Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

Vaccins et médicaments génériques : Marisol Touraine en panique

Deux généralistes sur trois considèrent que le temps passé à convaincre les patients est un « frein » pour leur travail. Comment en est-on arrivé là ?

 

Un Français sur quatre se dit méfiant vis-à-vis des vaccins, selon une récente étude de la London School of Hygiene and Tropical Medicine. Et pour convaincre les patients de se faire vacciner ou de faire vacciner leurs enfants, les médecins généralistes sont en première ligne. Plus de 50 % des enfants ont en effet été vaccinés par un généraliste, d’après une étude publiée jeudi par la Société française de médecine générale (SFMG). Mais il n’est pas toujours facile pour un généraliste de convaincre ses patients.

À en croire le rapport de la SFMG, pour deux généralistes sur trois, « le temps nécessaire pour suivre, aborder et expliquer le vaccin au patient lors d’une consultation est un frein » pour leur travail. Pour la moitié d’entre eux, « les idées préconçues des patients sont des facteurs défavorables, en particulier lorsqu’il s’agit de vacciner contre la grippe ou le papillomavirus », poursuit le sondage. Parfois, même, cette méfiance pousse les médecins à délaisser certains vaccins, qu’ils jugent moins prioritaires. « Parce que les consultations durent déjà 30 à 40 minutes avec un bébé et que j’explique déjà les autres vaccins […] Je n’ai pas envie de passer encore du temps sur la coqueluche », témoigne ainsi un généraliste dans le rapport du SFMG. Mais comment expliquer cette défiance ?

Les atermoiements des autorités sanitaires publiques sont souvent pointés du doigt. Un médecin généraliste sur trois considère en effet que les informations véhiculées par les pouvoirs publics « constituent un frein » pour expliquer aux patients l’importance des médecins. Et notamment les modifications annuelles apportées au calendrier vaccinal, fixé chaque année par le ministère de la Santé et le Haut conseil de la santé publique. Ce calendrier fixe les dates des vaccinations obligatoires (diphtérie, tétanos, polio et fièvre jaune) et des recommandés (Tuberculose, coqueluche, rubéole, rougeole, oreillons, varicelle, grippe, hépatite B, pneumocoque, méningocoque C, papillomavirus humains…).

Pour 70 % des généralistes, ce calendrier est utile. Mais il change bien trop souvent, ce qui égratigne la confiance de certains patients face aux médecins qui appliquent ces recommandations. « Comment expliquer au parent qui vient avec son troisième enfant que, là où vous recommandiez trois piqures puis un rappel, maintenant ce sera juste deux et pas de rappel ! », résume le docteur Luc Martinez, Vice-président de la SFMG, cité par Le Parisien.

Lire la suite de l’article sur europe1.fr

 


 

Médicaments génériques :
une campagne pour redonner confiance aux Français

 

Marisol Touraine a lancé mardi une grande campagne pour vanter les mérites des médicaments génériques et redonner confiance aux Français. Intitulée « Devenir générique, ça se mérite », elle est visible sur différents supports.

 

Les médicaments génériques ont encore du mal à séduire les Français. Pour inverser la tendance, le gouvernement a lancé mardi 27 une grande campagne d’information visant à consolider la confiance et les connaissances des Français sur ces médicaments. Réalisée en partenariat avec la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), cette campagne s’inscrit dans le cadre du Plan national d’action de promotion des médicaments génériques, lancé par Marisol Touraine en 2015.

Pour qu’elle soit vue par un maximum de personnes, le gouvernement est à l’initiative d’un spot TV diffusé sur les chaînes nationales jusqu’au 18 octobre, d’une campagne digitale, de spots radio ainsi que d’un espace d’informations et d’échanges.

« Il y a encore trop de citoyens, de professionnels de santé qui continuent à s’interroger sur les génériques, qui sont des médicaments tout court. Nous restons derrière nos voisins européens », a regretté, mardi 27 septembre, Marisol Touraine lors d’une conférence de presse.

[...]

