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Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

Malgré les 200 usagers par jour, le quartier reste impacté par la drogue

Trois mois après son ouverture à Paris, la première « salle de shoot » de France, ouverte sept heures par jour et sept jours sur sept, accueille quotidiennement près de 200 usagers, alors que les protestations de riverains commencent à s’apaiser.

 

« Nous avons entre 170 et 220 passages par jour de gens qui viennent consommer. Au bout de trois mois seulement, c’est énorme et ça montre bien que cette salle répond à un besoin », explique à l’AFP le président de l’association Gaïa Jean-Pierre Lhomme.

« Nous estimons qu’à 350 passages par jour, nous aurons atteint la limite pour pouvoir accueillir les usagers dans les meilleures conditions », ajoute Jean-Pierre Lhomme.

[...]

L’annonce de l’ouverture d’une « salle de shoot » à Paris avait provoqué une levée de boucliers d’une partie des riverains, qui craignaient une hausse de l’insécurité et du trafic de drogue dans ce quartier du nord-est de la capitale proche de la gare du Nord, déjà bien connu pour la forte présence de toxicomanes.

[...]

Selon l’association Gaïa, aucun incident n’a été signalé depuis l’ouverture de la salle. Interrogée par l’AFP, la préfecture de police de Paris n’a toutefois pas souhaité faire de commentaire à ce stade. Pour l’association Parents contre la drogue, fermement opposée depuis le début à l’installation de la salle de consommation, « absolument rien n’a changé ».

« Il y a toujours autant de seringues dans la rue et autant de toxicos sous les portes cochères et dans le parking sous-terrain à proximité, qui est devenu un enfer », lance le président Serge Lebigot.

Pour le maire du 10e arrondissement Rémi Féraud, favorable au projet, « la salle ne résout évidemment pas tous les problèmes », d’autant qu’elle n’est pour l’instant ouverte qu’entre 13h30 et 20h30.

Lire l’intégralité de l’article sur 20minutes.fr

En lien, sur E&R :

Sur les enjeux de santé publique, lire chez Kontre Kulture :

 






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24 Commentaires

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  • #1644766
    Le 17 janvier 2017 à 13:36 par Dirty Harry
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    Lorsque les socialos doivent régler un problème, ils ne le font pas disparaitre : ils l’encouragent au contraire à devenir une institution.

     

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  • #1644768
    Le 17 janvier 2017 à 13:37 par PMJLL
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    "impacté" fait partie du vocabulaire de niveau "vendeur d’électroménager". Ce mot ne signifie rien de plus que tous les synonymes existants. Personne ne dit que Hitler a impacté l’Allemagne, ou l’Europe ou la communauté juive.

     

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  • #1644780
    Le 17 janvier 2017 à 13:52 par fd
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    Ben alors les pauvres choux-choux francais qui vont joyeusement vers l’overdose...pour permettre aux traficants africains sous ordre de Soros de continuer l’ethocide des francais avec l’aval du systeme de crapules en place dans ce pays depuis 1945.

     

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  • #1644781
    Le 17 janvier 2017 à 13:53 par Le Goy
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    ça fait plaisirs de voir que les cotisations qu’on paie au RSI et à l’URSSAF sont bien dépensées. C’est vrai après-tout, si des soins me sont refusés en tant que patron d’entreprise, c’est que je n’avais cas devenir toxico. Voilà une fonction sociale d’avenir. Et bien sûr, la salle de shoot est mise au même niveau qu’une hypothétique légalisation médicale de la marie-jeanne.

     

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  • #1644795
    Le 17 janvier 2017 à 14:19 par dixi
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    La salle de shoot,le baisodrome ,le bar ,l’ anpe .La boucle est bouclée .Voila un beau projet ! L’UE nous aura apporté que du bonheur.

     

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  • #1644796
    Le 17 janvier 2017 à 14:20 par Caro
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    Pardonnez ma naïveté, mais j’aimerais savoir pourquoi se shooter sous les portes cochères ou dans des toilettes publiques ? On ne peut pas faire ça chez soi... ?

     

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    • #1644828
      Le Janvier 2017 à 15:07 par Monsieur Michu
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      Ils sont en manque, ils consomment tout de suite ...
      ou alors par provocation car ils viennent de milieux asociaux.

      Quand le poivrot pisse sur ta porte plutôt que sur un arbre, est-ce juste parce qu’il a envi de pisser (comme tu peux l’avoir toi-même), ou pour te faire chier ?
      Les 2 ensembles.

       
    • #1644876
      Le Janvier 2017 à 16:17 par Fredo
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      Car ils ont peut être pas de "chez soi"
      Paris 10,11,et 18 et 20 et, 19e sont à fuir fuir

       
    • #1644880
      Le Janvier 2017 à 16:23 par dixi
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      Non ,c’est plus branchouille ou plus convivial ,c’est ça ,le vivre ensemble .Génial non ?

       
    • #1644924
      Le Janvier 2017 à 17:20 par détox
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      Lorsque tu achètes un paquet de pâtes alimentaires, tu as peut-être effectivement moins envie de les consommer sur le champ, que le tox avec sa dose, qui est alors en état de manque.

       
    • #1644941
      Le Janvier 2017 à 17:41 par lucas chaudesaigues
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      A mon humble avis au regard des capacités intellectuelles et physiques restantes après un bon fix je doute que l’équation logement=travail soit résoluble. Selon ce qu’ils prennent même rester debout peut être un projet sur plusieurs jours. Ainsi appart des squats ou la rue ces personnes on rarement (seules) la possibilité (et la volonté) de trouver autre chose.

      Si vous voulez constatez par vous même sans aller dans ce genre de réunion festives, je vous invite à visionner le film "Requiem for a dream" qui en parle, de façon dramatique pour être le plus percutant possible certe, mais en étant, de mémoire, pas si éloigné de la vérité que cela.

      Bien à vous

       
    • #1644948
      Le Janvier 2017 à 17:49 par nico
      Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

      Beaucoup de toxicos sont des SDF.

       
  • #1644805
    Le 17 janvier 2017 à 14:44 par Memo
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    ça surprend qui ? a part les indécrottables idéologues gauchistes bien sûr.

     

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  • #1644877
    Le 17 janvier 2017 à 16:18 par la porte
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    Je trouve ça assez lamentable en fait. Les gens qui viennent doivent surtout être des isolé sociaux qui on besoin de voir du monde et qui en profite pour rester dans leurs univers de junkies. Faudrait plutôt prendre ces drogué et leurs dire de venir dans la campagne pour faire un potager, ça les occuperait. Ils n’auraient plus accès à des drogues chimique.

     

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  • #1645353
    Le 17 janvier 2017 à 23:56 par Brindavoine
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    Acheter de la drogue n’est donc plus un délit ? Alors qu’en vendre est un délit ?! Or l’acheteur est évidemment COMPLICE du vendeur de drogue, il devrait être considéré lui aussi comme un délinquant : il partage le délit . C’est l’inverse en ce qui concerne la prostitution : là c’est le client de la prostituée qui est devenu un délinquant, alors que la pute est devenue une blanche colombe - alors qu’elle est COMPLICE du délit du client . Deux lois donc parfaitement BANCALES que n’importe quel législateur grec ou romain aurait évidemment retoqué, mais les voyous du parlement actuel sont les plus nuls, les plus exécrables "législateurs" de l’histoire de la justice française .

     

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  • #1646040
    Le 18 janvier 2017 à 23:16 par Nico 1er
    Paris : "La salle de shoot n’a absolument rien changé"

    À ce rythme là, bientôt une fumerie d’opium au ministère de la santé !

     

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