Les mauvais perdants de la crise syrienne
2 novembre 2012 13:26, par valdo
je suis fasciné par la politique de l’ombre (l’armée de l’ombre ?)
ces enjeux fondamentaux qui se définissent et que se disputent les VRAIS acteurs de la politique contemporaine (ex : "Puis, Paris a sacrifié le général Wissam el-Hassan, qui non seulement était devenu inutile en cas de paix en Syrie, mais dangereux tant il savait de choses. Ainsi la rumeur française s’est réalisée : le premier sur la liste des cibles est mort, et une personnalité pro-syrienne a été arrêtée en préparant un attentat contre une autre cible de la liste."), c’est sidérant !
á coté, james bond, c’est de la gnognote...
valdo le communiste