Une école sans note, sans programme, sans leçon, peut-elle réussir ?
6 novembre 2016 16:13, par marrante
Les théories farfelues ont naturellement le vent en poupe puisqu’elles désorientent les usagers dans la joie et allégresse.
Ceux qui les pondent ont la mémoire sélective, monopolisée comme il se doit par l’oubli interdit, ils omettent de se souvenir que l’ado -celui qu’ils furent comme les autres- s’éparpille, que seule la crainte des conséquences de ses actes le sort de ses distractions pour le guider vers la concentration, la rigueur et l’effort.
Le plaisir ou la satisfaction (ou les deux) que procure le travail et sa réalisation aboutie, sont les écumes d’une marée envahissante de culpabilité qui pousse à la tâche. De mémoire c’est comme cela ou à peu près que le vivait l’individu déjà fondé à de venir un être social (et donc fondu dans le moule) que j’étais il y a déjà pas mal de temps de cela. En France.