2012 : l’année de l’effondrement économique global ?
1er juillet 2012 16:16, par lelibreparleur
Surtout il prend les textes comme une base de travail pour en retirer la "nor" comme il dit, (lumière). Il laisse un sens métaphorique aux textes, en retirant au fond, le substratum moral, au lieu de les défendre comme un fanatique soumis qui ne comprend pas le message mais pourtant le défend bec et ongles par passion de la soumission (comme il l’explique avec diplomatie (...) en parlant des salafistes).
La lumière de l’occident resplendit dans cette seule phrase qu’il prononce : "je peux me tromper". Et ma foi, ça fait tout bizarre d’entendre ça dans la bouche d’un musulman, d’habitude si pétrit de certitudes conquérantes refusant tout débat.