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Les années Mitterrand – Visionnez gratuitement le chapitre 3 du documentaire Faits & Documents sur Jacques Attali

 

Visionnez ci-dessous le troisième chapitre du documentaire
Jacques Attali – De Mitterrand à Macron : 40 ans de pouvoir profond
réalisé par ERTV et Faits & Documents !

 

Sommaire

- Introduction
- 1 – Les juifs, les musulmans et l’Algérie
- 2 – La famille Attali
- 3 – Les années Mitterrand
- 4 – Au sommet de la hiérarchie communautaire
- 5 – Un relai des groupes mondialistes
- 6 – Des échecs sur toute la ligne
- 7 – D’où tu parles, Jacques ? (Conclusion)

 

Le troisième chapitre : « Les années Mitterrand »

 

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32 Commentaires

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  • Attali a fini major de promo à Polytechnique, 2 eme à Sciences Po et 2 eme à l’ENA. Un parcours exceptionnel ! Pourtant, qu’en a t il fait ? Rien. Son parcours politique est nul, son parcours professionnel, médiocre !

     

    Répondre à ce message

    • #2801487

      Bof, c’est comme les toubibs de haut « vol » en France, beaucoup majoritairement d’une minorité. Comme souvent, à un certain niveau, la question se pose : Qui ? Mais qui, composait le Jury pour ce guignol et d’autres ?
      J’ai l’air de déconner, mais avec un peu de recherche…

       
    • Vous rigolez !
      Il est devenu millionnaire en détruisant la France et son peuple !
      Mission accomplie avec brio !

       
    • C’est une plaisanterie ?

      La carrière politique, c’est pour les guignols. Jacques Attali est un marionnettiste.

      Bref il a tout compris.

       
    • étonnant ! et il n’écrit pas ses livres, on peut se poser la question qui étaient les directeurs des établissements qu’il fréquentait a-t-il eu des passe-droits , des privilèges , des avantages son parcours scolaire et impressionnant sur le papier, en tout cas il n’a pas servi les bien-être d’autrui

       
    • Après avoir été reçu admissible à l’Ecole Polytechnique cette année, j’ai pu y passer en mai les épreuves orales de la voie universitaire et j’ai été choqué par certaines choses :

      - Dans de multiples rapports d’oraux de l’épreuve de français des précédentes années (ce document liste les différentes remarques que le jury a noté au cours de ses interrogations), il est conseillé de mettre en avant les valeurs de la république, ce qui est normal en connaissant l’histoire de cette école. Néanmoins, ce n’est pas tout, il y est aussi conseillé de réviser l’affaire Dreyfus car le jury interroge parfois les candidats à ce sujet. Quel est le rapport avec l’école Polytechnique, seul quelqu’un qui sait que la république est l’extension de la franc-maçonnerie qui est elle même sous domination de la synagogue peut y répondre bien sûr. (la preuve : https://gargantua.polytechnique.fr/... >>> FUF >>> Français >>> Epreuves orales >>> 2020 et 2012.)

      - Le jury de l’épreuve de français est simplement constitué d’une femme ayant fait la prestigieuse et très difficile d’accès ENS rue d’Ulm (l’école responsable de la laïcisation de la France, car elle vise à former des professeurs d’élites qui transmettront les valeurs de la république dans les écoles et les universités). En faisant quelques recherches sur cette femme (vous trouverez son nom en haut du document que je vous ai partagé plus haut) on peut apprendre qu’elle est une adepte de la théorie du genre et des orientations sexuelles déviantes, notamment des queer, etc ! Ce n’est d’ailleurs même pas étonnant quand on voit le visage, trahissant ses névroses, de cette dégénérée. Oui, cette femme est bien le jury de l’épreuve de français pour l’école la plus élitiste de France.

