Love, ou la vie débridée de la jeunesse métropolitaine
18 août 2015 05:25, par Zobbo
Rien de bien nouveau, ce comportement nihiliste et auto destructeur, subversif ou à minima novateur de la part d’enfants gâtés a commencé il y a 30 ans au moins, comme en ont déjà témoigné Brett Easton Ellis en 85 avec "Less Than Zero" ou Lolita Pille il y a 15 ans.
Que veut donc nous dire Gaspard Noé avec "Love" ?
Que cette débauche se démocratise, que ce comportement est destiné à devenir la nouvelle norme sexuelle ?