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Le féminisme a gagné… le chaos

En s’attaquant à la symbolique du pouvoir masculin, le féminisme croit avoir gagné, mais il n’a rien fait gagner à la femme, et encore moins à l’homme. En réalité, comme Trierweiler avec Hollande, la femme a juste effleuré le pouvoir, sans l’obtenir. Sinon le très provisoire et limité pouvoir de la courtisane. L’homme, lui, a perdu de sa superbe, et de tout cela, il ne reste que chaos dans la relation homme/femme. Croyant qu’il était la source des problèmes des femmes, les féministes ont cherché à déposséder l’homme de son pouvoir. C’est pourtant l’homme qui, bien involontairement, a libéré la femme.

 

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Et les femmes ont libéré Moulinex

 

40 ans après l’émancipation (1975), il ne reste du féminisme aucun acquis sérieux (le travail des femmes, sous la pression de la nécessité économique, a plus fait en termes d’avancée sociale, le féminisme des gouines ou des revanchardes pesant peu au regard de ces forces de l’Histoire), sinon le chaos : l’hystérie des Femen violeuses, le confusionnisme du genre, la pédagogie pédophile des ABCD de l’égalité, la surreprésentation des LGBT (comme horizon humain, ils repasseront), et leur cohorte de déviants intouchables… Dans cette guerre homme/femme, ou plutôt hommes/féministes, tout le monde a perdu. Seul le capitalisme a gagné !

Les féministes sincères se sont fait avoir, elles ont fait le sale boulot préparatoire pour le libéralisme : en parlant d’égalité salariale et de terreur raciste (arguments opposés à Elisabeth Lévy dans Causeur), en désignant le FN comme ennemi du genre humain et du progrès, en dénonçant la violence des hommes sans toucher à celle du système, elles montrent leur compatibilité et leur soumission à l’idéologie dominante.

Si le vieux modèle de domination homme/femme est en miettes, les nouvelles dominations des ex-minorités opprimées ne valent pas mieux. Anne Hidalgo et la cogestion homo-sioniste à la Mairie de Paris, c’est Delanoë puissance deux quant au dévoiement de la chose publique. Plus dramatique pour l’armée des femmes, Hidalgo n’est qu’une guignole : ce sont les marionnettistes, gays ou pas gays, qui décident.

 

L’inégalité salariale est un prétexte

 

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Schéma qui prouve simplement que les femmes négocient mal leur salaire (provocation machiste primaire)

 

Personne ne nie que les femmes sont payées moins que les hommes à charge égale ; cependant, elles savent moins réclamer, car elles n’ont pas encore suffisamment confiance en elles. Nature ou culture, le débat n’est pas clos. Les hommes, nantis d’une agressivité supérieure, défendent mieux leur steak. C’est pourquoi les filles, qui travaillent globalement mieux que les garçons à l’école, gagnent un peu moins à l’arrivée. Il faut ajouter qu’elles sont peu nombreuses à se battre pour les postes de pouvoir, qui demandent de prendre des coups… et d’en donner. Une vie de guerre qui n’est pas forcément dans la nature féminine, plus craintive, plus conciliante, et plus respectueuse de la vie… des autres.

Aujourd’hui, après les livres sur la féminisation de Soral en 1996 et 1999 (Sociologie du dragueur et Vers la féminisation ?), d’Abiker en 2005 (Le Fabuleux déclin de l’empire masculin), puis de Zemmour en 2006 (Le Premier sexe), dans l’ordre de copie, il est facile de botter les arguments des féministes ultra en touche, la différenciation hommes/femmes arrangeant un système qui préfère ne pas entendre parler de différenciation riches/pauvres.

 

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Une équipe de chirurgiens français réussira-t-elle à créer un homme qui a ses règles ?