 

Voir ci-dessous la campagne du gouvernement sur les médicaments génériques :

 

Lire l’intégralité de l’article sur francesoir.fr

S’informer sur la santé avec Kontre Kulture :

Les raisons de la défiance, sur E&R :

 






Alerter

74 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #1568534
    Le 30 septembre 2016 à 08:03 par awrassi
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Il suffirait de nationaliser tous les laboratoires pharmaceutiques et les prix de revient ne seraient plus un problème ! C’est le capital et ses différences de classe qui tue tout ...

     

    Répondre à ce message

  • #1568576

    Avant , il y avait la sélection naturelle, les plus faible mourraient, et les sujets en bonne santé atteignaient l age adulte et étaient robuste.
    Aujourd hui on entretient en vie ceux qui mourraient et fragilisent ceux qui était robuste en substituant la résistance du corps par les vaccins.

     

    Répondre à ce message

    • #1568627

      Il fallait un bon coup de poignet pour balancer le gourdin sur la caboche d’un smilodon affamé qui te reluquait les rognons. Le bon vieux temps quoi...

       
    • #1568729

      Vous suggerez donc de laisser crever tous les diabetiques par exemple, n est ce pas ?

       
    • #1569067

      le coup de la sélection naturelle ... moué

      moi, il y a un truc tout bête qui me fait pas mal douter de ce modèle de sélection naturelle.

      c’est le nombre de personnes ayant des problèmes de vue, parfois très handicapant (sans correction), parfois très jeune : comment se fait-il que la sélection naturelle ait pu laisser passer un truc pareil ? pour arriver à bouffer sans se faire bouffer, ni marcher sur un serpent ?

      amicalement.

       
    • #1570045

      Ciceron > Ca tombe bien les humains vivent en groupe et si ton problème de vue n’affecte qu’une personne dans ce groupe, il sera juste mis à l’écart du danger...Et puis je pense que plus on remonte le temps et moins on trouve de problème de vue car comme l’a dit seb : seul les sujets en bonne santé survivent. Il fut probablement un temps ou nos sens égalaient ceux des animaux et qu’avec le temps, les conditions de vies qu’on connait, les livres et maintenant les appareils lumineux ont conduit à avoir des individus qui ont une mauvaise vue et qui peuvent survivre...avec des lunettes !

       
    • #1572183

      @ seb59
      Ce sont ceux qui souffrent le moins qui sont toujours les plus prompts à faire fi de ceux qui souffrent.
      Votre pensée est simpliste, primitive et limite eugéniste. L’entraide est un facteur clef en terme de survie. Un des progrès de l’âme humaine dans le projet collectif au cours de l’histoire a justement été de générer des système de solidarité pour les plus faibles. Sans cela, je ne vois pas vraiment comment une âme peut s’élever. Pour de nombreuses personnes dont je fais partie, aider les plus faibles que soi est un acte fondamental. Témoigner de la faiblesse d’autrui et y remédier dans la mesure du possible est une façon de briser l’emprise de la culture du narcissisme qui saisit notre civilisation depuis l’après-guerre.
      Je ne suis pas Catholique, mais j’aime beaucoup le message du Christ. J’aimerai vivre au sein d’une société établie sur sa parole, c’est certain.
      Et si vous étiez malade et blessé, ne souhaiteriez vous pas que quelqu’un vous aide ?
      A quoi bon les hôpitaux et les médecins, alors ? Si les gens sont assez faibles pour se blesser et tomber malade, il n’y a qu’à les laisser mourir, après tout !
      Un autre aspect important : La souffrance, la survie, sont des notions qui prennent tout leur sens dans l’esprit de ceux que vous qualifiez de "faible". En effet, la faiblesse et la souffrance sont des moteurs de force intérieure. Vous semblez vous référer essentiellement à la force, à la résistance physique. Qu’en est-il de la force morale, mentale et spirituelle ? Sans importance ?
      Bref. Beaucoup de certitudes et de positionnements radicaux de votre part, mais très peu d’arguments. J’attends votre réponse, monsieur Seb59.
      Respectueusement ;

       
  • #1568631
    Le 30 septembre 2016 à 12:01 par Pépé le Moko
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Les vaccins ?!?

    Pourquoi se compliquer l’existence ?!?

    Vous prenez du WD40 , mélangez ça avec de l’acide de batterie , 3 cuillerées de crottes de chameau préalablement séchée ( important ) , et une bonne pointe de liquide de freinage ... et vous l’injectez dans le bras de votre cher bambin ...

