Les collèges parisiens, champions de la ségrégation sociale
10 octobre 2016 14:03, par Sedetiam
"Sauf qu’à partir du moment où ils bénéficient d’un financement public massif, il est normal que ces établissements soient soumis à des règles communes, pour les programmes bien sûr (c’est le cas depuis longtemps), mais aussi pour les règles d’affectation des élèves, comme cela se passe déjà dans de nombreux pays européens."
En parlant de règle...
Si tant est que l’État retrouve son autorité, qu’il la distille dans l’organigramme pyramidal et que sa règle en soit comprise jusque sur le bout des doigts de quelques cancres soutenus par autant de parents indélicats à faire aussi rentrer dans le rang, alors cette mixité sociale serait bienvenue puisque nous aurions retrouvé notre instituteur vénéré du temps de Pagnol.
Pour l’heure, tant que ne sont enseignés la resquille, l’insulte, le genre et le je-m’en-foutisme, j’ai beau chercher quelques arabesques sémantiques et autres formules aux accents poétiques, je n’en trouve qu’une qui ne soit élimée aux entournure : crève !