 

La domination sociale est évidemment plus grave que la domination sexuelle qui, reconnaissons-le, ne s’exerce plus aujourd’hui que dans les alcôves (on opposera au harcèlement sexuel que subissent les femmes au travail le harcèlement moral que subissent les hommes dans le couple !). À ce propos, la plupart des femmes (hétérosexuelles) sont plus ou moins consciemment demandeuses d’un homme dominant, ou dominateur, en tous les cas sécurisant, physiquement et socialement. Dominant ayant une connotation sociale ; dominateur, une connotation plus intime. Quelle que soit l’avancée sociale des femmes, qui est réelle depuis un siècle (les suffragettes de 1903 ont surfé sur le mouvement général de féminisation du travail déclenché par le premier conflit mondial), l’égalité salariale est un leurre : les hommes eux-mêmes, à fonction équivalente, ne touchent pas la même chose ! Et puis, sans trop entrer dans la biochimie endocrinienne des êtres, l’agressivité prédatrice masculine trouve mieux à s’épanouir (ou s’évaporer) dans le social, c’est-à-dire le monde du travail (on met de côté le monde associatif, moins marqué par la prédation), que l’agressivité féminine, peut-être plus inhibée, mais sûrement moins dirigée vers les autres. Même si les rivalités féminines existent, les combats de poules font moins de dégâts que les combats de coqs, qui peuvent dégénérer en guerres interpersonnelles, guerres de familles (Corse), de clans (Gitans), de tribus (Afrique), jusqu’aux guerres entre nations ou groupes de nations.

Si l’agressivité masculine, dite aussi « les hormones mâles », sont à l’origine de la plupart des conflits (pour la possession et la jouissance des territoires symboliques ou réels, des richesses et… des femmes), les femmes n’en deviennent pas des prix de vertu pour autant. Jalousie féroce, cruauté mentale, domination psychologique, art de la dissimulation, manipulation amoureuse, perversion inouïe… dans ces domaines, la femme peut largement en remontrer à l’homme.

 

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La fonction de l’emmerdeuse est de foutre le souk entre les hommes

 

Grâce à son ascendant musculaire et hormonal, malgré une féminisation partielle de la gente masculine, et une masculinisation partielle de la gente féminine, l’homme possède toujours le pouvoir économique, que ce soit dans la famille, les grandes entreprises, ou l’État. C’est peut-être une question de dosage endocrinien, mais c’est un fait. Vécu par les féministes comme une injustice, par les biologistes comme la conséquence logique, ni amorale ni morale, d’une différence structurelle.

Les femmes qui sortent du lot, aujourd’hui, sont de deux types : celles qui ont fait leur trou dans un monde d’hommes (la politique, les médias), mais qui n’ont pas forcément oublié d’utiliser leur charme, ou leurs charmes ; et celles qui ne contestent pas le pouvoir masculin, mais qui dominent… les autres femmes. Par leur séduction, et leur soumission affichée aux hommes de pouvoir. Considérées comme des traîtresses par les féministes, ces bimbos sont la preuve des limites objectives d’une politique de genre… ou la preuve d’une survivance préhistorique ! La plupart des femmes ne veulent pas entrer en conflit avec les hommes. Ce qui ne les empêche pas de faire la guerre aux autres femmes, considérées comme des rivales, avec leurs armes que sont le corps, la beauté, la jeunesse, la sensualité…

 

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Pouf power

 

Les Chiennes de Garde, les Osez le féminisme, les lesbiennes LGBT, les Femen, les La Barbe, les Ni Putes ni Soumises, malgré leurs piqûres de rappel quasi-quotidiennes dans les médias, qui sont d’ailleurs très complaisants envers leurs exigences ou leurs délires, n’ont pas vraiment contaminé le corps social des 33,93 millions de Françaises. Contre 31,89 millions d’hommes, qui sont donc minoritaires dans le pays. Ce qui ne les empêche pas de toujours gagner les élections présidentielles ! Cette plaisanterie honteusement machiste mise à part, on doit reconnaître que la féminisation des hommes, encore une fois due plus à un bouleversement social global (tertiarisation du travail) qu’aux oukases féministes, qui ne touchent pas la Française de base, occupée à réussir son couple, sa vie de famille et sa vie professionnelle, et qui n’a pas besoin d’un conflit artificiel avec « les hommes », n’a pas donné le pouvoir aux femmes. Qui ne l’auront sans doute jamais.

Le nombre d’homosexuels a augmenté, c’est un fait, depuis les années de libération sexuelle. Mais pas parce que c’est autorisé : la dislocation de la structure familiale classique, avec la remise en question du patriarcat, a conduit beaucoup de femmes à élever seules leurs enfants, garçons compris, à qui manque une figure paternelle classique. On ne va pas refaire les schémas œdipiens de base, pour cela, reportez-vous à l’ouvrage rigolo et intelligent de Soral, Vers la féminisation.

