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S’estimant "malgenrée" par ses collègues, une transgenre obtient 60 000 dollars d’indemnisation

Les responsables de l’école Gresham-Barlow dans l’Oregon, aux États-Unis, viennent d’accorder une somme de 60 000 dollars à une enseignante transgenre en indemnisation de sa plainte pour « harcèlement » de la part de ses collègues qui « s’obstinaient » depuis plus d’un an à la désigner par des pronoms et des titres féminins. Coupables de l’avoir « malgenrée », les collaborateurs ont été rappelés à l’ordre par leur hiérarchie et menacés de sanctions, voire de licenciement en cas de récidive.

 

Non seulement « Leo » Soell, un professeur de CM2, a obtenu une forte somme, mais il est établi que l’enquête officielle des autorités éducatives de l’Oregon n’a même pas obtenu la preuve des faits. Elles n’ont pas publié le résultat de leur enquête mais confirment l’absence d’éléments à l’appui de ses accusations. Du fait de l’affaire, elles se sont en outre engagées à mettre en place des toilettes et des vestiaires « neutres » dans l’ensemble des établissements du district scolaire.

 

Aux États-Unis, le « non respect » d’une transgenre lui vaut une indemnisation de 60 000 dollars

Leo Soell se qualifie elle-même de « transmasculine » et de « genderqueer », ce qui signifie qu’elle ne se considère ni homme ni femme. Victime d’un cancer du sein en 2014, elle s’est fait amputer les deux seins pour avoir une apparence plus masculine, et elle a changé de prénom par la même occasion. Quelques mois plus tard, en mai 2015, elle a repris les cours en affichant pleinement son identité de genre « neutre ».

C’est à partir de là, selon la plaignante, que ses collègues ont commencé à la harceler en utilisant à son propos des termes « blessants », tels « Miss Soell », « Madame », « elle ». Elle reçut ordre, dit-elle, de répondre à toute question à propos de son sexe en indiquant qu’il s’agissait là d’une affaire privée qu’il ne convenait pas d’évoquer à l’école. Une de ses collègues – raconte-t-elle toujours – lui avait hurlé dans l’entrée de l’école que son choix était une offense à Dieu ; Soell accuse même les autres professeurs de s’être ligué pour utiliser les seules toilettes « neutres » de l’école pour qu’elle soit obligée d’attendre plus d’une demi-heure pour pouvoir y accéder. Un petit complexe de persécution, peut-être ?

Lire la suite de l’article sur reinformation.tv

Sur le modèle américain, le libéralisme s’accompagne de la judiciarisation, voir sur E&R :

 






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48 Commentaires

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  • La propagande gender amène les parents d’élèves à laisser leurs gosses dans les mains de gens hautement perturbés.
    Cette tolérance sociétale imposée a permis à des malades de croire que leurs troubles psychotiques étaient la normalité et les pousse logiquement à porter plainte contre des gens leur rappelant simplement la réalité.

     

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    • Vous rendez vous compte de la portée de votre message. Je suis moi meme transgenre, je travaille dans une équipe qui m’accepte en tant que femme alors que sur mes papiers je suis reconnu comme "homme". J’ai une attitude équilibrée et professionnelle tout autant que mes collègues, j’ai un look féminin neutre classique adapté comme mes autres collègues. Et pour avoir un métier à Bac+5, je pense que si j’étais une "malade" on ne m’aurait pas engagée. J’ai du me battre contre des discrimination, des gens qui m’apellait "monsieur" ou "il". C’est particulièrement blessant. Mais comme vous n’êtes pas dans cette situation, vous parlez sans savoir. Une chose est sure des discrimination j’en ai subi à l’école : coup, insultes, menace de mort. Un tel défoulement de haine car j’étais la fille manquée du lycée, timide dans son coin à qui on venait chercher des poux pour la traiter de travelo. Ces gens haineux ne sont ils pas eux des malades pour ce comporter ainsi ? Moi je ne revendique rien, juste le respect d’être considérée en tant que femme pour être épanouie sur mon lieu de travail. Et ma patronne est très contente que je sois une personne fiable et sérieuse. faite l’effort de vous ouvrir et de ne pas vous contentez des clichés racoleurs des médias autours des transgenres. Vous n’avez sans doute pas vécu dans votre enfance et adolescence le centième du manque de respect et de violence que j’ai subi. Il faut de la force et de l’abnégation pour persévérer et se faire accepter sur le marché de l’emploi. Dire "elle" à la place de "il" c’est un petit effort à fournir et qui pour moi est une marque de respect de ma féminité, une marque d’acceptation. Mon commentaire vous rapelle simplement une réalité que vous ignorez surement, comme beaucoup de contestataires ici.

       
    • @ "Coralie"

      Tu as un service trois pièces qui te pend entre les jambes et pas de vagin et tu voudrais qu’on t’appelle madame ? Tu as un sérieux problème psychologique. Va te faire soigner.

       
    • #1474320
      Le Mai 2016 à 08:02 par Yannick Aebischer (Le Suisse Apolitique)
      S’estimant "malgenrée" par ses collègues, une transgenre obtient 60 000 (...)