    Affaire réglée !!!

     

    Répondre à ce message

  • #1568692
    Le 30 septembre 2016 à 13:20 par H. K. Daghlian
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Le cas des vaccins est à la limite de l’arbre qui cache la forêt. Un étudiant en médecine dans la famille m’a fait remarquer qu’on leur apprenait à soigner et non à guérir, c’est tout le problème de la médecine actuelle. Le rôle de synthèse qu’avait le médecin, qui prenait en compte plusieurs paramètres - internes et externes au corps - et liait tous les dysfonctionnement de l’organisme à la pathologie en cours afin de la guérir, tout en en supprimant la cause est révolu. Il n’est plus question que de "protocoles" à appliquer à des situations bien définies pour ne faire disparaitre que les symptômes, jamais la vrai cause, le patient ne souffre plus mais la maladie le guette au tournant, très souvent les traitements qu’il prend entrainent d’autres maladies qu’il faudra "corriger" avec d’autres traitement, il n’est pas près d’en voir le bout.
    On pourrait bientôt remplacer n’importe quel médecin par une machine dans laquelle on entre les paramètres (bilans, symptômes, antécédents personnels et familiaux) pour en voir sortir une ordonnance.
    Pour ne citer que l’exemple du diabète type II, j’ai déjà eu des cas de guérison dans la famille, paradoxalement, ces derniers n’ont jamais pris de médicaments hypoglycémiants (comme le glucophage), leur traitement consistait en un changement des habitudes alimentaires et de vie (notamment le sport en pleine nature et non en salle), en plus de certaines médications traditionnelles. Leurs cas sont une hérésie en médecine moderne qui pose comme postulat que certaines maladies sont chroniques et incurables (hypertension, diabète, maladies auto-immunes dont la polyarthrite, l’asthme et la sclérose en plaques). Foutaises !
    L’équation est très simple : Guérison = fuite d’abonnés = fuite de capitaux ; c’est pour cela que les laboratoires achètent d’un coté les médecins, d’un autre les législateurs (pour contourner les récalcitrants), les organismes de formation et ceux qui fixent les nomes de santé. Exemple : si je (L’OMS en fait) dis que seuil de glucose dans le sang, à partir duquel on peut considérer qu’il y a diabète est de 2 g/l, imaginez maintenant qu’après des "études très sérieuses", il se trouve que ce seuil soit abaissé à 1.5 g/l, combien de personnes deviendraient en un tour de crayon magique des diabétiques qu’il faudra traiter ? C’est aussi valable pour le cholestérol, le calcium (ostéoporose), la tension artérielle...et j’en passe.
    J’ai perdu foi en la médecine il y a un moment déjà.

     

    Répondre à ce message

    • #1568906

      Ho oui, et il n’y qu’ a lire les commentaires de robert, charles et castaniette (peut être la même personne en fait) pour finir de se persuader.

       
    • #1569619
      Le Octobre 2016 à 16:30 par Castanietzsche
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      Et quelle est votre recette magique pour guérir de l’hypertension artérielle ?

      À un moment, "ne plus manger de saucisson" ne suffit pas, et il faut faire baisser la tension artérielle autrement.
      En médecine on combine diurétiques, bradycardisants et vasodilatateurs pour modérer autant que l’on peut la pression artérielle.
      Ça ne se substitue absolument pas à une bonne hygiène de vie, mais on fait ce qu’on peut pour diminuer les risque cardiovasculaires des gens.
      Où est le mal ? On fait ce qu’on peut.

       
    • #1569867
      Le Octobre 2016 à 21:08 par H. K. Daghlian
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      à Castanietzsche
      Je n’ai jamais dit que j’avais le remède miracle pour toutes les maladies que j’ai cité, je souligne juste le fait que la médecine actuelle exclut d’emblée toute possibilité de guérison, on parle bien de maladies incurables alors que les cas de guérison existent mais ne suscitent aucune attention de la médecine actuelle, au mieux c’est des cas rares, au pire c’est du charlatanisme, voire tout simplement des mensonges. Il n’y a qu’à considérer les conflits d’intérêts en jeu pour discréditer toutes les recherches (dont les sponsors sont les labos eux mêmes) qui parlent de guérison impossible. Je crois que toute maladie a son remède, le passage - raccourci - par la médecine actuelle étant le meilleur moyen de perdre son chemin.