Une chose est sûre : si quelques femmes sont apparues aux postes de pouvoir, les homos, eux, n’ont pas perdu le nord, et tout féminisés qu’ils peuvent être, ont arraché un pouvoir réel dans la société ! Un pourcentage minuscule de la population a profité du féminisme et de la féminisation pour prendre des postes, et des gros ! Faire la liste des homosexuels ministres, Premiers ministres, patrons du CAC40 ou des grands médias, serait considéré comme de la diffamation ou du coming-out forcé. On laissera donc ce travail aux homophobes, ou aux homos qui mettent la pression sur leurs « coreligionaires » un peu trop timides dans le prosélytisme.

 

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Richard et l’homme invisible

 

Résumé : même féminisés, 1,5% des hommes ont conquis en moins de deux décennies un pouvoir que les 51% de la population n’ont pas su ou voulu prendre après 40 ans de luttes féministes. Conclusion ? La femme ne semble pas adaptée au pouvoir hiérarchique, à l’agressivité qui en est à l’origine, et à l’agressivité nécessaire à sa conservation. Tout le reste, c’est du discours. Alors, pour mettre tout le monde d’accord, Elisabeth Lévy comme ses ennemies du jour, les associations féministes vociférantes, on dira, sans risque de trop se tromper, que les avancées égalitaires de la société viendront encore de mouvements supérieurs, qui n’auront rien à voir avec les cris d’orfraie de nos sympathiques poules.

Ce ne sont pas les féministes qui ont décidé que les femmes travailleraient, c’est la société, le capitalisme, le patronat. Pour des raisons pas forcément égalitaires, et encore moins humanistes. Ford a mieux payé ses ouvriers uniquement pour qu’ils puissent s’offrir ses voitures, faisant ainsi croître son bénéfice. Du capitalisme consumériste intelligent…

On rappelle que dans les années 1970, une petite famille de quatre personnes pouvait vivre – chichement, mais vivre – avec un seul salaire, et au Smic. Aujourd’hui, il faut deux Smic pour faire un salaire moyen de 2000 euros, qui permet tout juste de s’en sortir, avec les allocations familiales, les aides au logement. Et pas ou peu de vacances, un véhicule et non pas deux, la nourriture en hyperdiscount… Si l’on était cyniques, ou réducteurs, on dirait que le libéralisme a déclenché ou permis le féminisme. Que le féminisme est donc un des avatars de la version actuelle du capitalisme.

Une question survient : y a-t-il des féministes anticapitalistes ? Oui, les femmes encore communistes, en voie de disparition aujourd’hui. Le féminisme des communistes étant inféodé à la lutte des classes, ce n’était donc pas un féminisme, puisque la lutte des genres était considérée comme un piège du système capitaliste. Après l’homme prolétaire esclave du travail (ou du patronat), au tour de la femme prolétaire de s’enchaîner au boulot ! La solidarité de classe primait donc sur la différenciation sexuelle. Casser cette différenciation, par le biais du discours féministe libéral égalitaire, permit donc d’évacuer la lutte des classes, de pérenniser le système de domination de l’homme par l’homme, en lui substituant la domination secondaire de la femme par l’homme. Et le tour était joué.

La connivence féminisme/libéralisme n’est plus à démontrer : les magazines féminins tartinés de féminisme n’entrent jamais en conflit avec les principes de base de la société capitaliste avancée.

 

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Toutes les associations féministes insistent sur la violence des hommes… mais pas du système

 

Ce ne sont pas les suffragettes qui ont mis les femmes au travail dans les usines (elles travaillaient déjà, et gratuitement, dans les champs en 1900), c’est la distorsion de la pyramide des âges pendant la saignée de 14-18 ; ce se sont pas les penseuses féministes, du type Simone de Beauvoir, qui ont déclenché la révolution sexuelle et la réappropriation par les femmes de leur corps, mais bien les scientifiques (masculins) qui ont créé la pilule contraceptive ; et ce ne sont pas les féministes qui ont obtenu la parité, mais bien la tertiarisation de la société qui a mis sur un pied d’équivalence les employées et les employés de bureau. Le discours féministe n’a fait qu’entériner a posteriori ces évolutions. Discours autojustificatif, mais discours leurre. Les femmes ont obtenu un statut social au milieu du XXe siècle (travail et droit de vote), se sont réapproprié leurs corps dans les années 70 grâce à la pilule, ont profité du progrès technologique pour se désenchaîner du travail domestique millénaire, acquérant une quasi-parité dans les faits avec leurs collègues masculins. Ni les hurlements féministes, ni les vannes machistes n’y changeront quoi que ce soit : un processus historique est enclenché, devant lequel l’individu – homme ou femme, macho ou féministe, gay ou gouine – ne pèse rien.

