Dans la peau d’un schizophrène, une expérience de réalité virtuelle
27 novembre 2016 10:56, par envolées_des_incultesTout cela reste des jugements de valeurs. Toute action, pensée, ou comportement, possède au moins une cause physico-chimique. Que l’on nous démontre ce qui conduit ces gens à se comporter ainsi, parce que l’obscurantisme des psy...
.
Ce genre de comportement est peut-être en train de se généraliser, raison pour laquelle on tente de le banaliser.
.
Les dernières recherches en la matière nous conduisent une fois de plus vers des bactéries d’origine intestinale, comme pour les troubles autistiques.
.
Que des bactéries en surnombre influencent directement les neurotransmetteurs, par ex. via la DOPA qu’ils produisent, ne me parait pas absurde. Cette substance, passant allègrement la barrière encéphalique, perturberait les taux de neurotransmetteurs, et donc le comportement, les idées, les perceptions.
.
Après, je me demandais s’il n’y avait pas un système de correction quand des neurotransmetteurs dépassent un certain seuil, une destruction organisée in situ par les défenses immunitaires, et qui génèrerait une cascade de perturbations. Ce serait alors un mal nécessaire pour pallier aux conséquences d’un autre mal. Un genre de billard à trois bandes, car c’est presque toujours ce genre de truc qui échappe à la majorité. La majorité se contente trop souvent de percevoir les liens de causalité direct, mais ne remonte guère dans l’arbre des causes en répondant trois fois à "Pourquoi".
.
Pourquoi dès lors ne pas instaurer un traitement allopathique ?
.
=> Parce que la médecine moderne s’évertue à chercher des preuves d’inflammation et non des preuves d’infection. Or, nombreuses sont les bactéries "commensales" qui ne génèrent pas d’inflammation.
C’est d’ailleurs pour cela qu’elle peuvent vivre en nous, sans quoi elles se feraient éjecter manu militari par le système immunitaire. Pas d’inflammation certes, mais qui produisent quantité de composants chimiques. Et que deviennent-ils ces composants ??? Bah euh ...
.
Les pistes sont nombreuses vers le système digestif. Il y a probablement une hygiène particulière ( diet’ ou autre ) qui nous a échappé.
Se laver les dents avec du dentifrice semble une obligation hygiénique à notre époque, mais se laver le tube digestif non, alors qu’il y a certainement 1 000 000 000 fois plus de déchets alimentaires et bactéries qui y stagnent.
Ou est la logique dans ces pratiques ?
On est dans le superficiel, l’apparence, dents blanches et sourire de hyène, mais bides pourris et tête en miettes.