      Quant aux traitements que vous citez, ils ont exactement les types effets que je mentionne dans mon commentaire, le premier réduit le volume sanguin (même si ce n’est pas le mécanisme par lequel il agit sur l’hypertension) avec pour conséquence sur le long terme une destruction des reins en réduisant leur capacité fonctionnelle, le second réduit certes l’activité cardiaque, et donc la capacité du cœur à élever la tension artérielle, mais supprime également la réactivité cardiaque en cas d’effort, le malade devient faible et s’essouffle lors d’un effort prolongé, ne réagit plus aux pics d’adrénaline qui font qu’on dispose de l’énergie suffisante en cas de situation stressante où l’on doit réagir vite, le troisième dilate les vaisseaux, agissant par là même sur la tension artérielle mesurée (ce qui est le but final de tout ce cocktail), mais diminuant au passage le tonus veineux, donnant œdèmes et varices, une peau en mauvais état, étourdissements et mal être.
      Ces traitements s’attaquent à des symptômes de quelque chose de sous-jacent, c’est comme si votre gosse pleure parce qu’il a faim et que vous lui donniez un coupe faim ou un somnifère, ça supprime une partie du problème mais pas le problème en lui même.

      Maintenant la vrai question : lequel de ces traitements agit sur la cause de l’hypertension, qu’on appelle "essentielle" dans les cours de médecine pour masquer le manque (volontaire ?) d’explications sur la vrai nature et les causes de la maladie.
      Qu’est ce qui fait que l’équilibre entre le volume sanguin, l’activité cardiaque et le tonus artériel soit rompu chez certaines personnes et pas d’autres ? La recherche de la réponse est une piste vers un remède définitif.

       
    • #1570914
      Le Octobre 2016 à 08:20 par francois88088
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      Mon assurance - privee - ne rembourse pas les actes de medecine traditionelle Chinoise... La medecine chinoise, qui pour moi est la recherche de la cause profonde avant le soulagement des symptomes, qui fonctionne tres bien a long terme, n’est pas validee... signe ?...

       
    • #1576283

      @ Castanietzsche

      Le remède contre l’hypertension artérielle n’a rien de miraculeux, pas besoin d’aller chercher en Chine non plus, ce pourrait être l’ail. Je ne vous narrerai ici que l’expérience de mon père, 70 ans, profil chat maigre, 50 ans qu’il est aux alentours de 8-12 et plus de tension, client de Bigpharma depuis quelques années pour juguler la redoutable hypertension. Expérimentateur d’une cure d’ail (une décoction d’ail dans de l’alcool pour fruits, à consommer dilué au compte-gouttes dans de l’eau), le voilà qui a des vertiges... d’hypotension, du jamais vu chez lui. Il semblerait que ça vienne de sa cure d’ail, une sorte d’hypotenseur naturel qui s’est surajouté à son traitement pharmacochimique. Cet exemple proche m’interpelle, je vous enjoins à fouiller la question (je ne l’ai pas fait moi-même), peut-être est-ce une réponse simple, concrète et accessible à votre interrogation.
      Cordialement ;

       
    • #1586507
      Le Octobre 2016 à 13:39 par Castanietzsche
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      @Crocuta
      Merci de votre témoignage.
      En science, un témoignage (et qui plus est sur une personne) n’est pas une preuve.
      Si l’ail suffisait à faire baisser la tension artérielle en double aveugle, il est très probable qu’une étude clinique l’aurait déjà démontré.
      Un médicament serait apparu par analyse des molécules de l’ail, et on donnerait des comprimés de cette molécule aux patients.

      Si la solution à l’hypertension artérielle était "toute bête" et sous nos yeux, comment expliqueriez-vous l’effort titanesque de la recherche à ce sujet avec des centaines de molécules testées, abandonnées, améliorées et la mise en place de stratégies thérapeutiques sans cesse mises à l’épreuve par des études cliniques ?