Les Françaises sont les femmes les plus libres du monde, à part peut-être les Scandinaves, dont les sociétés sont allées très loin dans la tolérance : les femmes y ont bien dévirilisé les hommes, et les enfants ont profité du recul du pouvoir parental. La femme d’ajourd’hui n’a pas besoin d’être défendue par les féministes, qui ne résoudront pas ses problèmes de boulot, de fins de mois, de mecs et de gosses. Cette discrimination positive qu’est la parité ne peut effacer les différences chimico-physiques qui séparent les hommes des femmes (mais qui créent aussi ce besoin de rapprochement qu’on appelle amour), et qui reprennent vite le dessus dans les entreprises. Peut-être qu’il faudra du temps, peut-être que le temps n’y changera rien. En attendant, la petite coiffeuse de province a plus de courage que la féministe parisienne, qui désigne un ennemi imaginaire certes imparfait (parfois violent, lourd et limité), mais qui n’a rien à envier à la femme imparfaite, parfois chiante et conne, éternelle insatisfaite qui reproche tout à son jules. Il a bon dos, le « pouvoir » !

Si le pouvoir est indéniablement une question de sexe, l’intelligence, elle, comme l’ignorance, est très bien partagée entre ces frères et sœurs en humanité. Là aussi, n’en déplaise aux féministes qui entretiennent une inféconde guerre des sexes, une réconciliation nationale serait la bienvenue.
Et pas seulement sur l’oreiller.
Ah, c’est lourd !

 

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Bigard, sors de ce corps de texte !

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57 Commentaires

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  • #1229648
    Le 15 juillet 2015 à 23:58 par Vaslet
    Le féminisme a gagné… le chaos

    "Domination" ... "steak" ... "Pouvoir" ... Les premiers paragraphes suffisent.

     

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  • #1229768
    Le 16 juillet 2015 à 07:02 par lilarre
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Toutes les associations féministes insistent sur la violence des hommes… mais pas du système

    la rigueur intellectuelle commande de remonter aux causes réelles de la normalisation actuelle de la violences dans les rapports humains. Ne pas voir le spectre du système derrière le recours abusif à la force physique c’est s’arrêter aux conséquences sans chercher à comprendre les causes.

     

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  • #1229798
    Le 16 juillet 2015 à 08:52 par Marie59
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Très bon article ! Cruel, mais lucide...

    En résumé : n’empiétons pas sur le pouvoir de l’autre. À chacun son pouvoir, laissons aux hommes le leur, nous avons le nôtre, et il ne se résume pas uniquement à la seule séduction... D’ailleurs ceux qui essayent se fourvoient. La femme féminine est supérieure et a plus de pouvoirs qu’un homme efféminé, et l’inverse est aussi valable. C’est les féministes qui se sont battues, tout d’abord, pour la non discrimination des sexes, lutte qui a abouti à ce mélange des genres dommageable pour tout le monde... Il y a des discriminations positives, par exemple, un handicapé ne pourra pas disputer un 100 mètres (quoique, maintenant, ce n’est plus le cas...)
    Petite parenthèse qui m’a bien fait rire : en Belgique, il existe maintenant des WC pour genre neutre, ils sont avec le sigle handicapé ! Il y a donc les toilettes hommes, femmes et les trans en même temps que les handicapés. Bien vu... !

     

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  • #1229885
    Le 16 juillet 2015 à 11:44 par Al Kacil
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Il ne faut pas oublier un point fondamental. Homo sapiens sapiens (l’humain d’aujourd’hui) est le résultat de l’évolution. Par exemple : La plus grande violence des hommes (qui se traduit notamment par une plus grande délinquance et criminalité) est la conséquence de la sélection naturelle OPEREE PAR LES FEMMES ; dit simplement, il est bien connu que les femmes préfèrent les "durs", les "voyous", que les "doux" (statistiquement - voir l’Evopsy).

