Une école sans note, sans programme, sans leçon, peut-elle réussir ?
6 novembre 2016 23:36, par H.M.
A titre personnel, je pense que Summerhill, rendu célèbre par le bouquin "Libres enfants de Summerhill", c’était de la merde.
L’absence de contraintes, tout ça, des idées tellement "séduisantes" que c’est ce qu’appliquent tous les pays en tête des études pisa depuis quelques années : en gros, les pays d’Asie du sud-est. La preuve que ça marche. Hein ?
Oui, je sais, c’est pas vrai. Ils font exactement l’inverse : horaires et contraintes infernaux. Nos gamins occidentaux en seraient absolument incapables. Alors je ne prétendrai pas que c’est la solution. Mais enfin, le niveau d’exigence n’arrête pas de baisser chez nous depuis 20 ans au moins, et les élèves continuent à se plaindre de "la pression", du "trop de travail", etc. On est aujourd’hui 25ème au classement. Pas sûr que le genre d’école décrit ci-dessus soit la solution. Je pense que c’est le genre d’établissement destiné à être heureux jusqu’au moment où il faudra rentrer dans le monde du travail. Et là... Mais je me trompe peut-être.