La pourriture s’est déchaînée comme un déluge. Elle a envahi presque toutes les institutions, y compris la justice !

J’ai découvert en effet la pourriture dans la justice dans les circonstances suivantes.

Suite à ma séparation avec mon ex-épouse, mon avovat calcule que je n’ai rien à payer pour la pension alimentaire. Je lui dis que je propose quand même 60 euros par mois à titre symbolique. Ce sont mes enfants, c’est ma chaire et mon sang et si j’avais le salaire d’un traider, je leur verserais 100 fois la pension exigée par la loi.

Après la procédure de non réconciliation (comment pourrais-je me réconcilier avec lucifer soi-dit en passant ?), je reçois le jugement qui me somme, avec "la force publique" de verser une pension de ... 400 euros par mois !

Je vais voir l’avocat et lui demande de faire un recours contre cette folie. Il me dit que ce n’est pas la peine, que son avocate va la raisonner.

Je prends sa déclaration pour argent comptant. Mais seulement voilà, maintenant elle me pique 400 euros plus 100 euros de retard, soit une somme de 500 euros qui m’a réduit presque à la pauvreté. Je ne peux même pas réparer ma voiture en panne depuis six mois, ni même prendre le bus ! Je marche à pieds et à force de marcher à pieds, je boîte. Et je ne vis plus, je vivote.

Le juge et mon avocat étaient-ils des frères la truelle, auquel cas j’étais le dindon de la farce judiciaire ? Des féministes ? Quoi qu’il en soit, l’histoire de mon divorce m’a prouvé de façon péremptoire que la justice est pourrie. Quant à la garde de mes enfants, confiée de manière automatique à leur mère sans faire la moindre enquête de moralité sur elle, est une preuve supplémentaire de la dangerosité des tribunaux.

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Dans "vers la féminisation", Soral cite Sigmund Freud :
"Il faut admettre que les femmes n’ont qu’un sens réduit de la justice et cela est lié sans aucun doute à la prépondérance de l’envie dans leur vie mentale ; car l’exigence de justice est une modification de l’envie ; elle pose les conditions dans lesquelles on désire bannir cette envie."

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Ce que l’on oublie de dire, c’est que si la justice donne, et surtout "donnait" toujours raison aux femmes dans la garde des enfants, c’est parce que le législateur (mâle à 95 %) préfère se voir contraint de payer une pension alimentaire plutôt que de se retrouver divorcé et donc à nouveau célibataire, mais avec 2,3,4 gosses sur les bras.(une forme de fausse empathie de la part de ce législateur qui n’oublie JAMAIS qu’il est lui même père de famille)...
Encore une démagogie infernale qui fait que nombre de gens pensent que les hommes font un cadeau aux femmes en leur réglant une pension pour les enfants ... ce geste tendant à faire croire - via la législation - que l’homme est foncièrement "généreux".
En réalité, la pension qu’il "s’oblige" à payer en rédigeant une "loi CONTRE LUI" est un cadeau qu’il s’offre à lui même afin de recouvrer une vraie vie de célibataire et pouvoir de ce fait "courir à nouveau la gueuse" et "faire le beau" en sortant du bureau, plutôt que d’aller faire les courses ... et rentrer en catastrophe à la maison pour faire faire les devoirs aux enfants et pire ... changer les couches aux plus jeunes.
Il va de soit qu’il préfère refiler "les bébés avec l’eau du bain " à son ex, dont il prétendra qu’elle est mieux à même de s’occuper des enfants que lui.
Ceci ne veut pas dire qu’il n’y a pas un très grand nombre de femmes qui jurent de saigner leur ex époux à blanc lors d’un divorce (demandé la plupart du temps (85%) par elle même d’ailleurs).
J’ai moi même payé d’une manière ignoble, et ce durant 16 ans, c’est à dire jusqu’à la majorité de ma fille.
Je crois pouvoir dire que mon ex épouse m’a TOUT FAIT, alors qu’il n’y avait aucune tromperie ou trahison (d’ou vengeance) ayant motivé notre divorce, mais une simple incompatibilité totale de caractère ...

Imaginez un peu ce qui attend les uxorieux dont le nombre grandit chaque jour !!!

