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Olivier Berruyer sur BFM Business

 

 

 

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22 Commentaires

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  • #1022409
    Le 6 novembre 2014 à 14:20 par Erich Cooper
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    La question est "La ShoahBusiness c’est démodé ou pas ?"

     

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  • #1022411
    Le 6 novembre 2014 à 14:22 par Cherep
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Il est fort, ce petit Olivier ! :)
    Et il fait un excellent boulot sur son blog.
    Merci !

     

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  • #1022423
    Le 6 novembre 2014 à 14:51 par Patte Riz Hot
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Conclusion : Les Etats-Unis repartent en croissance pour une durée inconnue mais limitée. L’Europe entre dans une récession sans précédent avec une crise au minimum aussi importante que celle de 2008 et la France, après l’Italie et l’Espagne est la suivante pour payer les pots cassés... Cela ne présage rien de bon.

     

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  • #1022475
    Le 6 novembre 2014 à 15:46 par Joseph
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Traduisons...
    Travailler plus... pour un salaire inchangé et des prix qui ne baissent pas... donc en clair un pouvoir d’achat en baisse... mais pour que les sociétés qui exportent puissent faire plus de tune pour investir... à l’étranger ?
    Pas de doute, Henry Ford aurait fait faillite avec ce régime là ! Faut dire que ce sale fachiste donnait davantage de pognon à ses employés (même aux goyims...) pour qu’ils puissent s’offrir une auto !!! Répugnant ! Nauséabond !
    Curieux que ces patrons ne songent qu’à aller chercher dans les poches de leurs employés de quoi investir ! Et dans les leurs ? Et pourquoi ne pas demander à l’état prédateur de moins se goinfrer ?
    De toute façon, c’est le peuple qui paye tout en dernier ressort : on voit bien que le système n’est composé que de profiteurs, de prédateurs, quel que soit leur déguisement (président, ministres, députés, sénateurs, hauts fonctionnaires, innombrables élus salariés, vrais faux emplois pour demi-putes, hommes de main et fils tarés congénitaux, bouffeurs de fromages républicains en tous genres...)
    Ça suffit !
    Remettons les pendules à l’heure.
    Toute la fiscalité est à reprendre !

     

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  • #1022481
    Le 6 novembre 2014 à 15:51 par Electra
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Travaille plus, gagne pareil, dans le même temps, les produits ne baissent pas, mais pour ce patron, le pouvoir d’achat sera augmenté.

    Heuuuuuu, en effet, il faut être un patron pour se permettre à ce point de prendre les gens pour des cons.

    Comme l’a dit Doze, ça ne se fera jamais, même si les politiques controunent les lois et la constitution, ce sera 70 millions de français en grève, c’est bien pour cela qu’Hollande ne le fait pas.

     

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  • #1022741
    Le 6 novembre 2014 à 19:06 par LEPAGE
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    iI est certain que notre système est un machine à tuer notre économie. les 35 h ont couté15milliards par an ; maintenant, le système financier est sans solution, les sommes en jeu sont si grandes que cela rend fou. nous vivons dans un monde virtuel, les monnaies ne représentent aucune valeur économique réelle., quand au progrès technologique, si tout est robotisé, que fera t on ? le travail n’est pas seulement négatif, il y a beaucoup de t^$aches attrayantes même si elles sont pénibles.
    je pense que nous sommes à la croisée des chemins mais nos politiciens sont incapables de l’envisager et de proposer une démarche quelconque. Pourquoi ? par clientélisme et dogmatisme.

     

