De la destruction du père – Conférence de Damien Viguier à Lille
3 décembre 2016 02:38, par AlexLe modèle Père Mère Enfant nous vient directement de l’exemple de la Sainte Famille (Joseph, Marie, Jésus). Ce n’est pas un hasard si le libre consentement des époux a été instauré dans la société par l’influence de l’Eglise. C’était précisément pour éviter les mariage arrangés et luter contre l’inceste. Chose qui, selon Maitre Viguier, va a " l’encontre du modèle traditionnel ".
A moins d’avoir mal compris, Adam ne serait pas notre ancêtre commun sinon on aurait tous le même nom... Ah bon ? parce qu’on ne peut pas imaginer qu’après que l’espèce humaine se soit démultiplié les familles aient eu envie de se donner des noms de famille ? On ne peut pas imaginer qu’a un moment donné une personne change de nom de famille ? Une foule d’hypothèses peuvent expliquer cette "contradiction".
J’ai définitivement lâché l’affaire lors du passage sur la théorie de l’évolufion et de la bipédie qui " a pris des millions d’année " (sic). Je me permet de placer ici un argument anti-évolution (parmis des millions) : a la vitesse où l’humanité se reproduit, si l’homme existait depuis X millions d’année l’espèce humaine aurait surchargé la terre depuis longtemps.
Or, en étudiant la vitesse à la quelle l’homme se reproduit actuellement, et en l’appliquant à l’envers cela nous donne un ancêtre commun qui tombe aux environs de l’époque supposée du déluge. Je vois d’ici quelques intellectuels de haut vol me sortir que l’homme se reproduit plus vite aujourd’hui grâce aux avancées de la science : ce serait oublier que c’est précisément dans les pays les plus développés que les taux de natalités sont les plus bas.
Les "young earth", "chrétiens fondamentalistes" , ne donnent d’ailleurs pas 4 ou 5 000 ans à la terre mais 6 a 8 000 ans si je ne m’abuse.
Je pense qu’avec toutes les recherches qu’il existe actuellement allant contre la théorie l’évolution nous n’avons plus d’excuse pour croire en cette fumisterie qui sert d’alibi à l’athéisme, au matérialisme, et au nihilisme.