versailles avait reconnu le caractère discriminatoire et abusif du licenciement de 17 mineurs et employés de la société publique Charbonnages de France qui gérait les sites, et annulé ces licenciements.
    Elle avait condamné Charbonnage de France et l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs à leurs verser 30.000 euros chacun.
    Mais la décision avait été cassée en octobre 2012 par la Cour de cassation saisie par l’ancienne ministre de l’Economie Christine Lagarde.

    what else ?

     

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  • #1014471
    Le 28 octobre 2014 à 11:43 par Anka
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    Le travail rapporte ! ... Peut être pas à ceux qui en sont les moteurs.

    Allez juste pour le plaisir un extrait de :

    Paul Lafargue Le Droit à la paresse ou La réfutation du Droit au travail, 1880



    Travaillez, travaillez, prolétaires, pour agrandir la fortune sociale et vos misères individuelles, travaillez, travaillez, pour que, devenant plus pauvres, vous avez plus de raisons de travailler et d’être misérables. Telle est la loi inexorable de la production capitaliste. Parce que, prêtant l’oreille aux fallacieuses paroles des économistes, les prolétaires se sont livrés corps et âme au vice du travail, ils précipitent la société tout entière dans ces crises industrielles de surproduction qui convulsent l’organisme social.




    Les capitaux abondent comme les marchandises. Les financiers ne savent plus où les placer ; ils vont alors chez les nations heureuses qui lézardent au soleil en fumant des cigarettes, poser des chemins de fer, ériger des fabriques et importer la malédiction du travail. Et cette exportation de capitaux français se termine un beau matin par des complications diplomatiques : en Égypte, la France, l’Angleterre et l’Allemagne étaient sur le point de se prendre aux cheveux pour savoir quels usuriers seraient payés les premiers ; par des guerres du Mexique où l’on envoie les soldats français faire le métier d’huissier pour recouvrer de mauvaises dettes



    https://www.infokiosques.net/spip.p...

    PS : Ce texte plus d’un siècle (134 ans), il est totalement d’actualité !

     

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  • #1015885
    Le 29 octobre 2014 à 18:40 par Christophe
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    Les patrons se plaignent sans cesse du cout du travail et surtout du cout des charges sociales et autres cotisations. On peut tout à fait comprendre leur ras le bol, mais personnellement j’ai tendance à croire que le salaire du patron, des hauts placés dans la hierarchie, et surtout la rémunération des associés et/ou actionnaires coutent bien plus cher encore.

    Alors il ne faut pas tomber dans l’anti-patronat primaire, mais quand j’entends mon patron se plaindre comme tous les baltringues de l’UMP, dont il fait parti et s’en vante, de ce que lui fait subir le PS au pouvoir, ça me fait doucement marrer, puisque ce gentilhomme a un patrimoine impressionnant (au moins 10 appartements dont un en bord de mer) pour une petite PME de 10 personnes, dont 6 productifs (quasiment au SMIC).

    Si tous les petits patrons se rincent autant la tronche, il faut pas s’étonner que

    1/ Les prix augmentent, surtout dans l’immobilier

    2/ Les salariés qui produisent la richesse soient énervés.

    PS : Ca me fait penser à Attali qui dit que nous réclamons les miettes d’une richesse qui ne nous appartient pas, alors que c’est nous qui la créons avec nos mains, notre savoir faire, et notre indifférence à mettre les mains dans le cambouis (contrairement à eux). Si seulement les richesses étaient mieux partagées, il y aurait bien moins de soucis, mais non, non ! Eh bien moi ça m’énerve !! Et j’espère pour eux qu’ils auront le jour venu l’intelligence de partager un peu de leur richesse avec des forces de sécurité, parce que c’est ni leur "courage", ni leur costard cravate, ni leur voiture de luxe qui les sauvera. On est tout de même un certain nombre ;) !

     