       
  • #1568733
    Le 30 septembre 2016 à 14:16 par envolée_des_incultes
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Cela se comprend aisément lorsqu’on sait que les Français sont de fervents républicains. ;-) Or, médecine publique s’exonère de principes fondamentaux posés par la république.
    .
    Ainsi, la médecine publique ne reconnait pas les individus, mais l’humanité dans son entièreté. Elle bafoue donc les minorités, les particularités de certaines origines, les régionalismes, etc ...
    .
    Concrètement, cela se manifeste par un négationnisme devant la souffrance des patients, sous prétexte que, si des malades ont généré tels symptômes lors d’une infection, alors, tous les malades doivent avoir les mêmes, selon les protocoles des A.R.S. Si la république reconnait des individus, nous devrions avoir une individualisation des diagnostiques, ce qui n’est pas le cas. Le patient qui ne rentre pas dans les cases est alors considéré comme un simulateur et on lui prescrit des anti-inflammatoires, ou directement des anti-dépresseurs, et on le range dans la case "psycho" en le privant de l’antibactérien dont il a besoin. Ce genre de pratique, ça passe avec quelques-uns, mais beaucoup sont diplômés, parfois plus que le médecin lui-même, et là ça coince, car la rhétorique maladroite du médecin ne suffit pas à endormir la vigilance du patient, qui lui, est très conscient de ce qui lui arrive...
    .
    Là ou le bas blesse pour les médecins, c’est que lors de la naissance de leur profession au début du siècle dernier, ils avaient affaire à une population majoritairement inconsciente et analphabète sortant du traumatisme de deux guerres. Depuis, les choses ont grandement évoluées et la bêtise a changé de camp.
    .
    Il se passe avec les médecins la même chose qu’avec l’ancienne bourgeoisie catholique : une bigoterie extrême source de leur déchéance. Quand on choisi de troquer son obéissance plutôt que son intelligence, peut-être est-ce dû à un déficit de l’un par rapport à l’autre ; il n’y a donc rien d’étonnant à cette déchéance. Un seul cas allie l’obéissance et intelligence, c’est lorsqu’on obéit au bon sens.
    .
    Quand l’heure des comptes sonnera, cette profession pourra-t-elle dire : " je ne savais pas, je suivais les ordres " ? L’histoire nous montre que cela ne suffit pas à rester en vie et que la discipline peut aussi conduire sur l’échafaud. Il y aura un Nuremberg de la médecine, et les médecins ne seront pas dans le camp de l’accusation.
    .
    Il fut un temps où le Français ne confiait ni son pognon aux banquier, ni sa santé aux étrangers ... Alléluia !

     

    Répondre à ce message

  • #1568804
    Le 30 septembre 2016 à 17:14 par 9 mondes
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Médecine publique ou privée ,ça fait toujours plaisir de recevoir des billets gratuits d’avion et de sèjour à l’hotel à San Francisco , afin d’assister( avec compagne de son choix ) à une conférence offerte par Mr Advil , Soludécadron ,ou Microlax de Bayer , Mylan ou Schmollenx en récompense de bons et loyaux services ...

     

    Répondre à ce message

  • #1569110
    Le 30 septembre 2016 à 22:25 par masque de chair
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Je ne suis pas contre toute vaccination, mais fais partie des Français qui pensent qu’on doit les limiter au strict nécessaire.
    Un exemple à titre indicatif.
    Âgé de 60 ans, il m’arrive souvent de bricoler et de jardiner. "Naturellement", mon généraliste (et la médecine du travail) ne cesse de me demander si je suis vacciné contre le tétanos. J’ai fini, de guerre lasse, par répondre désormais "oui", alors qu’il n’en est rien.
    Suis-je donc un inconscient ? Ai-je des penchants suicidaires ? Bien sûr que non, mais sachant que le tétanos ne se développe qu’à l’abri de l’oxygène, j’ai pris l’habitude, en cas de blessure ou même d’égratignure suspecte, de bien ouvrir la plaie avant de la laver au savon ou d’y mettre un antiseptique.
    Quant au vaccin contre la grippe, il me fait carrément rire : soignez votre "terrain" (hygiène de vie, alimentation), et vous n’en attraperez aucune, ou alors la combattrez par vos propres défenses immunitaires

     

    Répondre à ce message

    • #1569634
      Le Octobre 2016 à 16:45 par Castanietzsche
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      Ça ne suffit absolument pas à empêcher la bacille tétanique de faire son boulot... Elle peut simplement entrer dans votre corps sous forme sporulée, trouver un endroit sans oxygène et s’y développer sous forme végétative.
      Les bactéries Gram + sont particulièrement résistantes !

