Comment le viol est devenu un rituel dans les fraternités étudiantes (américaines)
11 septembre 2016 14:35, par PMJLLEn quelques mots le fond de l’histoire vraie :
au moment des faits le gamin avait 19 ans. C’était un nageur de très haut niveau qui à force d’efforts, avait reçu une bourse pour aller à Stanford, l’une des toutes premières universités US, et la meilleure sur plusieurs programmes.
Quand on connaît la natation de compétition, on sait ce que ça implique : lever quotidien à 5h du matin pour le premier entrainement de la journée de 6h30 à 8h, avec 6 km dans l’eau à 80 % de la vitesse maxi. Petit déj. Puis cours d’université, repas, cours et travaux scolaires. Puis deuxième entrainement : 6 km dans l’eau plus vite que le matin. Repas, coucher épuisé.
A 19 ans la très grosse majorité des nageurs (ses) sont sexuellement vierges. Il n’y a pas de place pour la "bagatelle" dans leur vie et leurs budgets « temps et énergie ».
Il y a très peu de chances pour que Brock Turner ait fait exception à cette règle.
Il a voulu prouver très maladroitement qu’il était un vrai « homme ».
La fille plus âgée, déjà diplômée de l’Université, alcoolique pocharde (reconnue et de ses propres aveux), courant de parties en parties (elle l’a avoué), pas du tout sportive, a jeté son dévolu sur le nouveau blanc-bec apparu dans son paysage d’aventurière. Et quel magnifique garçon ! Très peu comme lui courent à Stanford, pourtant une très grosse université.
Au cours de la soirée fatidique, il a été reconnu qu’elle l’a "allumé". Plus tard, alors qu’elle s’était mise dans un état d’ébriété totale, elle est allée au dehors et s’est faite suivre du pauvre naïf blanc-bec qui a gobé l’hameçon. On connaît la suite. Il n’a même pas voulu ou su ou osé la pénétrer. Il a juste tripoté (heavy petting). Mais aux USA, tout est réputé viol.
Sa lettre expliquant ses sensations de « violée » est un monument d’hypocrisie féministe. Elle dénote une perversité de calibre exceptionnel et un niveau universitaire élevé par sa maitrise de la rédaction.
Le juge savait tout ça.