     

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    • #1229949
      Le Juillet 2015 à 13:33 par Sheitanyahou
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Tout à fait, combien de mecs gentils, attentionnés, qui feraient des conjoints merveilleux, qui n’iraient jamais voir ailleurs, qui ne seraient pas violents ou vulgaires, qui feraient le ménage, se retrouvent mis sur le côté et condamnés à être des célibataires parce que "ils n’ont pas compris comment les femmes fonctionnent" ou plutôt parce qu’ils n’ont pas une situation suffisante et combien vous avez de femmes qui se disputent de parfaits salauds, le genre qui les méprisent, qui n’hésitent pas à les tromper et à les traiter comme de la merde.

      Pour vivre une histoire à peu près longue avec une femme aujourd’hui, il n’y a pas de mystère : soit vous avez une situation professionnelle stable, avec du revenu et donc de quoi entretenir madame. Soit vous êtes un "méchant" le genre qu’elles disent détester mais qu’elles aiment en secret, un macho, donc.

      Le problème c’est que l’on est à la fois dans une société féminisée ou se comporter comme un macho est toujours très délicat et périlleux (et peut vite sonner très faux si on est pas un macho dans l’âme), et de plus comme l’avenir professionnel actuellement est un peu bouché, on aboutit à une société qui va avoir tendance à se stériliser car il est hors de question pour les femmes de changer leur mode de sélection des mâles qu’elles ont utilisé pendant si longtemps. Mieux vaut terminer vieille fille plutôt que de risquer de vivre en couple avec un homme "qu’elle n’aime pas" (entendre : qui ne gagne pas assez ou qui n’est pas assez "mâle").

      On nous dit que le harcèlement sexuel dans les transports en commun est un vrai fléau actuellement et que les femmes en souffrent, c’est faux. Beaucoup de femmes rêvent inconsciemment de se faire agresser sexuellement par DSK ou n’importe quel autre mâle alpha (comprendre : milliardaire) en revanche, l’idée de se faire toucher les fesses par un RMIste est un vrai cauchemar pour elles.

      C’est un peu comme ces paysannes du moyen-âge qui couchaient avec le seigneur du coin pour être sûr de tomber enceinte et de pouvoir demander des droits en plus.

      C’est pour cette raison que je maintiens qu’en plus d’avoir à court terme tous les problèmes mentaux que le célibat forcé pose (hausse des suicides, de la consommation d’antidépresseurs, de la perversion sexuelle, du tourisme sexuel) sur le long terme, on aboutit à une société globalement stérilisée (dans tous les sens du terme), où l’on a, à la fois, coupé les choses des hommes et surtout où on ne fait plus d’enfants.

       
    • #1230507
      Le Juillet 2015 à 09:35 par ami
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Evolution ?
      La création ne s’est pas faite par évolution.
      La création a été un geste d’amour accompli dans le temps en dehors du temps. Elle a été faite pour l’homme ; tout ce qui a été créé est au service de l’homme, pour sa vie matérielle qui prépare l’esprit.
      Au commencement il y avait le néant, ensuite le Verbe a créé à partir du néant les arbres, les eaux, les animaux et les éléments et enfin l’homme.
      L’homme, étincelle divine à Notre image.
      L’homme, exemple du divin ; l’homme a en lui les sentiments, le cœur, le raisonnement. L’homme est et sera éternellement.
      Son premier pas est la vie terrestre. Ensuite l’envol. Il n’y a pas eu d’évolution en l’homme sur le plan physique.
      Selon les études de grands savants, divers squelettes existeraient, semblables au squelette humain. Ce sont des animaux d’espèces disparues, non des hommes.
      L’homme a été le premier, Adam, puis Eve et d’eux est née l’humanité.
      Au début il y avait le néant, ensuite il y a eu le Verbe.
      Quand Dieu le Père a créé le premier homme et que l’Esprit d’Amour lui a insufflé l’esprit qui habite en chaque homme, alors l’homme a existé.
      L’univers est pour l’homme après la vie terrestre, la terre est pour lui tant qu’il est corps.
      Après, l’Infini lui appartient.

