« Maintenant je déteste la France », nous dit ce clandestin africain, pourtant pris en charge par les militants humanitaires (puis par l’État), au détriment des centaines de SDF surnuméraires par rapport aux places d’accueil disponibles. Le plus étonnant, c’est que ce reportage émane de Taranis News, l’agence sorossienne qui était à l’origine du phénomène artificiel « Nuit debout »...