Le gouvernement "regrette" d’avoir utilisé l’expression "de race noire" pour une alerte enlèvement
20 octobre 2016 10:00, par sebastien
J’ai le souvenir lors d’une soirée dans le 94 ou des noirs représentaient la moitié de l’assemblée et ou le sujet sur la dénomination de leur couleur fut aborder : résultat à l’unanimité pour les appeler "Noir" : personne ne fut choquée et la soirée fut sympa.Donc ce problème de dénomination ne concerne que les blancs "bien pensants" qui se masturbe le cerveau sur comment appréhender l’homme différent.En gros ce n’est pas très franc du collier et cela réduit finalement le rapport à l’autre. Autre exemple ,dans mon village ( dans le Comminges) il y a un marocain d’une cinquantaine d’année qui participe à la vie sociale du village,son voisin l’appelle couscous et ce dernier lui répond en l’appelant cassoulet:sobriquets adoptés par tout le village , tout le monde se marre et s’entraide sans aucune animosité ni pensée scabreuse. Devons nous tous passer à la 17eme chambre ou subir un rappel à la loi ?