       
  • #1230060
    Le 16 juillet 2015 à 16:00 par BAB
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Il faut souligner que le feminisme militant et aggressif n’est pas le fait du hasard mais qu’il est organisé et soutenu par les tenants du systeme qui nous trompe et qui nous exploite , dans le but de nuire au christianisme et à la famille chrétienne, comme c’est également le cas pour "gay pride". Ceux qui dirigent derrière la scène savent tres bien ce qu’ils font.

     

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  • #1230265
    Le 16 juillet 2015 à 21:07 par ArteMiss
    Le féminisme a gagné… le chaos

    1975, année de l’émancipation des femmes (? !) ; je pensais plutôt que c’était celle de la libération de la pornographie.
    Pour ma part, j’ai trouver l’article plutôt confus, mélangeant sur un même plan différents niveaux de compréhension ou d’inteterrogation, jusqu’au passage où la prise du pouvoir (d’un certain niveau de pouvoir) par les invertis est constatée, ramenant à sa juste proportion l’intrumentalisation ’féministe’ ; mais Soral, notamment, a déjà tout dit, et bien, sur ce thème.

     

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    • #1230345
      Le Juillet 2015 à 23:14 par Lucette
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Regarde ce qui a été voté en 1975...

       
    • #1230950
      Le Juillet 2015 à 22:31 par kasiar
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Alors à toi de creuser le sujet dans sa confusion, de relever les éventuelles ambiguïtés, de donner ton opinion ou tes opinions.

      Le débat est ouvert tant que celà reste dans un contexte légitime, c’est à dire sans insulte, sans mauvaise foi, sans indignation imbécile ... un débat d’idées.
      Je ne dis pas celà contre vous, mais je vise les divers trolls qui par le passé ont cracher leurs venins sur ce site envers les hommes et je suis prêt à mettre ma main au feu que ces gens-là nous lisent.
      Oui, j’ai le pif pour détecter ce genre de personnes au bout de quelques commentaires.

       
  • #1230565
    Le 17 juillet 2015 à 12:06 par LF
    Le féminisme a gagné… le chaos

    féminisme // machisme .

    Un argument que les extremistes anti-hommes auront du mal à combattre dans leur propres têtes.

     

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  • #1230733
    Le 17 juillet 2015 à 18:08 par rivolta
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Bon article dans l’ensemble. J’y adhère, même si j’aurais personnellement été encore plus cinglant à l’égard de ce cancer qu’est le féminisme.

    Par contre je pense que tout le monde, même cet article, sous-estime les dégâts que fait le féminisme dans les relations intimes H/F, dans les couples et les familles. Enfin pas le féminisme en lui-même, mais sa propagation par ceux qui l’utilisent comme part de l’idéologie dominante.

    Je m’explique.

    Beaucoup de femmes modernes (pas toutes hein), sans être des féministes militantes et assumées, ont assimilé le système de pensée consistant à croire qu’il faut s’émanciper de l’homme, faire passer son désir égoïste avant tout, etc. Que le dévouement pour sa famille et son époux c’est ringard.

    Maintenant, si les femmes quittent et divorcent de plus en plus pour des détails, si elles vont de plus en plus voir ailleurs au premier problème, c’est pas seulement à cause de leur entrée massive dans le monde du travail, mais aussi à cause de cette individualisation de l’esprit féminin, car pour moi le féminisme c’est avant tout la promotion du narcissisme féminin. Le slogan "mon corps mon choix" en dit long.

    Et je ne parle même pas de la défiance des femmes envers les hommes... Bref, ça a engendré le chaos dans les rapports humains, pour toujours plus de divisions, d’égoïsme, d’irrespect, de narcissisme.

    Le patriarcat traditionnel n’était pas parfait mais au moins les rôles étaient bien définis, et chaque sexe avait des devoirs complémentaires adaptés à ses qualités naturelles. L’homme devait être prêt au sacrifice, à la défense de sa patrie / famille, à bosser pour nourrir sa famille. La femme quant à elle devait être dévouée à l’éducation de ses enfants, à la gestion du foyer et à son rôle d’épouse. L’homme gérait le domaine public quand la femme gérait le privé. Ils étaient interdépendants et complémentaires. C’est aussi ce qui faisait la stabilité sociale / familiale et la beauté des relations entre les deux sexes...

