Autriche : l’élection présidentielle de nouveau reportée ?
11 septembre 2016 18:42, par listenerLa république autrichienne, émanation des loges maçonniques françaises et constamment présidée par des zozos, avant et d’après guerre, est une spécialiste des trucages électoraux. Benoit-Mechin expose très bien ("Histoire de l’Armée Allemande") ce qui a justifié cet Anschluss précipité car derrière cette affaire il y a la question du pangermanisme qui faisait peur a beaucoup de monde. Ce crétin de Schuschnigg voulait imposer un référendum totalement truqué (élimination des jeunes électeurs, notamment, car favorable à la Grande Allemagne, bulletins "non" à aller chercher à la caserne de gendarmerie). Hitler a rétabli l’honnêteté du scrutin. Réponse : un plébiscite écrasant en faveur de l’Anschluss.
"Hitler pénètre en Autriche peu avant seize heures à Braunau, son village natal. En raison de la foule amassée sur son passage, il n’arrive à Linz que vers dix-neuf heures trente, où il reçoit un accueil enthousiaste ; lorsqu’il y prend la parole d’un balcon de l’hôtel de ville, il est acclamé par 60 à 80 000 personnes. L’occupation systématique de la totalité du territoire autrichien se poursuit méthodiquement : à Salzbourg, les troupes de montagne allemandes découvrent une ville pavoisée de drapeaux nazis et à son arrivée à Vienne, vers minuit, Guderian reçoit un accueil enthousiaste. S’il n’était pas prévu, à l’origine, d’envoyer des troupes en Styrie et en Carinthie, Hitler modifie ses plans au vu de l’accueil réservé aux soldats allemands par la population autrichienne : dans la journée du 13 mars, les hommes du 2e régiment de parachutistes atterrissent à Graz ; dans ces deux provinces, les unités sont à nouveau « bombardées de fleurs, même dans les hameaux slovènes à la frontière avec la Yougoslavie ». Dans la soirée du 14 mars, toute l’Autriche est occupée".
Un invasion, un "bombardement de fleurs", et pas une goutte de sang versée. On en connait pas beaucoup, des "invasions barbares" comme cela. Les américains ont bien bombardé l’Autriche après, mais pas avec des fleurs.