      - Cette école qui se dit militaire mais elle ne l’ai qu’en surface (défilé militaire, stage de 8 mois en première année, 6 heures de sport obligatoire par semaine et mode de vie communiste : chaque section sportive de 40 personnes ce partage la même cuisine et toutes les chambres sont identiques), elle l’était durant le Premier Empire ; maintenant elle forme principalement des futurs cadres d’élite qui trahissent, pour un tiers d’entre eux, la nation en partant à l’étranger (mais la grande majorité revient ensuite) et qui, pour la plupart, ne rembourse pas, la dette qu’ils doivent à l’école qui leur offre une bourse généreuse de 400 euros par mois pour leur titre d’officier

       
    • - L’existence du rapport Attali, lisez-en le quart c’est très instructif. Dans ce rapport de Bernard Attali de 2014 (qui n’a jamais intégré cette école ni même de grandes écoles d’ingénieurs ou de commerce, pourquoi en est-il l’un des responsables alors que 70 polytechniciens par promotions sont sélectionnés pour devenir haut-fonctionnaire ? Bonne question !), il propose de créer la fameuse Université Paris-Saclay. C’est beau sur le papier, mais maintenant qu’on a du recul dessus, c’est vraiment difficile de ne pas croire aux théories antisé***** qu’on trouve sur internet. Cette université créée en surface pour montrer au monde que la France à sa place dans les classements universitaires internationaux (qui sont très mal foutu car la France est le pays avec le plus de prix Nobel de littérature et de médaille Fields = prix Nobel de maths, alors que nos universités étaient classées de 300ème à 500ème quand elles l’étaient avec la Sorbonne et Dauphine classées 40ème au dessus des grandes écoles : les classements sont fait soit par des américains, soit par des chinois, avec des universités anglo-saxonnes et chinoises en pôle position, c’est aussi simple que cela), est en réalité un moyen pour que l’état augmente son emprise sur les diverses institutions qui les composent. Et qui est l’état profond ? Vous le savez. Cet attali arrive même à faire de l’inversion accusatoire en déclarant que les Mines Paris par exemple (qui est une école imprégné des valeurs traditionnelles et créé durant la monarchie, l’architecture même est tellement impressionnante que le Sénat essaie de troquer leur bâtiment contre celui-ci. J’ai envie de leur dire de travailler plutôt que de courir après le luxe, au moins les étudiants des Mines ont plutôt mérités leur place eux, malgré tout les avantages qu’ils ont reçus ce sont des travailleurs, c’est impossible à nier) aurait des intentions "sous-terraines" en refusant de participer à ce projet. Le capricieux n’aime pas qu’on voit clair dans son jeu : il veut transformer les écoles d’élites en institutions académiques aux services des grandes entreprises, notamment Total (dont le pdg me semble être j**f*, mais je n’en suis pas sûr) qui subit beaucoup de confrontations de la part des étudiants de l’Ecole Polytechnique qui portent certaines valeurs, je vous assure que la plupart sont de bonnes volontés avec des principes.

       
    • Cet attali ne se contente pas de tansformer les étudiants en simple futur employé, non non ce serait trop peu, il veut réformer la sélection des hauts-fonctionnaires. Il voudrait que les futurs dirigeants de l’état soit sélectionnés sur dossier avec des entretiens et proscrire les épreuves intellectuelles classiques. Ah, ça, vous en entendrez pas parler à la TV. Cet entretien nécessitera sans doute de réviser l’affaire Dreyfus ou les diverses conférences sur la shoah qu’ils auront reçus durant leur cursus de quatre ans (on va dire trois car la première se passe surtout à l’armée, ou en stage civil). J’oubliais d’ailleurs, j’ai eu trois à mon épreuve d’anglais alors que j’ai le niveau B2, vous savez pourquoi ? Car j’ai osé dire le mot mondialiste et critiquer la politique pro-éolienne et antinucléaire. Ca coute cher l’honneur, mais je m’inquiète pour les futurs politiciens sans cerveaux qu’on aura...

