les « miracles » de Notre Seigneur se transforment en « actes de puissance » – pour éviter, assure Theobald, la « projection anachronique » de ce que nous entendons par « miracles » au temps de Jésus.
Pour comprendre ce que ça veut bien vouloir dire, l’athée perplexe que je suis se demande s’il n’aurait pas besoin d’un miracle.