      Si vous contractez le tétanos, vous avez 25% de chances d’y passer.

       
    • #1571681

      Sinon pour info le tétanos est une maladie non immunisante, anaerobie stricte et 90 % de ceux qui l’attrapent ont plus de 76 ans. .... Environ 8 cas par an en France et taux de mortalité 30 % avec un âge médian de 82 ans..... Bref vacciner toute une population pour une maladie non immunisante qui tue 2 à 3 vieillards par an est une aberration. CQFD

       
  • #1569279

    Ils sont fascinants ces politiques et autres médias de pleurer sur la réticence croissante des français à se faire piquer sans raison ou prendre des médocs inutilement.

    Affaire du sang contaminé, médiator, Di-Antalvic, Isoméride, le vaccin H1n1 et encore d’autres trouvés mais trop long à citer.

    Ajouté à ça la présence du lobby pharmaceutique qui est de notoriété publique, des dires sur le laxisme de la vérification des médicaments commercialisés et de la proximité/conflit d’intérêt que des membres du gouvernement ont avec ces industries. D’ailleurs le nom des compagnies condamnées reviennent régulièrement et sont toujours des gros groupes...

    Y a de quoi avoir des doutes !

    Moi par exemple, le médecin du travail m’avait demandé si j’étais à jour de certains vaccins...fallait absolument que je les fasse mais j’ai pas de symptôme lié à la maladie de ces vaccins, pourquoi j’irais me faire piquer ?

    Ou encore le manque d’ouverture de mon médecin qui se fâche parce que je prends pas x ou y médicament parce que j’ai mes raisons et qui me balance des inepties du style "faut pas croire tout ce qu’on vous dit sur internet" alors que sur internet on me dit de prendre ce médicament !...

    Attention, je prends des médicaments mais je décide personnellement de la durée et je vérifie ce que j’ingurgite et tout le monde devrait faire pareil.

    Le spot, que j’avais vu je ne sais plus ou, me donne encore moins confiance vers les génériques, car ce qui est promu par l’état ne peux être que mauvais...

     

    Répondre à ce message

    • #1569628
      Le Octobre 2016 à 16:40 par Castanietzsche
      Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

      Le vaccin, c’est de la prophylaxie.
      Une fois que t’as le tétanos, c’est trop tard tu ne peux plus guérir.

      Interrompre un traitement brutalement expose souvent à plusieurs problèmes :
      - pour un antibiotique, tu peux relâcher des bactéries résistantes aux antibiotiques dans tes selles, qui pourront être le point de départ d’un problème sanitaire majeur plus tard
      - pour un antidepresseur du type Prozac, tu peux faire mourir des nouveaux neurones (créés grâce à l’antidepresseur), et les déchets encombreront ton hyppocampe
      - pour un diurétique, (par exemple si tu arrêtes celui de l’anse mais pas le thiazidique) tu risques une hyperkaliémie, dangereuse pour ton coeur

      Avant d’arrêter un médicament, demande à ton médecin.

       
    • #1569745

      Quelqu’un a dit plus haut "le corps humain est bien fait" et je le pense aussi et je pense que sauf maladie qui nécessite un traitement on ne doit pas s’injecter de substance par prévention alors que je ne présente aucun symptôme de cette maladie. Je ne me souviens pas des vaccins que le médecin du travail m’a demandé de faire mais il s’agit de rappel de vaccin alors que ça doit bien faire 15 ans que je n’ai pas vu une seringue, depuis le temps, j’ai largement eu le temps de contracter ces maladies mais c’est pas le cas.

      Concernant l’arrêt brutal d’un traitement, je ne comprends pas en quoi c’est brutal d’arrêter un traitement quand tu n’as plus de douleur sachant qu’il existe des effets secondaires aux médicaments qui peuvent être pire que l’arrêt de celui-ci. D’ailleurs, comment tu différencies la brutalité de l’arrêt d’un traitement puisque les individus ne sont pas pareil et que les corps assimilent/éliminent les substances plus ou moins facilement ? Tu continues un traitement qui te files la nausée par exemple ?