      - Si vous ne saviez pas, durant mon oral de français, à laquelle j’ai reçu la note de 8/20, j’avais donné des exemples de toutes sortes très appropriés à l’argumentation de ma dissertation : différents courants de peinture, des essais philosophiques, un recueil de romans fin XIX-début XXème siècles, de la musique moderne et classique, un film de Stanley Kubrick et le discours de prix Nobel d’Albert Camus. Par contre, l’an dernier des étudiants ont reçu de bonnes notes en utilisant comme exemple des séries modernes telles que Breaking Bad ou des mangas (Dans le rapport d’oral pourtant, il y a bien précisé que la « culture de masse » est à abolir.) Mon égo en a pris un sacré coup quand j’ai vu le résultat. D’ailleurs en tant que bonne féministe, il est facile de voir qu’elle attribue de meilleures notes aux personnes de son genre.
      En réalité, je suspecte la création de la voie universitaire pour intégrer l’Ecole Polytechnique comme une façon de recruter seulement ceux qui la connaissent (ceux des grands lycées) et qui correspondent aux valeurs républicaines de la mafia internationalistes. De bons abrutis obéissants dirigés par l’argent et la culture de merde. Ainsi, car il faut dire que cette école respire la culture et l’éducation supérieure, petit à petit des gens qui écoutent du rap s’insèrent dans cette école dont les étudiants, autrefois, défendaient Paris seuls et avec succès.

       
    • En conclusion, les étudiants de l’école sont de qualités dans l’ensemble et souhaitent vraiment agir selon leurs valeurs, croyez le ou non, mais ses dirigeants sont les pires salopards et ennemis de la nation. Je crois qu’à terme, les grandes écoles d’ingénieurs de Saclay ne feront qu’une, avec une même idéologie : start-up et numérique, que les prépas disparaîtront (elles forment quand même les meilleurs ingénieurs du monde) et que l’Ecole Polytechnique qui se veut de la grande culture deviendra celle des bons mathématiciens (j’y ai rencontré quelqu’un qui ne connaissait même pas les différents événements importants et régimes de la France au cours du XIXème siècle) avant de se fondre dans la grande et prestigieuse flaque que sera l’Université Paris-Saclay.

      En tant qu’enfant d’esclaves qui a connu des soirées et des matinées sans rien à manger avec mes petites soeurs, je suis très fier d’avoir pu faire chialer cette sal*** d’examinatrice en plein oral de français (je peux vous dire qu’elle m’avait jeté un regard d’assassin tout en versant des larmes, c’était exquis). Depuis, je me dis que je suis comme un murmure de la colère du bas peuple, engouffré dans une abîme, qui est venu résonné dans ces petites oreilles de put* mal bais**.

      Bien à vous !

       
    • @R

      Attali, s’est servi des écoles prestigieuses du moins pour Polytechnique, afin de se faire plaisir avec ses classements. Mais cette intelligence, et ces connaissances qu’il aurait pu mettre au service de la France et des français, il les a mis au service de beaucoup d’autres causes et intérêts, son idéal étant nettement ailleurs.

      La France, il l’a utilisée, et il a accompli la mission principale qui lui incombait, a savoir la contrôler et la dominer.
      En 2017, il a entamé la phase finale qui consiste à la détruire et a anéantir son peuple. Pour ce faire il a choisi Macron, extrémiste psychopathe, sont il savait qu’il irait au bout de la mission par tous les moyens.

       
    • @ V.P.L.-A

      Merci pour ton témoignage percutant.

      Pourrais-tu préciser pourquoi tu considères les Mines comme « une école imprégnée des valeurs traditionnelles » ? Je n’avais jamais entendu ça auparavant (mais j’avoue ne pas spécialement connaître le sujet)
      Qu’est-ce qui fait selon toi la spécificité de cette école par rapport à l’X ou Centrale ?

       
    • @Étudiant

      Tout d’abord, les Mines Paris est une très petite école d’à peine 150 élèves par promotion, ce qui fait que tout le monde s’y connait plus ou moins personnellement, au sein d’une même promotion voir plus, professeurs comme étudiants (à titre d’exemple, X = 500 élèves par promo et Centrale 800). Aucune personne ne peut s’y sentir comme une goutte dans la mer, ce qui fait que chaque rapport entretenu et chaque cours dispensé est une opportunité pour se sentir privilégié dans son instruction et donne ainsi le sentiment de faire partie d’une élite qui se doit de se comporter comme une élite. (Les professeurs ne se promènent pas en baskets par exemple, contrairement à d’autres écoles.)
      Mais ça encore, ce n’est qu’un luxe que d’avoir des cours en petit comité, mais ça évite le côté usine à futur commercial comme à Centrale Supélec.
      Aussi, et c’est le plus important, c’est que les Mines Paris ont refusés de rejoindre l’Université Paris-Saclay par simple volonté idéologique, tout comme l’a fait l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers. Participer au modèle start-up et numérique ne pourrait pas du tout correspondre à ces deux écoles qui portent toutes deux leur propre particularité : l’Ecole des Mines est spécialisée dans l’énergie et la géologie, l’ENSAM dans le secteur de la mécanique, rien à voir avec ce qu’il y a au sein du plateau de Saclay. Néanmoins, elles savent bien que la transition vers le côté start-up et numérique est inévitable, mais elles n’en font pas leur fond de commerce contrairement à toutes les écoles de Saclay.
      D’une certaine manière, elles veulent faire perdurer la tradition française des écoles spécialisées dans des milieux riches culturellement et ne pas imiter les campus à l’américaine où il est obligatoire de prendre les transports en commun pour rencontrer autres choses que des étudiants et des professeurs.

