Deux milliards de dollars : ce que coûte l’éclatement d’un seul fût de déchets nucléaires
1er octobre 2016 02:08, par CorsoDes solutions alternatives existent, le nucléaire n’est pas une fatalité.
La fusion bore-hydrogène. Couplée au principe de la Z-Machine, pour maintenir le milliard° Kelvin nécessaire, que la fusion opère. Fusion "aneutronique" produisant peu de neutrons, relativement à d’autres fusions (par ex le principe d’ITER qui est une ineptie). La Z-Machine ou équivalent permet d’atteindre plusieurs milliards°K (record officiel proche de 4 milliards). Les tokamaks en mode fusion permanente via impulsions régulières, durant d’extrêmement courts laps de temps (J-P Petit a consacré des papiers là-dessus).
La géothermie. En France le gradient géothermal moyen est de l’ordre de 3,3°C tous les 100 m, à grosso modo 3000 m de profondeur les 100°C sont atteints. Et des sols sont plus favorables que d’autres. Le cycle des turbines se répète sans fin grâce à la gravité et l’état de l’élément (100% renouvelable) qu’il soit liquide ou vapeur par périodes. Alors oui ça coûte cher de creuser à 3 km ou plus, descendre et installer tout le matos etc. Combien de centrales géothermiques pour le coût d’une seule centrale nucléaire (l’entretien, celui des déchets, stockage, ...) ?
ça fonctionne toute l’année 24/24 et sur tout le territoire. Pas besoin de soleil ni de vent. Ni bruit ni pollution visuelle, même pas la vapeur d’eau, qui reste en profondeur. De plus, toute proportion gardée, il n’y a pas vraiment de limites quant à la taille des turbines, et donc de l’énergie fournie. En comparaison la taille des instruments du LHC, même si l’accélérateur est bien moins profond j’en conviens. En se basant sur le coût d’une centrale nucléaire, les conséquences, sur la balance, la géothermie devrait l’emporter haut la main. Mais comment Areva&co pourrait générer des bénéfices avec de l’eau recyclable à l’infini ?
S’agissant de technologies dites "atypiques" comme a pu en produire Tesla parmi d’autres, il y a là aussi des solutions, des perles inavouables. Gary Vesperman, membre du New Energy Congress, chiffre à près de 4000 le nombre d’inventions censurées par le Bureau US des brevets qui examine les dépôts en regard de la sécurité nationale. Il y a rétention dès lors que cela concerne des inventions pouvant menacer les monopoles des énergies fossiles ou nucléaires. Quand un inventeur voit son brevet classifié, il risque 20 ans de prison s’il continue de travailler sur son projet ou tente de l’exploiter (par ex la persécution du gouvernement canadien contre John Hutchison).