@jojo
j’ai longtemps mordu ,moi-aussi à l’hameçon du verbiage gaulliste (@fethi ,moi aussi dorénavant gaulle et gaullisme s’écriront avec des minuscules). La fable de "la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf" ,finalement , s’est rappelée à mon souvenir grâce à D.Venner. Et çà a été salutaire.
Vois-tu , jojo, gaulle n’a eu que son discours pour exister ,derrière aucune vertu.
Vertu = force.
Où a été sa force ,puisqu’elle a été toute d’emprunt (appuyée par le yankee et haineusement soutenue par "Sarah marmelade" : Mers-el-Kebir) ?
Où a été sa magnanimité envers le vaincu (de surcroît Français : Pétain, Dentz,Pucheu et tous les autres) ?
Où a été la gratitude envers ceux qui l’avaient fait roi : je dis l’armée (Salan, Jouhaud, Challe, Zeller)- je dis les pieds noirs-je dis les harkis ?
Où a été le respect dû à son peuple qu’il s’est abaissé à le qualifier de "veaux" ? A telle enseigne que ce crachat nous est généreusement dispensé depuis lui, par notre élite (et tout les anti-France quelqu’ils soient) reconnaissante dés que les affaires tournent à l’aigre.
Où est sa grandeur dans l’adversité quand il confie à Pompidou avant 58 qu’il préfère nous voir "crever" puisqu’on lui refuse le pouvoir ? (va voir les mémoires de Pompidou ;et ne vient pas me parler de complot !)
Alors ,oui, parce que je ne veux pas crever sur ce radeau de la méduse je te redis ceci :
La libération doit-être dorénavant appelée Invasion des anglosaxons aidés par les collaborants gaullistes et l’épuration doit être appelée dorénavant seconde Terreur.
Quant à 68 c’est son œuvre , à lui seul. Dix ans de pouvoirs à choyer ses pires ennemis en les enquillant dans : l’armée, la presse, l’éducation nationale, l’économie. Comment voulais-tu que cela finisse autrement ! Quand l’américain en a eu assez de ses palinodies , il s’est appuyé sur les créatures qu’il avait si fraternellement choyées dans son cœur. Et là malheureusement pour lui , plus de Paras comme bouclier. Seulement la tribu de Juda et ses collabos de la bourgeoisie de souche pour tirer la chasse.
Je le dis sans haine, mais je le dis car je veux vivre Français .C’est hétérodoxe, tant pis.
Pour moi et pour les miens (ma famille de sang ou de fraternité)