genial ; on croirait une illustration de la fin du bouquin de orwell ; la ferme des animaux

Répondre à ce message

Je n’échangerai pas leurs vies pour un sou.
C’est tellement médiocre.

Répondre à ce message

Sans le narrateur on aurais cru voir autre chose... C’est tout simplement une crevasse qui se dessine si on y pense ?
Le cinéaste anthropologue Jean Rouch est bien trouvé, l’anthropologie compare les société humaine et démontre l’unicité de l’esprit humain à travers la diversité culturelle. La domination est partout pareille, les même creuvars, et tout reste inintelligible si on ne prend pas garde.
Pourtant le bien et le mal sont si différent. Le diable nous fait craindre la pauvreté, alors on ne se pose pas de question.

Répondre à ce message

mais j’ai déjà vu ce film... Les Affranchis... avec de Niro :)

Répondre à ce message

Ces gens n’ont vraiment aucun maintien ni pudeur ! Des bouffons intégraux !
Quand on voit la manière avec laquelle cette engeance se met en spectacle il devient claire qu’il n’y a rien attendre de bon de ces derniers ! L’argent ne fait pas la noblesse !
Mais le pire c’est que derrière ces apparences bouffonnes transparaît quelque chose de non naturelle, il y a quelque chose de guindée. Ici nous n’avons pas cette atmosphère authentique que l’on peut voir quand des petites gens se réunissent afin de faire la fête. Chez ces derniers il n’y a pas plus de maintien mais il y a une certaine innocence, une authenticité de l’acte de faire la fête qui est absente chez cette engeance bourgeoise...

Répondre à ce message

Merci Pierre Falardeau, mort trop jeune...

Répondre à ce message

Le texte est d’une remarquable puissance littéraire. Tout à fait dans le style de Ferré, que je considère comme l’un des plus grands poètes français. En tout cas du XXe.

Lisez donc ce texte auquel j’ai pensé pendant cette vidéo : http://www.frmusique.ru/texts/f/fer...
En particulier à partir de :
"Il n’y a plus rien

Que les pères et les mères"

Répondre à ce message

bonjour

Quand on veut comparer les civilisations autant tenir compte des différents rythmes de développement historique des sociétés. Il y a peu on trouvait encore des cannibales dans l’Asie profonde . Dans l ancien royaume du Dahomey on pouvait voir des marchés de chair humaine (pas rituel mais alimentaire)au 18 e siècle cf "journal d’un négrier" Snellgrave . Il faut relativiser pour éviter les anachronismes moraux à 2 balles. Là où il y a problème c est quand on veut mélanger des populations aux moeurs très différentes . L immigration de peuplement en témoigne suffisamment non ? par exemple nous avons connu une guerre civile sous l occupation mais à ma connaissance des Français n’ont jamais commiscontre des compatriotes le centième des crimes qu on a vu au Rwanda par exemple .

Répondre à ce message

Ben quoi, ils créent de la valeur ajoutée... Rouillant ne le comprend pas ça...

Répondre à ce message

En France on a le diner du GRIF.

Nos gros à nous. On y trouve nos "nègres", sont tout couleurs passé par l’ENA
(Ecole des "Nègres" en Administration).
Ils portent des compas et des tabliers que même leurs servantes refusent de porter à la maison.
Le boss, le vrai, qui paye pas de mine pour les non-initiés, tape dans le dos des méritants :
François Fion, Audré Pouffarde, Arno BonBougre, le ministre Héro (ça fait rire la salle), Frédo Mitté, sont tous trop la.

Au diner pas de porc, pour la forme, "grasher" oblige (prononcé "gras cher").

Le bas peuple regarde de haut en mangeant son jambon beurre, certaines mange hallal, soit des restes, de la chute de grasher qu’ils ne peuvent se payer.

Moi nostalgique, je regarde avec un chinoise émerveillée :
l’Angélus, le Semeur de Van Ghog... l’art premier du Ghana c’est pas mal aussi.

Pfiou, je suis ailleurs

Répondre à ce message