La révolution du salaire à vie
8 janvier 2013 04:47, par Frédérick
Le collectivisme forcené me glace le sang !
L’État doit être le nexus des citoyens et non une mère surprotectrice et oppressive.
Ce système nécessite au bout du compte une abrogation totale de la propriété privée ce qui revient au même qu’une privatisation absolue : le citoyen est à la fin sous la totale tutelle d’une entité surpuissante.
Ce qu’il faut développer, c’est au contraire des moyens de subsistance qui échappe en partie au dictat de la valeur commerciale et monétaire. C’est-à-dire promouvoir l’indépendance du citoyen et de sa communauté.
Échappons surtout à la mentalité du salariat au lieu de nous y vautrer.
Petite correction du discours de ce monsieur : "L’investisseur ne fait rien." C’est bien évidemment faux et on le sait tous ! Un investisseur prend un risque sur son capital.
Alors on peut dire que certains trichent ou même que les règles sont truquées ou juste défavorables, mais là c’est un autre débat : c’est le rapport de force entre le "riche" et le "pauvre".
Une communauté humaine se doit de protéger ses membres les plus vulnérables, on est tous d’accord là dessus mais c’est parfaitement injuste d’empêcher la prospérité individuelle !