J’ai commenté à deux reprises, mais je viens seulement d’écouter l’extrait vidéo.
Je pleure de tant d(e bassesse.
Je ne comprends pas que Benoît Le Corre n’ait pas directement raccroché.
Je n’avais pas compris que le type était sadique et s’était vanté (il est la source du message audio diffusé, on l’entend s’éclaircir la gorge avant le début de la communication).
C’est pas normal, c’est pas possible.
Si rien ne se passe de public et d’officiel après ça, je bascule tranquillement du "commentateur frivole" à "soutien actif" : l’ultime preuve dont j’aurai eu besoin (lent à la comprenette).
Je suis sous le coup de l’émotion, oui. Mais je suis très sérieux en même temps. Demain, et une nuit de sommeil, n’auront pas effacé ça, c’est une certitude.
A un moment donné, une petite réaction concrète s’impose, selon les moyens offerts.
Sans haine, sans colère, mais avec une grande détermination, au nom de ce que nous, Français, pourrions être.