François Fillon en 2007 à Philippe de Villiers : "C’est eux – Bilderberg – qui nous gouvernent"
25 novembre 2016 00:20, par jjsuisseJe vois des commentaires sur le libéralisme, ultralibéralisme etc en opposition avec le marxisme. Toujours le même combat travail / capital... Mais c’est un faux combat.
La France a besoin de retrouver son indépendance pour reprendre le rôle qui est le sien. Bien.
Pour cela il faut de l’indépendance politique / géopolitique dans un monde multipolaire qu’elle doit incarner, avec la Russie, la Chine et d’autres pays émergents.
Pour cela il lui faut rapprocher capital/travail qui sont les deux faces de la même pièce pour atteindre son indépendance financière en tant qu’État.
L’indépendance financière permet de réconcilier le peuple avec l’Etat, forme de réconciliation nationale, au dessus de la mêlée dans laquelle le faux capital (l’oligarchie) et le mensonge de la gouvernance mondiale nous enferme (mondialisme... à ne pas confondre avec mondialisation, rapprochement entres les peuples libres, internet etc...).
La France n’a jamais été aussi faible dans son histoire (relisez Bainville) que lorsqu’elle est soumise à la dissension interne, par manque de moyen financier pour protéger son peuple, ce qui revient systématiquement à l’ouvrir au "parti de l’étranger" et à la manipulation extérieur.
La France veut redevenir un vraie nation ? Et bien qu’elle s’en donne les moyens !
Et ce n’est pas toujours plus de fausse dépense publique, faite de véritables détournements de fond, organisés par la république vendue à tous les vents de l’étranger, évaporée dans une Europe technocratique qui nous aliène. Je ne vois pas en quoi plus de dépense publique nous aiderait à nous rendre notre indépendance financière. donc notre liberté. Au contraire.
Le libéralisme, le vrai, ne confond pas l’intérêt national avec l’intérêt de l’oligarchie.
Le libéralisme, le vrai, est national, contre les forces de l’étranger pour protéger le peuple.
Le libéralisme n’est rien d’autre que le capital entrepreneurial et la capacité à créer de l’emploi, pour sortir de l’aliénation du consommateur non producteur. l’État n’a pas vocation à sur-aliéner le peuple en l’enfermant dans encore plus de dépendance.
Au contraire, lui rendre sa liberté par son indépendance financière.
Nous sommes loin de l’opposition stérile et purement intellectuelle entre capital et travail, alors qu’en pratique et en bon sens, dans le sens du bien commun, c’est le même combat. Un combat national, le combat d’un pays pour échapper à son destin.
On peut être patriote et libéral, et monarchiste en même temps (car social) !