Grégory Chelly, provocateur attardé
24 février 2013 21:25, par Le beaufSa vacuité intellectuelle témoigne du fait de trop ou pas assez de torgnoles durant sa jeunesse. Et "ça", on peut être sûr que "ça" vote et que "ça" a des gosses (ou en aura un jour). Par ailleurs, ce genre de débiles aurait été émasculé dans le Tibet des années 80-90 par l’autorité chinoise.
Quant au fait de se revendiquer du judaïsme, c’est le pompon ! C’est précisément ce genre de trous de balle invectifs et onanistes à travers l’histoire moderne ; lorsqu’ils acquièrent une certaine notoriété ; qui causent du tord à la congrégation et ses fidèles via l’émulation sociétale entretenant l’indigence culturelle généralisée en plus de la bêtise insufflée par nos maîtres, au demeurant. Ces énergumènes s’étonnent ensuite d’être victimes des pogroms des masses réactionnaires, ou pire... et pleurent comme des enfants en appelant leurs mères, car le courage et l’amour-propre sont des valeurs qui bien-sur ne sont pas de leur apanage.
On croit rêver. Même Dieudonné n’aurait pas pensé à pondre cela en sketch tellement c’est indécent. Voicì un aperçu de la prochaine cuvée des futures BHL, et écervelés par dessus le marché, à l’instar de leurs pairs. Comment résoudre cela en bonne intelligence ? La bonne intelligence a peut-être ses limites avec ces specimens. Mettons cela sur le compte de sa jeunesse, c’est préférable.
A-t-on au moins le droit de dénommer cela "judéo-racaille" Mr Valls, étant donné que l’on nous bombarde la psyché avec des présupposées "islamo-cailleras" voleurs de pains au chocolat et terroristes à la sauvette ? Qui est antisémite ?
Le bon peuple de France est bien en mesure de s’auto-conférer trois vertus immanentes à la vue de ce genre d’imbécile, c’est bel et bien la patience, le pardon et l’oubli.
Donc pardonnons-le car il ne sait pas ce qu’il fait, mais une bonne "sberle" ne lui ferait quand même pas de mal.
Le seul point positif est que c’est du pain béni pour le travail socio-anthropologique de notre ami Soral, qui a du halluciner à la suite de ces coups de fils grotesques.