Trafic de bébés bulgares démantelé en Grèce
26 septembre 2014 12:07, par tur
Une ’mère’ vient vendre son enfant délibérément...Il faut donner à ça tout le poids que ça mérite. Après son cul une femme vend son gosse. On est au niveau zéro d’échanges, afin de se procurer de quoi survivre. Pour l’instant la collectivité sanctionne ces manières de ’gagner sa vie’. Pour combien de temps encore ? Qu’est-ce qui tire avec tant de violence les femmes vers le bas, pour qu’elles en arrivent à ce niveau d’indignité ? On finit par ’vivre’ plongé dans un bain d’ignominies de plus en plus dense, de plus en plus opaque et nauséabond. Avec de moins en moins de libertés pour apporter un remède à ces turpitudes. Le tissus social naturel désagrégé, déchiré, anéantit, sous les attaques constantes des forces de délitement et de dislocation à l’œuvre depuis les sommets. Aujourd’hui, les hommes se vendent entre eux, les uns aux autres, marchandises trafiquées. Et la première a se vendre, a être vendue, comme toujours, c’est la femme. C’est, peut être, parce qu’elle s’est imaginée pouvoir se passer de la protection de l’homme...C’est en tous cas ce que les forces de délitement ont fini par lui faire croire. Avec, entre autres dégradations, ce genre de résultat.