Emploi : le prix du "miracle" espagnol
10 septembre 2016 00:58, par Alien
L’Espagne restera le parent pauvre de l’Europe, ainsi l’avait décidé l’oligarchie mondialiste en 1936, quand tous les pouvoirs se sont coalisés contre la jeune république. Les USA, nazis, fascistes italiens, Léon Blum et l’empire british se sont mis d’accord pour faire un champ d’expériences d’avant-guerre, autant politique que militaire.
Ainsi les nazis ont pu tester leurs fameux Stukas et bombardiers contre la population (chose encore inédite), en faisant escale de ravitaillement à Brest (sic !) autorisée par le sioniste Blum au pouvoir.
Depuis lors rien n’a changé. Dépouillée de la plus grande réserve d’or au monde, au profit des soviétiques et de Staline, l’Espagne est restée un pays arriéré pendant 40 ans pour en faire une expérience sociale de ce que peut être une dictature militaire sur le sol européen.
Si l’Europe a été libérée du fascisme, on lui a laissé sa chasse gardée en Espagne.
Quoi d’étonnant que le pays ne produise que des services low cost ? L’esclavage est le sort qu’on a réservé à ce pays voici 80 ans, au grand bénéfice du reste de l’Europe : vacances pas cher, main d’oeuvre au prix chinois et système politique pourri pour éprouver le libéralisme jusqu’à l’extrême.
Merci l’Europe !