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  • #1022955
    Le 6 novembre 2014 à 22:45 par untype
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Olivier Berruyer a bien remis le mec à sa place en lui démontrant par a+b que les mesures qu’il propose sont, même si pour lui personnellement intéressantes, totalement destructrice pour l’emploi aussi bien dans son entreprise qu’à l’échelle du pays. Ce qu’il propose c’est ce qu’on fait depuis 40 ans, baisser le coût du travail en le détruisant pour augmenter les marges, résultat : on est dans la merde. En plus le mec n’a même pas honte de dire que cette marge lui permettrait d’investir à l’étranger, bref il ne pense qu’à son portefeuille et s’étonne que la France soit dans la merde. Et les 2 gus d’avancer comme argument que l’économie c’est "une dynamique" comme s’il s’agissait d’une action magique et que ça sera forcément positif. Le coup du "0,5% ce sera déjà ça de pris" est complètement révélateur, comme si l’important c’était les chiffres, on ne se pose absolument pas la question de savoir à qui va profiter ces 0,5% ni de la destruction qu’on a généré pour l’avoir. Les mecs sont persuadés que croissance = améliorations pour tout le monde (les États-Unis en ce moment montre parfaitement que c’est faux). Bref ça fait 40 ans qu’on nous prend pour des cons, résultat crise sans précédent, et ces gus veulent aller encore plus loin dans la connerie et le pire c’est que des imbéciles exploités sont capables d’être d’accord avec eux. En réalité c’est l’inverse qu’il faut faire : baisser la durée hebdomadaire du travail. Tous les gains de productivité créé depuis 2 siècles ne peuvent servir qu’à une chose : moins travailler. Ceux qui prétendent le contraire sont dénués d’esprit logique ou tout simplement des profiteurs. Mais pour que cela fonctionne il faut effectivement des réformes structurelles, mais pas celles qu’ils proposent, les réformes sont à faire du côté des banques et de la circulation des capitaux, des marchandises et des personnes, et bien dans cet ordre là. Il est inadmissible d’investir à l’étranger ou alors pour s’expatrier et vendre la marchandise produite à ceux qui la produise. Le problème c’est bien évidemment les délocalisations. Des usines en Chine pourquoi pas, mais pour vendre aux chinois. Une mondialisation saine et normale c’est : le maximum de production et de consommation locale et lorsqu’on ne peut faire autrement importer. On a fait ces dernières décennies exactement le contraire. Et les mecs n’ont qu’une seule proposition : toujours plus de destruction.

     

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  • #1023115
    Le 7 novembre 2014 à 03:06 par CDV
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Que d’arguments fallacieux et de méconnaissance des dossiers...
    Réclamer des emplois à des exploiteurs c’est du masochisme. Retour à la tradition et à la communauté c’est tout ! Le progrès humain n’a pas besoin de ces bourgeois narcissiques déicides à la très courte vue, bien au contraire !
    Un bon capitaliste est un capitaliste tenu en laisse.

     

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  • #1023334
    Le 7 novembre 2014 à 13:01 par Bosb
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    A 13:51 , les grands patrons faces à leurs contradictions : l’autre qui dit que nos entreprises souffrent de manque de compétitivité, et quand on leur demande ce qu’il feront avec l’argent gagné une fois le travail des salariés passé à 39h pas payé plus, il nous répond que ce ne sera pas pour baisser leurs prix ?? Alors comment deviendront-ils compétitif ?? Si ils ne baissent pas les prix mais augmentent leurs marges, on ne sera pas plus compétitif face aux concurrents étrangers , alors à quoi cela aura servi ?

     

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    • #1023453
      Le Novembre 2014 à 15:44 par dreamer
      Olivier Berruyer sur BFM Business

      Vous avez mis le doigt sur la principale contradiction de l’entrepreneur, le type explique qu’il se fait bananer sur les appels d’offres internationaux parce qu’il est en compétition avec les allemands, les italiens etc... et il nous explique qu’il ne va pas baisser ses prix, donc il continuera à se faire bananer ?

      Ce serait plus cohérent de baisser ses prix si on baisse le coût du travail, justement pour dégager de la marge sur les volumes en plus qu’il a gagné face à ses concurrents...

      Franchement BFM Business ça devient insupportable. La pleurniche permanente. Et puis des gens comme Berruyer, Sapir ou Giraud sont invités une fois tous les 2 mois histoire d’avoir la caution "pluralisme" à l’antenne...

       
  • #1024144
    Le 8 novembre 2014 à 10:12 par wiwisan
    Olivier Berruyer sur BFM Business

    Il y a une question que personne ne pose. Mécaniquement qu’est ce qui produit de la richesse ? Réponse la valeur ajoutée. Qu’est ce qui produit de la valeur ajoutée ? La transformation d’un produit. Donc le travail. Alors pourquoi le travail est-il beaucoup plus cher que le placement ? Parce que le placement donne l’argent aux banquiers. Et le politique qui fixe le cout par la taxe est le soldat du banquier.

     

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