La girouette Juppé sur l’immigration : en 1990 il était pour la préférence nationale
3 novembre 2016 19:40, par Mojo Risin
Que ce genre de personnage n’ait aucune conviction personnelle n’est pas surprenant. Mais qu’il se fasse coincer dans les cordes sans réaction l’est plus. N’importe quel conseiller général de province s’en serait sorti sans problème en argumentant avec n’importe quoi. Et là : "Vous avez marqué un point... Super..." Avec pépère aux commandes, les prochaines négociations cruciales pour l’avenir de la France, je les sens pas.