       
    • Car justement, les Mines sont très bien situées, elles se trouvent dans le 5ème arrondissement de Paris, proche de l’opéra Garnier avec une petite partie du jardin du Luxembourg rien que pour ses étudiants ; à côté, le plateau isolé de Saclay fait pâle figure. Les Mineurs (= étudiants des Mines) participent tous à des activités culturelles (musées, théâtres, ...) permises par la situation géographique de leur école. En opposition à cela, Polytechnique, Centrale, etc n’ont rien à côté (Paris est à 50 min en RER), ainsi, l’activité principale de leurs étudiants est la fête alcoolisée pratiquement un jour sur deux (quand j’étais à Polytechnique durant ma semaine d’oraux, je logeais chez un polytechnicien et il y avait des fêtes un jour sur deux, cependant il m’avait prévenu que c’était une semaine assez spéciale, ils avaient prévu ça depuis un moment et il y avait aussi la remise des tangentes. Malgré tout, ils dénaturent le titre d’officier de réserve qu’ils portent...).
      Venons-en au contenu des cours, les Mines est l’école d’ingénieur qui demande le plus de travail, les étudiants n’y chôment pas comme à HEC avec ses 9 heures de cours obligatoires par semaine – vous pouvez trouver des témoignages d’étudiants à ce sujet sur internet, ils s’ennuient tellement après leur prépa qu’ils s’inscrivent dans des masters en parallèle pour tuer le temps.
      Par exemple, la plupart d’entre eux y étudient trois langues étrangères (les cours peuvent aller jusqu’à 21:30) et 30% en étudient 4. Le cursus contient obligatoirement de la recherche contrairement à Centrale qui est une école de commerce camouflée, le pipeau (= sciences sociales et économiques comme les nomment ses étudiants) est très important dans cette école type start-up qui est plus proche d’HEC (commerce) que des Mines (ingénieur).
      Par ailleurs, l’architecture même des salles aux Mines inspirent à une élévation intellectuelle. A côté, l’architecture de Telecom Paris, Centrale Supélec ou Polytechnique ressemble plutôt aux bureaux d’une firme transnationale. (https://www.youtube.com/watch?v=gA_... et https://www.youtube.com/watch?v=mhZ... )
      Aussi, on comprend que l’école possède quelques tendances nationalistes quand on voit la façon dont Bernard Attali la traite dans son rapport sur Polytechnique de 2014.

       
    • Je critique beaucoup les écoles de Saclay mais les Mineurs aussi font la fête, ils ont leur propre bar-boîte dans l’école et partent aussi à l’étranger pour une grosse partie d’entre eux. Par contre, cette école fera perdurer la tradition française de l’excellence et du goût du travail ; ce qui n’est pas le cas de Polytechnique et le reste de Saclay dont les étudiants à terme s’assimileront plus à des universitaires sans ambition de séries américaines qu’à ce qu’on peut penser d’eux quand on ne les connaît pas. Très franchement, si on retire le nom de ces écoles, on ne croirait pas que ces étudiants soient à Polytechnique ou Centrale en observant leur train de vie... et le plateau de Saclay, ainsi que les cursus des écoles qui s’y trouvent, semblent organisés de manière que ce soit le cas.

       
  • #2801423

    En France on manque de bricoleurs..et on a trop de patience. Les Allemands, c’est le contraire, enfin c’était.

