"Féminicide", ce mot qui ne veut rien dire
26 novembre 2016 14:37, par hélèneLorsque vous écrivez "on amalgame", vous avez tout résumé d’une campagne toxique.
Les hommes sont abreuvés de fausses images sur ce que sont réellement les femmes et les femmes pareillement sur ce que sont les hommes, à quoi s’ajoute un désir incontrôlable et désespéré de s’aligner tant bien que mal sur le faux modèle proposé, qui devient pour tout le monde la norme.
Des hommes se mettent à se comporter comme des femmes et des femmes à se comporter comme des hommes, en pensant que c’est le moyen de trouver le bonheur puisqu’on leur faire croire que c’est la seule façon de l’obtenir.
Avec des mots empoisonnés comme "égalité", "parité", "liberté sexuelle", "avortement", "féminisme" etc....
Le labyrinthe dans lequel chacun des sexes se perd en cherchant dans l’autre sexe ce qu’il ne peut y trouver par nature et dans le sien, ce qu’il ne peut être, aboutie à rendre tout le monde horriblement malheureux, tout à fait perdu, avec parfois des déchirements intérieurs tels, que peut naitre tant le féminisme que le machisme mais encore la prostitution, le divorce, la violence, le viol, le meurtre, symphonies orchestrées par certains manipulateurs d’une misère affective purement humaine à cause de vouloir aller à l’encontre de la nature.
Il est clair que les hommes et les femmes sont absolument complémentaires et par conséquent absolument non identiques ( au sens de l’identité) et c’est pour cette raison qu’ils se cherchent et se recherchent au grand damne des manipulateurs sans doute.
Je veux dire que nous les femmes nous aimons les hommes, nous les admirons et ceci de manière inconditionnelle, il ne faut pas que les hommes en doutent une seule seconde, c’est inscrit dans nos gènes.
Cet amour, cette admiration ce sont justement toutes ces qualités que les hommes ont en propre et que nous serions désespérées de ne pas trouver chez eux, qui les motivent.
D’ailleurs toutes nos manières d’agir et de réagir le prouvent sans arrêt.
Quelques fois même au travers d’une contradiction révélatrice entre le discours et les actes qui n’est pas de la faiblesse, mais la traduction d’une manière d’être toute féminine, comme un homme lui, sans se poser de question, décroche une droite à un autre, s’il sent sa fierté menacée.
Ainsi les hommes sont capables de défendre un pays et les femmes de leur apporter toute la logistique pour le faire : préparer et garder le café bien au chaud ! ( je blague)