      @ Coralie

      Je ne vous veux aucun mal, et il ne me viendrait pas à l’idée de vous blesser volontairement. Comprenez toutefois qu’à l’instar de JeSuisLePen, nombreux seront les gens qui ressentiront une féroce hostilité face à votre choix ; vous reniez, en effet, tout votre être et persistez à ne pas accepter humblement la réalité biologique absolument incontestable qui est la vôtre, celle d’un homme.
      S’interroger sur une question telle que celle-ci me donne le vertige, en toute honnêteté...
      Face aux tourments qui nous habitent tous autant que nous sommes, le chemin le plus périlleux pour soi comme pour autrui demeurera toujours le déni de réalité ; vous, vous le pratiquez à un niveau tel qu’il vous semble impensable que l’on ne valide pas votre comportement !
      Le plus aberrant reste que les institutions politiques, à notre époque et pour des motifs que je commence péniblement à saisir (merci Egalité et Réconciliation, au passage !), se placent à votre service en assurant votre défense et en culpabilisant ceux qui se réclament de l’ordre naturel...
      Réalisez-vous ne serait-ce qu’en partie à quel projet global vous contribuez ? Il me tarde sincèrement de connaître votre réponse.
      En vous souhaitant le meilleur.

       
    • Je suis moi même ornithorynque, je travaille dans une équipe qui m’accepte en tant qu’ornithorynque alors que sur mes papiers je suis reconnu comme homme. J’ai une attitude équilibrée et professionnelle et un look ornithorynque neutre, classique mais sans ambages. J’ai dû me battre contre des discriminations, des gens qui m’appelaient "Monsieur" au lieu de "Nono l’Ornithorynque".C’est blessant. A l’école, j’ai subi coups, insultes, hallali et braconnage.
      Tout ce que je revendique est le respect et l’acceptation de ma condition d’ornithorynque, ainsi qu’un petit marais pour faire mes besoins.
      J’espère que mon témoignage vous ouvrira l’esprit .
      Paix à tous.

       
    • Mais tu es un homme !!!! C’est comme ça !!! Même si toi tu ne l’accepte pas, c’est comme ça, tu n’y peut rien, c’est biologique. Un chat qui se prendrait pour un chien, resterait un chat, mais il aurait un trouble mental.

      Le message de "thihen42" est donc très lucide, et ton commentaire en est la preuve : tu casses les couilles de gens avec tes troubles mentaux. C’est ton problèmes, pas celui des autres, alors arrêtes, et arrêtez de nous les briser avec des problèmes qui ne nous concernes pas, chacun ses problèmes.

       
    • Hahaha, pardonne leur @Coralie. Il ne savent pas ce qu’ils font. Les lynchages ça me débecte un peu, même si j’arrive à comprendre l’incompréhension d’autrui face à ton cas (ne prends pas ce mot au sens médical...). À partir du moment où tu ne revendiques rien (mais RIEN vraiment !) de plus que quiconque, et que ça t’aide à vivre ça me va. Mais je ne peux pas supporter les associations (groupes de pression pour être exact...) LGBT, au service de Kapital, et qui veulent institutionnaliser ce qui devrait rester du domaine du privé. Comme la religion d’ailleurs... Ce genre de plaintes (et surtout la réponse favorable d’un tribunal) sont à gerber. Tout le monde subit toute la vie des brimades ou des moqueries ! Des toilettes "neutres" (wtf ?) et après c’est quoi la suite ?

       
    • Coralie, tu peux penser ce que tu veux, nous aussi. On a parfaitement le droit de ne pas vouloir croire que tu es devenu une femme juste parce que tu t’es mis quelques prothèses et que tu t’es fait mutiler. Comme on peut très bien se forcer à imaginer que t’es réellement devenu une madame, et accepter de jouer cette farce. Mais ne nous impose pas ta façon de voir les choses en venant pleurnicher sur tes misères de mec qui ne s’assume pas.

       
  • "Bonjour machin !!!" c’est autorisé, ou c’est 60 000 balles ???

     

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  • On ne devrait pas laisser de pareils malades mentaux enseigner à des enfants. Sa place est plutôt en hôpital psychiatrique.

     

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  • Et moi je suis Napoléon.
    Je touche 60k si les gens refusent de s’adresser à moi par mon titre d’empereur ?

     

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  • Sinon, elle a une bite ? Parce qu’il ne m’a pas l’air d’avoir beaucoup de nichon.
    Tout ça me semble plus proche de l’escargot que de l’être humain .
    Moi je comprend plus rien.

     

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  • Une precision importante qui ne figure pas dans les articles en francais : ce parasite s’est vu offrir une telle somme car ses collegues refusaient de s’adresser a lui/elle en utilisant le pronom "they" et s’obstinaient, les fascistes, a utiliser "he" or "she" ce qui constitue une "microagression". Et oui les "trans" veulent que "they" soit utilise comme pronom neutre pour eux.... je vous laisse vous rendre compte de l’etendue du desastre...

    A propos du concept de microagression, ce concept se developpe tres rapidement aux USA et est pris TRES au serieux : comme ce cas ou un prof dans une universite a ose corrige les fautes d’orthographe d’un etudiant noir et s’est vu d’etre accuse de raciste. Ce cas flagrant de microagression prouve bien sur a quel point ce prof est un dangereux fasciste.

     

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  • Et après ils vont se plaindre de ne pas etre intégré par la société , ils vous attaquent vous imposent qu ils pourraient aux US aller librement dans les toilettes du sexe qu ils se sentent et non le sexe de naissance mais celui q u ils veulent !!! ils sont ultra intolérant et ont toujours le meme refrain comme homo ou autre c est d etre agressif et de se victimiser

     

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  • #1474358

    Ça ressemble à quoi des vestiaires "neutre" ?

     

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  • Selon l’engin utilisé pour vidanger, on place cette chose (à part homme et femme, je vois pas, pour désigner un humain) dans les toilettes correspondants, c’est tout.

     

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  • Comment peut-on être ni homme ni femme ? Quand "ça" va aux toilettes, "ça" s’assied ou "ça" pisse debout ? Cette personne a forcément un pénis ou un vagin, à moins qu’elle ait les deux mais dans ce cas je ne désire pas connaitre les détails...

     

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