Emploi : le prix du "miracle" espagnol
9 septembre 2016 15:18, par Michael B.
Qu’il faille réduire le confort au travail pour permettre une hausse de l’emploi me paraît logique et naturel.
Je pense qu’on pouvait exiger de bonnes conditions de travail et une retraite confortable dans les années 70, quand tout allait bien, mais en ce qui me concerne (né dans les années 90) je ne m’attends ni à travailler confortablement, ni à toucher une retraite.
Je pense qu’il faut accepter les changements de paradigmes : on va vers une situation où le gouvernement aura de moins en moins les moyens de tout payer à tout le monde (et à plus forte raison si on importe en masse des branle-culs étrangers). Personnellement je préconise plutôt la (re)mise en place de communautés (familiales, villageoises, régionales, nationales) capables d’être autonomes à long terme.