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on vit une drôle d’époque on fait tout pour décourager le mariage homme femme
sachant que l’issue c’est l’encouragement au divorce dans une société consumériste à tous les niveaux ,matériels et sexuels conduit irrémédiablement au divorce
sauf couples solides avec un idéal de vie conforme à la religion ;on assiste à une déconstruction savante de la famille organisé par des stoïciens sexuels pervers il y’a 15 ans déjà j’avais remarqué l’effacement des seins dans les films on ne voit plus que les fesses dos et torses des hommes et les femmes seulement leurs visages ,ne pensez pas que je sois pervers tordu voyeur mais plutôt observateur d’une société à la dérive durant les années 60 à 80 : avalanches de nichons à la télé élimination ciblé et systématique de toute pudeur religieuse libération des mœurs et association type coral nouvel éducation !
années 80 à 90 : avalanche gay et révolution homosexuelle créative artistique et intellectuelle,sidaisation des esprits !
années 90 à 2000 : avalanche techno mix des genres androgénie et porno apologie !
année 2000 à 2010 : dérèglement anomalie du genre,société monoparentale, célibataire
consommation sexuelle de marché les sites de rencontres sont cotés en bourses !
année 2010 à nos jours : société malade sans bases ni références,économies chute libre chômage de masse guerres successives monde instable diversion politique etc..
réagissons avant de nous retrouver dans un camp de travail le choas créatif n’a pas lieu uniquement au moyen orient chez nous un printemps sans bourgeons arrive l’hiver intellectuel a été rude l’Europe ne produit plus que de la dette fruit de dettes elles mêmes fruits de dettes les petites gens vont s’aquitter d’une escroquerie dont ils ne sont pas coupable mais responsable du fait de leurs silences complaisants tandis qu’on promeut le mariage homosexuel on nous viole moralement économiquement et intellectuellement cet homme dit vrai ,le parisien que je croyais plus inspiré a osé sortir un complot nommé masculinisme pour décrédibiliser cet homme c’est terrifiant personne ne voit que l’ue les usa sont devenus une société orwellienne !

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Bonjour,

Les lois qui défendent la femme et l’enfant lors d’une séparation ont été faîtes, pour la plupart, en réaction au sort des bonnes de maison qui étaient engrossées puis virées par leurs patrons avec leur progéniture. Au 19ème, toutes les "maries" venues en ville faire la bonniche chez les bourgeois étaient renvoyées à la campagne après coup (sic). Le maître de maison disposait du corps de ces dames comme bon lui semblait. Cette tradition éxistait déjà sous l’ancien régime, mais elle permettait de trouver des enfants naturels quand il n’y en avait pas ou plus de légitime.

De nos jours, ces lois passéistes sont exploitées par des avocates souvent liées à la cause féministe et/ou lesbienne qui n’hésitent pas à accuser les papas d’attouchements ou de violences pour charger leur dossier. Certains pères sont même expulsés de leur domicile au profit de la mère et des enfants.

Dans un divorce, personne n’est tout blanc ou tout noir. Les pires sont pourtant ceux qui se nourrissent sur la carcasse des gens qui se déchirent.

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A l’époque, on allait chez les putes pour faire des choses qu’on ne fait pas avec sa femme, parce que l’homme a aussi besoin de se divertir sexuellement dés fois.
La femme est intéréssé davantage par la situation financière que par le sexe, contrairement à l’homme.
Depuis cette putain de société aux inversion des valeurs, l’homme est coincé au pieu avec sa femme à devoir tout remettre en question pendant que la femme jouit de sa liberté tant demandé depuis les années 70 !
A chacun ( homme et femme ) de balayer la merde que l’on a dans la tête avant de créer une famille !

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Les mots justes. Il a tapé dans le mille sans langue de bois. Bravo Serge.

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Cet homme là n’avait qu’à mieux choisir sa femme...

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Le pire c’est ce que j’ai vu dans "C dans l’air", à gerber : ce déglingué de François de Singly, digne soixante-huitard héritier de Bourdieux qui expose que son fantasme serait de se débarrasser définitivement des pères de famille...et que la 1ère guerre mondiale avait été une bonne chose pour ça. Vive les sociologue !

Sinon, j’ouvre le débat (j’y reviendrai peut-être dans un post) : la garde des enfants dans le cadre d’un divorce au sein d’un couple homo...qui est la femme dans le couple ? Qui a plus de légitimité, plus de proximité avec l’enfant ? Enverra-t-on les enfants des couples homos à l’ADAS ?

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*"on allait chez les putes pour faire des choses qu’on ne fait pas avec sa femme, parce que l’homme a aussi besoin de se divertir sexuellement dés fois".*

elle devait rigoler tous les jours la régulière, pas étonnant qu’aujourd’hui elles aillent voir ailleurs... le problème c’est que maintenant elles peuvent faire la comparaison, et là, patatras...
donc conseil : faites à Madame ce que vous feriez à Lulu, ça pourrait aussi lui illuminer la vie vous ne croyez pas ?.

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