La Seconde Guerre mondiale a eu pour objectif de redistribuer entre quelques nations, par le redécoupage et le partage des frontières, les richesses de la planète.
Le procès de Nuremberg n’a fait que juger les exécutants de la guerre, mais pas les commanditaires. Commanditaires banquiers qui, depuis le 16e siècle, façonnent aussi bien les guerres et les révolutions que les conférences de paix.
Il faut comprendre que ces banquiers « arbitrent » aussi les lois et la justice, tout en entretenant la confusion dans les interprétations à donner ultérieurement par voie médiatique.
La victimisation médiatisée du procès de Nuremberg par le fameux « crime contre l’humanité » a été l’un des éléments clefs à la mise en place des accords de la déclaration de Balfour (1917-1947), ainsi qu’un prétexte pour rançonner des populations européennes qui n’avaient aucun rapport avec les souffrances endurées par les juifs dans les camps.
Ce sont les mêmes commanditaires d’ailleurs qui, après avoir financé, et armé l’ultranationalisme, Slobodan Milošević dans les années 90 organiseront son procès à La Haye en 2007 après son génocide dans les Balkans.