     

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  • #2801462
    Le 4 septembre 2021 à 15:52 par Chrétien qui « les » conchie.
    Les années Mitterrand – Visionnez gratuitement le chapitre 3 du documentaire (...)

    On se fait chier avec l’étude de l’eschatologie, alors que si çà se trouve l’antéchrist est déjà là depuis plus de 70 ans, avec ses suppôts philosophes et médiatiques…

     

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  • il etait omnipresent attali derriére mitterrand ,on a l impression que déja les directives étaient données qu il y avait une pression ..,avec du recul on comprends mieux qu un mauroy n a pas fait long feu, remplacé par fabius (et les manifestations arrivent ) c est simple il y a des gens qui veulent que ça fonctionne , un fonctionnement équilibré ,juste , équitable ,le bien d autrui une harmonie national ,,on pourrait résumer nouveau testament ( inclus évangile de thomas ) et bien non !!!!!... il y a des gens qui veulent dominer la nation que la france devienne un hotel ( soyons fou l europe carrement) on en revient à l ancien testament le probléme n a pas bougé ( jesus ,le sanhédrin et les romains )

     

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  • Prévenez quand vous mettez une photo d’Attali, faut se préparer mentalement un peu avant.
    Nan j’déconne. Le sang que ce mec a sur les mains, ça te rendrais un peloton du Tour de France propre.
    Sans compter les milliards de la BERD et les plagiats, "l’homme le plus intelligent de France".

     

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  • "jako-la-p’tite nouille" c’est tapé Miss France 65 ???
    Elle devait sûrement admirer le plafond et regarder ses ongles avec une clope au bec ....

     

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  • #2801612

    Les années Miterrand ? Pas terribles . Sauf à la fin, un petit sursaut de dignité face au voyou sioniste Elkrachat .

     

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  • Comment vous dire merci plein, épais et surtout rendant hommage à l’importance de ce vous nous faites découvrir, mais aussi, que vous nous confirmez pour nous croyants. Merci chaud du coeur M.Xavier POUSSARD, A ce niveau c’est de l’indicible, pour remonter à la forme, votre voix est appropriée et agréable ^pour rendre à ces faits "dégueulasses" une certaine dignité. Merci à tout E&R , M. Alain SORAL.

     

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  • #2802096

    Brillante enquête de Xavier Poussard. Merci à Faits Et Documents.

     

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  • @Étudiant

    Tout d’abord, les Mines Paris est une très petite école d’à peine 150 élèves par promotion, ce qui fait que tout le monde s’y connait plus ou moins personnellement, au sein d’une même promotion voir plus, professeurs comme étudiants (à titre d’exemple, X = 500 élèves par promo et Centrale 800). Aucune personne ne peut s’y sentir comme une goutte dans la mer, ce qui fait que chaque rapport entretenu et chaque cours dispensé est une opportunité pour se sentir privilégié dans son instruction et donne ainsi le sentiment de faire partie d’une élite qui se doit de se comporter comme une élite. (Les professeurs ne se promènent pas en baskets par exemple, contrairement à d’autres écoles.)
    Mais ça encore, ce n’est qu’un luxe que d’avoir des cours en petit comité, mais ça évite le côté usine à futur commercial comme à Centrale Supélec.
    Aussi, et c’est le plus important, c’est que les Mines Paris ont refusés de rejoindre l’Université Paris-Saclay par simple volonté idéologique, tout comme l’a fait l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers. Participer au modèle start-up et numérique ne pourrait pas du tout correspondre à ces deux écoles qui portent toutes deux leur propre particularité : l’Ecole des Mines est spécialisée dans l’énergie et la géologie, l’ENSAM dans le secteur de la mécanique, rien à voir avec ce qu’il y a au sein du plateau de Saclay. Néanmoins, elles savent bien que la transition vers le côté start-up et numérique est inévitable, mais elles n’en font pas leur fond de commerce contrairement à toutes les écoles de Saclay.
    D’une certaine manière, elles veulent faire perdurer la tradition française des écoles spécialisées dans des milieux riches culturellement et ne pas imiter les campus à l’américaine où il est obligatoire de prendre les transports en commun pour rencontrer autres choses que des étudiants et des professeurs.

     

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