En fait, ils (les médias) ne comprennent pas pourquoi, malgré leur propagande russophobe unanime, délirante et hystérique, des gens peuvent ne pas les croire.
Et du coup, ils trouvent des réponses :
un classique, mais ça marche à tous les coups (inversion accusatoire typique de l’esprit occidental), je cite, "la peur", ici du "déclin national". Pourquoi pas, ça mange pas de pain, bien essayé !
ou alors, mais celle-là elle est pas mal et l’inversion accusatoire carabinée, je cite toujours, ce sont les services de "renseignements russes (...) qui ont infiltré en France les sphères politiques et culturelles". Il fallait oser quand même, surtout quand l’on sait que ce sont les renseignements états-uniens qui alimentent les rédactions de presse française et les poussent justement à la russophobie.
Bref, ça pourrait s’appeler "Regarde le journalisme tomber" : pas de remise en question, inversion accusatoire permanente, interprétation délirante (les faits, à la poubelle)...