Ca veut parler de littérature française mais l’auteur cite uniquement Céline (trois fois) et Houellebecq (une fois).
Il existe une littérature française d’avant-guerre hein... Non mais vous n’évoquez ni Stendhal, ni Flaubert qui sont clairement au dessus de 98% des écrivains ayant traversé l’histoire.
En outre, faire l’éloge de Céline c’est bien (quoi qu’il est objectivement indigeste mais on n’a pas le droit de le dire), oublier de parler de Giono qui écrivait dix fois mieux que lui - et avant lui - dans un style assez proche (le parlé des gens du peuple) et qui lui a laissé de vrais chef-d’oeuvres, c’est impardonnable.
La littérature ne s’arrête pas à l’idée de nation. Pendant que vous parlez de Céline pour la énième fois, comme s’il n’y avait que lui, qui évoque Tolstoï ? Et Malaparte ? Et Hesse ? Et Dosto ? Gontcharov ?
Sinon, la littérature americaine c’est aussi (et surtout) Dos Passos, Selby, Ginsberg, McCarty, Fitzgerald, Melville, James...
Mais pas Bukowsky.