      J’ai pu voir un "contre effet" sur un médicament mais c’était lié à la blessure elle même mais passé cette douleur, le traitement durait encore trop longtemps par rapport à la douleur = aucun intérêt.

      Enfin, tu me demandes de demander la permission à mon médecin, d’une part je fais parti des sceptiques ensuite il est bien plus que probable que mon médecin soit contre l’arrêt du traitement alors que je vais bien (j’ai suffisamment vu de docteur et la phrase "si vous ne voulez pas vous soigner" je ne la sors pas d’un chapeau) soit le médecin se fie à ce que je lui dis et vu que je connais mieux mon corps qu’un étranger, je n’ai pas a demander de permission à qui que ce soit.

       
  • #1569556

    Le dernier vaccin qu’on m’a fait il y a 8 ans ,ne s’est pas résorbé ,j’ai un gros kyste ou nodule à l’emplacement de l’injection .Ce serait une " boule de graisse" d’après le médecin ,un lipome .
    Ben ça alors ! toute la graisse de mon corps se serait logée dans le bras ,justement à l’endroit du vaccin . Je dis "toute " car je pèse 48 kgs !
    Le vaccin anti rougeole serait supprimé aux USA car maladie éradiquée .
    j’ai eu la rougeole et je suis toujours là ,des décennies plus tard ..

     

    Répondre à ce message

    • #1569780

      J’ai bien ri à votre auto-dérision ! :-)

      Il s’agit possiblement d’un lipome, ceux-ci pouvant avoir une origine traumatique, ce qui serait dans votre cas une des conséquences (la seule que je vous souhaite) de ce vaccin. Bénins, ils n’en sont pas moins une marque d’un état sycotique.

      Du point de vue homéopathique, les vaccins, considérés comme une forme de viol de l’organisme, induisent justement une réaction de type sycotique à l’organisme tout entier, ce qui ne peut qu’augmenter la probabilité (déjà évidemment infiniment proche de 1 vu qu’il est apparu à la suite de votre injection, de surcroît à la même localisation) que votre lipome est une conséquence directe de votre vaccin, si il le fallait.

      "Rassurez-vous", de ce fait nous sommes à peu près tous dans le même cas ! Lipome ou autre...

      Le Larousse dit à Sycose :

      "En homéopathie, l’une des trois diathèses fondamentales mises en évidence par S. Hahnemann, aujourd’hui décrite comme le résultat de toute toxine d’action lente et progressive, de fautes d’hygiène et de diététique, de stress ou de l’introduction brutale dans l’organisme de substances à visée thérapeutique ou préventive. (Le sycotique est sujet aux écoulements muqueux, ses fonctions d’élimination sont ralenties. Il a une tendance aux insuffisances endocriniennes et aux troubles psychiques, principalement dans leur expression dépressive.)"

      Il faut rajouter à cette définition trop succinte que la sycose (il faudrait au minimum une conférence), du fait de ce rapport avec les défauts des fonctions d’élimination, va être également caractérisée par les accumulations organiques (et psychiques) en tous genres : le lipome donc, mais aussi verrues, pendulums, condylomes, grains de beauté, bref toutes les formes de tumeurs bénignes ou malignes.

      En consultations, nous homéopathes observons l’étiologie vaccinale tous les jours. Notre vision globale de l’individu nous permet de donner un sens aux antécédents d’un patient *sans discontinuité*, et, lorsqu’on nous observons quantité de symptômes de type sycotique et que nous remontons le fil, le nombre de patients dont leur sycose a commencé directement après un vaccin est effarant (bien qu’une sycose a d’autres causes, voire être congénitale).

      Au contraire de la médecine de masse qui ne voit qu’une infection urinaire par-ci, un lipome par là, un épisode dépressif par ailleurs, un cancer, sans être mesure d’y voir le fil conducteur.

      Hahnemann avait donc prédit ces conséquences il y a... 2 siècles.

       
  • #1571910
    Le 4 octobre 2016 à 13:46 par Dupifovitch
    Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique

    Comment le bétail, affaibli, fait-il pour expliquer ses effets indésirables ? Lui pose t-on les questions ? Pas le temps le gentil docteur ! Au suivant !!!

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents