Alexandre Loukachenko, "dernier dictateur d’Europe" ou homme de paix ?
23 octobre 2015 09:30, par Michel l’ivrogneLe bon sens serait un collectivisme soft bien compris, un panachage Marx / Proudhon, une part d’individualisme est utile à la collectivité.
Le capitalisme actuel, est en phase pourrissement, sauf pour les 1%, non pas tant parce qu’il devient de plus en plus féroce (Le labo du libéralisme c’est le Chili de Pinochet) ceci explique cela.
Mais il faut surmonter dans un climat far-west, deux grandes limites, la limite écologique (la terre poubelle) et la diminution de survaleur.
Les gains de productivité accru, diminuent la valeur GLOBALE, ce qui oblige le capitalisme d’irrévocablement détruire le tissus social, pour recréer des niches ici ou là.
Les effets sont identiques en Chine également, comme tout pays capitaliste elle doit aller vers the market, pour continuer et ne pas sombrer.
Pour le China way on life, c’est terminé, cela est survenu très rapidement après seulement 9 ans de croissance, pour un pays de plus d’ 1 milliard d’h.
Il ne faut jamais oublier, que l’URSS n’était pas à proprement parler un pays communiste, puisque le communisme c’est abolition de l’état et de l’argent et des classes sociales.
Mais un capitalisme d’état, les moyen de production entre les mains d’apparatchiks.
C’est pourquoi la chute du mur c’est la chute d’un système capitaliste, d’ailleurs la crise n’a pas manquée de surgir à l’ouest.
Un système à la Bélaruss, peut éviter bien des catastrophes qui planent au dessus de nos petites têtes.