Je vais finir par croire que les points communs, entre toutes ces victimes d’abus sexuels, c’est la stupidité génétique, ainsi que la lâcheté et le manque de dignité.
Manque de dignité, car lorsque l’on est abusé sexuellement, on ne passe pas ce détail sous le boisseau, le temps d’accomplir, quand-même, sa carrière, pour venir dénoncer au terme de celle-ci. Lâcheté, parce que ce sont des comportements qu’il faut dénoncer illico. Pas en se levant un beau matin, 40 ans après et se dire : "Tiens, j’écrirais bien un livre, sur ce traumatisme que j’ai subi, dans ma jeunesse"
Quand on a enduré de telles souffrances pendant autant d’années, sans réagir, on attendra bien encore un peu, sans prendre le public, qui a d’autres chats à fouetter, en otage de ses propres misères. Un peu de bon sens, merde !