    Aujourd’hui, l’ "égalité" ne profite à personne, les tensions et incompréhensions n’ont jamais été aussi fortes, tout comme l’égoïsme et la superficialité des rapports. Tous et toutes consommateurs/trices égoïstes, voilà notre monde.

     

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    • #1230967
      Le Juillet 2015 à 22:52 par mana2
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Je suis bien d’accord, je rajouterai que la femme dans certains cas sont des muses et aussi des soigneuses.
      L’homme est protecteur et non dominateur. en ce moment des hommes et femmes confondent virilite avec dominateur.
      Etre viril c’est simplement d’étre protecteur.
      La femme n’est pas soumise mais soutiens et soignent ses proches.
      Le feminisme manque de feminité, étre feminin ce n’est pas la soumission, mais creatrice d’intimité, pour le bien de toute la famille. Les femmes reunissent la famille et quand elles viens a disparaitre, c’est une autre femme de la famille qui reprends le flambeau.
      Les examples ne manquent pas, il n’y as rien a inventer, il suffit de comprendre la loi naturelle, et chercher la complementarites entre les femmes et les hommes. le but : L’harmonie.
      Se resourcer, se reposer, se renforcer et étre en paix, c’est le foyer familliale.
      Pas de conflits, il y en a assez dans le monde,
      Les qualites des femmes et des hommes sont tres bien comprises dans les ethnies et civilisations non dominateurs.
      Actuellement nous sommes dans un monde de dominateurs, et le retour des hommes protectuers saurai tarder,,
      Vivie les hommes et les femmes complementaires !

       
  • #1232460
    Le 20 juillet 2015 à 15:56 par Ouioui
    Le féminisme a gagné… le chaos

    La bible a déjà tout dit sur ce que doit être les relations homme/femme.
    Je n’aime pas la publicité faite à la pilule dans cet article. La contraception a fait beaucoup plus que le féminisme pour détériorer les relations homme/femme.

     

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    • #1243872
      Le Août 2015 à 18:14 par Amélie
      Le féminisme a gagné… le chaos

      Entièrement d’accord avec vous. Le coup des femmes qui se sont "réapproprié leur corps" (? ?) "grâce" à la pilule m’a dérangée aussi. La pilule a surtout été une source incroyable de profit pour les laboratoires pharmaceutiques qui ont vendu aux femmes qu’elles seraient ainsi "libérées" (ben oui, les enfants, quelle barbe). Elle est dangereuse pour la santé. Elle a surtout incité les hommes à considérer les femmes comme des objets à utiliser pour leur propre plaisir. Il faut savoir que les premières féministes, les "vraies" (un peu comme il y a eu de vrais contestataires en mai 68, qui s’attaquaient au consumérisme, et qui ont été mis de côté par les libertaires style Cohn Bendit), étaient contre la pilule et la contraception en général : elles prévoyaient que cela contribuerait à dégrader la femme. C’est ce que disait aussi Gandhi : la contraception déconnecte la sexualité de la procréation, elle permet à l’homme (et à la femme) de laisser libre cours à ses instincts, sans aucune retenue. On voit le résultat aujourd’hui. Si on regrette que les jeunes filles aimantes et les épouses dévouées se fassent rares, alors il est ridicule de faire l’apologie de la pilule.

       
  • #1233786
    Le 22 juillet 2015 à 17:53 par imus
    Le féminisme a gagné… le chaos

    Pour toutes ces femmes qui "réussissent" star du petit écran, de la politique, du showbiz...

    Combien y’en t-il seules sous xanax dans leur petit studio qui à 30/35 ans se mettent à flipper car leur horloge biologique leur dit : "il serait temps de t’y mettre ma cocotte" ou "quand ma mère avait l’âge que j’ai aujourd’hui, moi j’avais déjà 10 ans" !

    Combien y’en a t-il qui n’ont pas pas pu devenir actrice, chanteuse ou docteur et qui, malgré tous les "sex friend" n’ont pas su retenir un homme pour fonder un foyer ?

    Parmi elles, combien y’en a t-il qui malgré ce constat glacial sont incapables de remise en question et croient encore dur comme fer qu’elles doivent jouer les redresseuses de torts envers les mecs parce qu’on leur a dit que les hommes sont à l’origine de tous leur problèmes ?

    Le féminisme est anti-femmes.

    Sans doute une invention d’homosexuel :D

     

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