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  • #1016288
    Le 30 octobre 2014 à 01:53 par bobforrester
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    bonjour
    le "coût du travail" est aux Philippines qui annonce un taux de croissance du PIB de 7% (!) est ridiculement bas , salaire ouvrier ou employé environ 140€ par mois pour des semaines de 6 jrs . Travail assorti de conditions dignes du capitalisme de l accumulation primitive : contrats de travail de 3 à 6 mois , 3 jrs d absence et c est la porte. Pas de problème pour les entreprises la moitié de la population est au chômage ! 20 millions de chômeurs à l intérieur 20 millions exilés employés comme esclaves dans les pays du Golfe , Singapour, Malaysie, etc. Au total c est le règne de la terreur , le chômeur (euse) risque en permanence la rue ou le ...trottoir. D ailleurs c est déjà le cas pour des millions de jeunes femmes (notamment seules avec enfants à charge. Le fameux « coût du travail » si bas qu il doit satisfaire les ogres qui comme le dit De Benoît ne proposent pas de renvoyer les enfants à la mine car elles n existent plus ! Aux Philippines non plus alors ils crèvent dans les rues. Le modèle ultime d un « coût du travail » parfait c est le camp de concentration où l entretien du travailleur « coûte » 300g de pain et 100g de margarine. Cerise sur le gateau ce système élimine le « matériel humain » sans frais de « coût » de médecine !
    Les idéologues propagateurs de ce non sens ignorent ou oublient ceci :
    - Le salarié avance son travail à l employeur avant de percevoir un salaire qui ne représente qu une fraction du produit vendu de son activité. Seule une partie de la richesse créée lui revient. L autre partie se décompose brièvement en revenu du boss, investissement , amortissements, assurances , etc. On voit bien que la fraction réservée au patron, pdg ou et actionnaires s oppose à celle versée aux ouvriers . C est d ailleurs l enjeu de la lutte des classes dont Warren Buffet prétend que c est sa classe qui l a gagnée ! Car lui ne fait pas partie des capitalistes financiers hypocrites mais des cyniques !
    Ce qu on appelle protection sociale, sécurité sociale, indemnités de chômage , services publics, bref le mode social français que les Yankees se plaisent à dénoncer comme « communistes » est payés par le produit du travail productif ouvrier ! Ca ne tombe pas du ciel mais sort des mains des travailleurs seuls producteurs de la richesse sociale : travailleurs des villes des campagnes des usines et des bureaux .
    Deux sources de la richesse : le travail et la nature . Ce qui embrouille les esprits c est la métamorphose des produits du travail en salaires..

     

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  • #1016290
    Le 30 octobre 2014 à 01:57 par bobforrester
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    suite
    Ce qui embrouille les esprits c est la métamorphose des produits du travail en salaires, profits, monnaie, services sociaux, ateliers, usines, moyens de transports, banques etc, autant de formes différentes qui résultent de l activité humaine au stade du mode de production capitaliste. Le salariat est un RAPPORT SOCIAL DE PRODUCTION capitaliste de même que le servage ou l esclavage étaient des RSP à un stade du développement de la société humaine précédent notre époque.
    Le travailleur dépossédé des moyens de production est OBLIGé de louer ses forces matérielles et intellectuelles contre rémunération postérieure à son activité productrice pour survivre ! Salaire et conditions de travail variant en fonction des luttes et donc du rapport de force social ouvrier patronat. C est grâce au rapport de force favorable aux travailleurs notamment à leur lutte pour libérer le pays de l occupant qu ont vu le jour notamment la sécurité sociale et les lois favorables aux salariés dans le programme du CNR et plus tard en mai 68. C est ce que le capital financier veut liquider aujourd’hui ce qui replongera la France dans les conditions d avant guerre !
    Je terminerai en mentionnant cette ultime conséquence de la paupérisation des populations qu elle s accompagne OBLIGATOIREMENT d’une réduction drastique des libertés publiques pour tenir en respect des populartions au bord de la révolte en permanence. C est l objet du « patriot act » aux USA et de la militairisation des pays où le capital financier broie les êtres humains .

     

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  • #1028231
    Le 13 novembre 2014 à 10:47 par izarn
    Le coût du travail ? Oui, mais celui du capital ?

    C’est une these gauchiste télécommandée par le MEDEF, donc qui est fausse :
    Les cadeaux aux patrons, baisse des charges etc...ne prouvent qu’une chose : La rentabilité diminue de plus en plus, le travail ne rapporte pas grand chose, la finance se tourne vers la spéculation : C’est la prévision de Marx. De fait c’est la fin du Capitalisme tel qu’on le connait.
    Oui, le capitalisme va très mal. Il survit grace à de la monnaie de singe(QE,LTRO...), qui bien sur sert à spéculer pour faire croire à la prospérité des marchés : Cette soit disant prospérité n’est qu’un bout de papier signé par la BCE ou il y a écrit " Vous etes riche. Signé Mario Draghi".
    C’est irréel. Il suffit d’écouter Olivier Delamarche, qui n’est surement pas un communiste !
    Donc le systéme a besoin de faire croire qu’il est riche. Car l’investisseur majoritaire c’est en fait VOUS qui déposez votre argent dans une banque. Il faut VOUS rassurer. Pour continuer a VOUS faire arnaquer.
    Donc il a besoin d’une gauche qui déclare en permanence que le patronat est riche et s’en met plein les poches. Ca rassure l’investisseur gauchiste qui veut que ses placements rapportent...
    Gauchiste ouais, mais pas trop hein ?
    La manip véritable se fait toujours à plusieurs coups. Ne pas croire que vos adversaires sont stupides. C’est immodeste. Ils profitent ainsi du propre crétinisme du peuple.

     

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